Loyoly Talks - Episode 1

Paul-Louis s'est perdu dans Shopify Store et nous livre son top des app à tester

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Paul-Louis Bénard
Expansion & Partnerships @ Payplug
"Je bouffe de l'e-commerce en long, en large et en travers depuis 4 ans"

Notre invité

Pour ce premier épisode, Joseph accueille Paul-Louis, Expansion & Partnerships Manager chez Payplug.

Comme il le dit lui-même,cela fait 4 ans qu'il « bouffe de l'e-commerce en long, en large et en travers depuis 4 ans », autant vous dire qu'il a beaucoup de choses intéressantes à partager avec nous 🙂 .

Il en résulte 1 heure de discussion passionnante au cours de laquelle Paul-Louis partage sa vision des tendances du e-commerce et ses astuces pour créer une expérience client de premier plan !


PS : Nous avons fact-checké et Citadium fait bien partie du groupe Printemps 😉

Qu'apprendrez-vous ?

  • Paul-Louis, Payplug et les Open hours
  • Les incontournables du lancement d'un e-shop
  • Le paiement comme moteur de croissance
  • Le paiement mobile et l'expérience client en magasin
  • La révolution des applications
  • L'achat éco-responsable : une tendance à suivre
  • Lancer une offre d'abonnement, mais pas n'importe comment
  • WhatsApp, un canal sous-exploité
  • Les meilleures applications Shopify de Paul-Louis
  • 3 conseils pour lancer sa marque
  • 3 marques à suivre pour s'inspirer

Lire la transcription de l'épisode

Bon écoute Paul Louis, hyper content de te recevoir aujourd'hui dans les bureaux de Loyoly pour parler e-commerce. On va aborder plein de sujets différents. Ça va être, je pense, une conversation assez cool. On va parler parcours d'achat, tendance e-commerce, des conseils pour des marques qui se lancent, des coups de coeur sur le Shopify Store. Et puis plein d'autres sujets, donc écoute, hyper heureux de recevoir.Peut-être pour commencer, bon, maintenant que tu es un influenceur e-commerce et que tout le monde te connaît sur LinkedIn, la plupart des auditeurs vont vont te reconnaître. Mais pour ceux qui ne te connaîtraient pas encore, est-ce que tu peux peut-être te présenter rapidement et puis nous parler un peu aussi de de Payplug et est-ce que tu y fais Yes carrément, déjà merci pour l'invitation, c'est un plaisir, on se connaît un peu maintenant, ça fait quoi depuis septembre un truc comme ça Un un peu, je crois que tu étais le premier à apprendre que que j'allais, que je rejoignais deux nouveaux Payplug. Alors moi c'est Paul Louis, qu'est-ce que je fais dans la vie Je fais du jardinage, je suis passionné de musique électronique, je collectionne beaucoup de vinyles. J'aime bien commencer par ça parce que je n'aime pas trop me définir, enfin je n'ai pas présenté mon taf comme étant ce qui me définit en tant que personne. Et dans la vie de tous les jours, ce qui fait que j'arrive à payer mon crédit auprès de la banque, C'est mon poste chez Payplug.Je suis en charge des partenariats avec les solutions e-commerce pour Payplug. Payplug qui est un prestataire de solutions de paiement, de services de paiement qui opèrent aujourd'hui sur le marché français, qui est une solution française. On process les paiements pour à peu près vingt-mille e-commerçants aujourd'hui, enfin vingt-mille retailer. J'ai l'habitude de dire e-commerçants, mais il faut que je sorte de cette habitude parce qu'on a aussi une solution, on a à la fois une solution de paiement online, donc sur un site et on a aussi une solution de paiement proxy, donc via un terminal de paiement qu'on va proposer aux aux aux retailer sur leurs magasins, leurs pop-up, et caetera. Écoute, trop bien et est-ce que tu veux nous parler un peu de ce que tu jardines quoi En ce moment-là, j'ai fait mes semis, donc là j'ai des tomates coeur de boeuf qui sont en train de pousser.C'est des bonnes ça. Vous préférez C'est les plus chères. Franchement c'est c'est les meilleures, celles qui coûtent le plus cher en plus. Maintenant je suis, je suis trop content, Mais ouais, je commençais par ça parce que j'aime bien aussi, je suis très, enfin je m'intéresse beaucoup à la vie des des personnes et ce qu'elles font en dehors de leur taf et j'aime bien aussi raconter un peu ma vie. Et je crois d'ailleurs que tu fais ça tous les vendredis.De quoi De ne pas raconter ta vie, mais en tout cas échanger avec d'autres e-commerçants, notamment tous les vendredis. Tu la loues un peu de temps pour justement faire connaissance avec des acteurs de l'écosystème et aussi des marques. Donc franchement allez-y enfoncer c'est gratuit. En fait c'est gratuit et au-delà de ça, c'est une chose que j'ai notée avec le temps, c'est un pain en fait d'une manière générale chez les acteurs et actrices de cet écosystème e-commerce ou retail d'une manière générale. C'est un manque de knowledge qui est assez fou.Je trouve en fait qu'il y a beaucoup de personnes qui sont larguées et ce n'est pas un reproche, mais c'est pour ça que je ne serai jamais entrepreneur parce qu'en fait tu as quinze casquettes en même temps. Et je sens qu'il y a quand même depuis quelque temps, je l'ai senti et c'est même une chose qui est avouée par beaucoup de mes interlocuteurs et interlocutrices qui en fait est un manque de knowledge criant sur beaucoup de sujets. Et c'est Open Hoursque j'ai appelé OpenHowers que j'ai ouvert, que j'ai lancé au mois de septembre. C'est un truc qui fonctionne bien, qu'on a doublé. Donc c'est plus seulement les vendredis, mais c'est aussi les mercredis maintenant.Et effectivement c'est une heure durant laquelle tu viens que tu sois e-commerçant, e-commerçante, que tu sois éditeur, éditrice de solutions ou simplement intéressé par cet écosystème. Si j'ai un créneau de libre et ce n'est pas toujours évident. On prend, on prend une heure, tu viens avec tes pains, tu viens simplement avec des questions et on essaye de faire en sorte que la personne en ressorte avec des des intros, des des petites actions à mettre en place assez rapidement. Je me souviens, j'avais rencontré une marque il n'y a pas très longtemps et on avait vu plein de petits trucs qui n'allaient pas forcément sur le site. Alors mon taf, ce n'est pas de remplacer l'agence, bien au contraire, c'est plutôt de dire là en fait sur ces sujets-là, il faut que tu ailles parler avec une agence.S'il y a des, notamment des questions un peu plus dev à aborder, mais tu vois des types qui sont hyper facilement actionnables. Par exemple, tu as un header qui n'est pas et en gros ça, c'est un must have. Mettons header en stick Et ouais c'est ce petit ce petit momentum qu'on a et puis cette ce marchand avec qui j'ai fait ce call il y a quinze jours et en fait j'ai trouvé ça hyper intéressant parce que je n'ai pas l'impression de parler dans le vide dans le sens où le lendemain à huit heures, on a fait ça heures à quatorze heures, le lendemain à huit heures, je vais sur son site par curiosité et sur cinq actions qu'on avait identifiées, il y en avait quatre qui étaient mises en place quoi. Donc ouais, c'est, ça marche bien. Ouais, c'est cool, je pense, c'est une hyper bonne initiative de ta part et donc franchement cool pour ça.Si j'étais e-commerçant, j'irai direct en tout cas. Et justement tu disais que tu avais remarqué qu'il y avait un peu un manque de knowledge au global sur sur pas mal de sujets. C'est quoi un peu les sujets qui reviennent le plus souvent que tu entends justement dans tes offices hours. Peut-être on peut commencer par en prenant un peu le funnel dans l'ordre sur la partie parcours d'achat déjà pour arriver sur le site. Voilà, je ne sais pas si déjà donc tu parlais du qui était pas sticky.Est-ce qu'il y a d'autres choses peut-être même avant encore en amont que tu vois qui sont un petit peu récurrentes et du coup sur lesquelles on pourrait, desquelles on pourrait parler pour justement éclairer tous ceux qui seront peut-être dans cette situation là. Alors déjà, il y en a plein qui n'ont pas mis en place un programme de. Non plus sérieusement. Oui enfin le programme de pour le coup, c'est un sujet qui revient assez régulièrement. Mais après des, enfin vraiment des trucs basiques, c'est-à-dire que j'ai quand même beaucoup de personnes avec qui je discute, qui veulent se lancer en e-commerce et qui se disent tiens putain je peux lancer un Shopify en une heure trop bien, mais en fait il y a plein de choses à faire quoi.Enfin Shopify c'est une chose, mais lancer un Shopify c'en est une autre et convertir sur un Shopify c'est un taf à temps plein. Oui. Tu as remarqué, c'était pas mal sur cette partie là, un peu conversion sur le site qui avait des choses à améliorer. Ce serait quoi typiquement les avis par exemple. Pour moi, c'est un must have aujourd'hui.Il y a plein d'études qui paraissent. Je ne sais plus quelle étude je regardais, je crois que c'est partout qui avait fait cette étude-là. Un chiffre que je reprends tout le temps qui est de dire que tu as plus de soixante-quinze pour cent des personnes aujourd'hui, des consumer qui t'expliquent, qui avouent que les avis et les notes vont avoir une influence sur décision d'achat. Bien sûr. Et je vois des marques qui ne mettent pas les avis ou alors qui les mettent mal parce que tu as à mettre les avis et tu as les mettre suffisamment en avant.En fait ça, c'est enfin c'est du basique au basique quoi. Après encore une fois, je je jette la pierre à personne. Tu es entrepreneur, tu lances ta marque, tu as des des des légions de commerciaux qui viennent te voir et tu peux facilement t'y perdre. Mais mais ouais, enfin pour moi, il y a vraiment, je je rêve un jour d'un, on pourrait même y participer, enfin tu vois prendre prendre ce sujet. On se rassemble en tant qu'acteur, actrice du e-commerce de cet écosystème et on dresse un un book avec les quinze règles, tu vois les quinze commandements Très bien.Vingt, trente commandements de tu lances ton site, tu l'as, tu le fais très bien enfin vous le faites très bien chez Loyoly avec le deck que vous avez lancé sur les les solutions e-commerce qui sont indispensables, mais vraiment au-delà de la solution, c'est la thématique. Est-ce que tu as pensé à tes avis Est-ce que tu as pensé à un programme de Loyalty Évidemment, c'est quand tu as ta communauté engagée, mais ou quand tu veux l'engager davantage, est-ce que tu as pensé à des, comment dire, aux indications concernant les livraisons, les frais de livraison, les délais de livraison, et caetera. Est-ce que tu sais que les français par exemple, les français et les françaises adorent la livraison en point relais, mais ils aiment aussi avoir une livraison en moins de soixante-douze heures. Sinon tu as un tu as un drop de conversion. En fait pour moi, c'est tout ça, c'est rassembler un ebook et faire en sorte qu'en fait, quiconque aujourd'hui puisse se dire tiens, j'ai des bonnes bases quoi.Ouais, mais écoute, ça va partir, ça va partir en prod. C'est notre ami, notre ami Florian Auffret. Comment Exactement. Big Content big up à big up à Flof, notre content manager qu'on salue. Et donc en fait, j'ai l'impression que c'est pas mal de sujets qui tournent autour de l'expérience client au global.Je sais que notamment avec Payplug, voilà, vous creusez pas mal ces sujets autour de l'expérience client, de l'étape importante aussi au check out, de l'omnicanal. Est-ce que tu aurais des petits conseils à donner sur ce sujet là pour avoir un peu une expérience client qui convertit et aussi qui permet de fidéliser parce que si tu as une bonne expérience, tu as envie de revenir derrière. Tu vois, pour revenir sur ta question précédente sur c'est quoi les payes que tu vois aujourd'hui Qu'est-ce que tu abordes comme sujet ou autre Il y a un des sujets, c'est le paiement, mais en fait qui n'est pas réellement abordé dans le sens où le paiement, c'est un peu la dernière roue du carrosse. C'est-à-dire que les les gars, ils ne veulent pas entendre parler. Ils ont branché un truc quand ils ont commencé.Ils ne savent pas vraiment combien ils payent. Ils ne savent pas pourquoi ils payent. Je juge quand même beaucoup de de marchands qui me disent, enfin je leur dis, mais vous, tu tu fais combien de remboursement par mois Je ne sais pas, je suis à vingt, trente pour cent, donc tu sais que sur vingt, trente pour cent, tu as un fille en plus sur remboursement. Et en fait, tu as plein de choses comme ça où en gros le paiement, c'est un énorme, c'est un c'est un no-brainer dans le sens où ils ont mis ça de côté tu vois. On fout ça sous le tapis, on n'y pense pas, ça fonctionne, ça ne fonctionne pas, mais en l'occurrence j'ai de l'argent qui tombe, les clients payent et caetera.Mais voilà en fait notre rôle chez Payplug, ce n'est pas seulement de faire du paiement même si c'est quand même notre métier de base, mais c'est aussi de faire comprendre à quel point le paiement peut être un levier de croissance absolument formidable. Je prends souvent l'exemple de Fagot qui est un de nos marchands historiques et qui est aussi et je le dis vraiment sans la casquette Payploc, à mon sens l'une des plus belles success stories françaises de ces de ces dernières années. Fago il te dit alors qu'on ne l'a pas payé pour ça, mais il te dit sur une conf en fait avant d'être avec Payplogue, je ne savais pas ce que c'était le paiement. Mais pas parce que pas parce qu'en fait il ne s'y intéressait pas, mais parce qu'en fait on ne lui avait jamais montré qu'il y a un capot que tu peux ouvrir et que tu peux comprendre en fait ce qui se passe dessous. Comment est-ce que nous en tant que prestataire, on va t'aider à faire en sorte que tu aies moins de frictions, à faire en sorte que tu aies plus de d'acceptation et donc plus de c à la fin quoi.Et je trouve que je prêche mon paroisse, mais pour avoir vu pas mal de prestataires de paiement, voir un peu comment ça fonctionne, tu sais j'ai fait une petite infidélité à Payplug pendant quelques années, désolé les gars. Mais voilà, j'ai vu comment ça fonctionnait et je trouve que Payplug et je dis vraiment avec beaucoup d'objectivité, je trouve qu'on est vraiment l'un des, si ce n'est le prestataire de paiement qui parle le mieux aux marchands de ce que le paiement peut rapporter ou en tout cas de ce que peut être le paiement dans une stratégie de croissance. Ouais, c'est souvent perçu comme une une commodité et un peu, c'est un peu le parent pauvre quelque part, j'ai l'impression du commerce. Et c'est vrai que moi, ça m'avait pas mal ouvert les yeux sur tout ça quand on en avait parlé une des premières fois où tu m'expliquais ce que c'était des plug. Et du coup, tu avais donné un exemple assez assez concret et pour le coup très pragmatique et terre à terre qui est que en fait quand tu as taux d'acceptation, tu arrives à augmenter ne serait-ce que de deux pour cent avec une solution comme Payplug.C'est du chiffre d'affaires. C'est du chiffre d'affaires. Donc en fait, ce n'est pas tant une commodité, mais c'est presque un canal d'acquisition ou de de croissance en tout cas. C'est un canal d'acquisition de croissance, c'est un truc à challenger. Tu vois, je ne sais pas, enfin franchement je donnerais un chiffre d'eau élevé comme ça, mais, au doigt mouillé pardon, mais tu sais pas, on, tu sais peut-être quatre-vingt-dix pour cent des marchands avec qui on discute qui ne connaissent pas leur taux d'acceptation.C'est comme si demain, tu demandes à un marchand, c'est quoi ton taux de conversion sur site et qui te dit je ne sais pas. Alors que c'est un chiffre, enfin c'est un taux qui qui pour moi est à la base de tout. Après évidemment c'est un c'est c'est un taux sur lequel on n'a pas forcément éduqué les marchands pendant des années. Là ça commence à venir puisqu'on parle plus seulement de paiement, on parle de performance. Et en fait c'est ça, c'est que tu as des marchands effectivement ils vont moins regarder ça parce qu'un marchand qui va faire quelques dizaines de milliers d'euros de chiffre d'affaires à l'année, ça va représenter quelques euros, quelques dizaines d'euros.Mais tu as des marchands qui font cinq, dix, quinze, trente millions d'euros en termes de CA et qui vont me dire en fait là tu viens de me faire gagner plusieurs centaines de milliers d'euros de chiffre d'affaires parce qu'on a juste travaillé ensemble. C'est ça qu'on essaie de faire comprendre et je trouve qu'on est vraiment très bon là-dessus sur notre travail évidemment, mais aussi sur notre manière dont on éduque, dont on donne de la crédibilité à cet stack paiement. En fait encore une fois, je je toujours ce que je respecte, tu peux faire tous les efforts du monde en amont, tu peux mettre en place une stratégie CR0 qui est la plus la plus poussée possible des magnifiques landing pages. Tu peux mettre en place du comment dire des du du bundle, tu peux mettre en place un programme de loyalty si à la fin de ton check-out, ta page de paiement, ton prestataire de paiement, ce n'est pas performant, tu perds. Le travail que tu as fait en amont, il est réparé du à néant, mais en tout cas il n'est pas optimisé quoi.Ouais, c'est clair, ça a du sens. Et justement sur le paiement, pour rester un peu sur ce sujet, ce qu'on voit de plus en plus, c'est le paiement, le paiement mobile. Je ne sais pas si tu veux nous en dire un mot. Alors paiement mobile, pour moi, tu as deux choses. Le paiement mobile, effectivement depuis je crois deux mille, ça doit être deux mille vingt et un ou en France pour la première fois, le nombre de transactions effectuées sur mobile a dépassé le nombre de transactions effectuées sur desktop.Ok. C'est la première fois. Je crois que c'est deux-mille-vingt-et-un. Il me semble que le Covid a pas mal accéléré aussi ça avec la digitalisation, avec le le comment dire les applications aussi qui arrivent beaucoup enfin qui sont déjà présentes depuis longtemps, mais on en parlera un peu plus tard, les applications qui pour moi ont un rôle essentiel dans l'essor du e-commerce aujourd'hui et en tout cas du e-commerce mobile. Mais tu as effectivement le le le le commerce sur mobile que je trouve très intéressant parce qu'il permet de squeeze pas mal de choses Apple Pay, l'essor d'Apple Pay aujourd'hui.Apple Pay, c'est plus d'un paiement sur deux sur du e-wallet. Moi, je suis sûr que c'est apercevoir. C'est absolument incroyable. L'expérience d'achat d'Apple Pay est, je trouve assez phénoménale. Et puis tu as aussi l'autre version du paiement sur mobile que nous, on pousse beaucoup aujourd'hui, qui est plutôt sur la partie en magasin.Une application qu'on a sortie en fin d'année dernière qui s'appelle Tab to pay, qu'on a sorti en collaboration avec Apple et qui permet aujourd'hui de proposer du paiement sur terminal, mais en fait sur un iPhone, de faire d'un iPhone un terminal de paiement. Il y a plein d'avantages. Le premier avantage, c'est de désengorger des magasins. Le deuxième, c'est en allant à la rencontre de tes de tes de tes clients et tes clientes plutôt qu'elles fassent la queue ou qu'elles viennent à ton comptoir. Le deuxième, c'est de pouvoir proposer une autre expérience en magasin.J'en parle souvent avec Alexis Muller, le cofondateur de La BelleBook. On pense à à Laurine et Alexis. Alexis, c'est c'est un peu l'homme de l'ombre chez La BelleBook, mais il est brillant d'imagination je trouve. Il a tout le temps des idées et justement on se posait la question et lui en fait aujourd'hui il veut mettre en place ces solutions parce qu'il veut apporter une autre expérience. C'est-à-dire qu'on ne soit plus uniquement sur je visite le magasin, je fais mon tour, je prends mes produits, je les mets dans mon panier, je vais à la caisse et puis ensuite Donc en fait, il y a beaucoup de choses à imaginer.Je trouve que le, on en parlait ce matin lors d'un petit déjeuner avec un avec un marchand où je lui disais le, nous, on voit de plus en plus un nouveau poste arrivé sur dans les entreprises chez les retailer, c'est responsable de l'expérience retail. Et en fait c'est ça le retail a besoin aujourd'hui de se réinventer, a besoin de se diversifier, a besoin d'explorer de nouveaux de nouvelles expériences, d'offrir de nouvelles expériences. Et je trouve que le paiement mobile apporte vraiment une petite particularité assez savoureuse. Et tu vois, en parlant justement de saveurs, c'est intéressant parce que j'avais un exemple en tête qui est vraiment pas mal, trouve c'est celui de Nespresso. Quand tu vas dans les boutiques Nespresso, en fait tu as quelqu'un justement qui vient à ta rencontre et potentiellement qui peut en fait faire ton check out directement.Donc on passe d'un mode où en fait tant que consommateur, tu dois t'adapter à une structure pour vivre son expérience à un mode où justement c'est la structure qui est un peu évolutive, qui va plutôt essayer de s'adapter plutôt à toi et à ton expérience pour tu vois la moduler et que ce soit hyper hyper précieux et que tu es un super ressenti, un super souvenir de ton achat chez Nespresso parce qu'on est venu te voir pour Mais complètement. Mais en fait le le le s'invente, se réinvente de cette manière-là, c'est-à-dire comment j'offre une expérience qui soit complètement disruptive. Alors disruptive quand c'est possible, mais en tout cas une expérience qui te différencie de ce qui est à côté. C'est un peu comme demain pour moi, je je quand je ne sais pas, je suis démarché par un commercial, j'achète la solution, mais j'ajuste aussi le commercial. C'est un peu ça.La marque, j'achète le produit, mais j'achète aussi l'expérience que m'offre cette marque-là. Pour moi, l'exemple le plus concret, c'est Citadium. L'expérience de Citadium, tu vas te balader chez Citadium parce que tu as cette musique, tu as ces vendeurs qui, je ne sais pas, sont un peu un peu fancy. Ouais, ouais, c'est ça. Ils sont beaux quoi, ils sont beaux, elles sont belles.Et je dis ça, mais vraiment, il y a quelque chose d'assez extraordinaire, je trouve, chez Citadium que tu ne retrouves pas chez Printemps. Mais Printemps a aussi une expérience que tu ne retrouves pas chez Citadium, alors que c'est le même groupe en l'occurrence. Mais je crois, je crois, tu confirmes On demandera à notre gestion de vérifier. On demandera notre gestion. Non, fact checking, Mais non, il y a il y a quand même quelque chose d'assez, je trouve, d'assez essentiel.C'est que les les les les l'expérience en boutique, elle doit s'inventer, elle doit se réinventer, elle doit s'inventer aussi avec les consommateurs et les consommatrices, sortir des sentiers battus. Je trouve ça assez génial. J'ai j'ai, je sais que c'est un copain qu'on a en commun, c'est Maxime, deux chers clients. Moi, je trouve que ce gars-là fait un taf qui est absolument incroyable en offrant, en accompagnant les marchands et dans la conception de pop-up store, de magasins en dur et autres. Ce qu'il a fait avec HUG, ce qu'il a fait avec BMW, c'était incroyable.Franchement moi ce genre de gars tu as envie de bosser avec eux parce que tu sais qu'en fait tes clients vraiment je leur vois quasiment tout le monde aujourd'hui désolé à ses concurrents mais je lui envoie beaucoup de monde parce que en fait mon taf et ma volonté c'est aussi que mes clients soient les plus heureux possible et soient les plus bichonnés et ce gars-là je sais qu'en fait Dune il va les bichonner mais il va aussi les sortir un peu de leur certitude et dire en fait on va te on peut te faire une expérience de dingue. On peut offrir une expérience de dingue à tes à tes comptes summer, vas-y viens on le fait ensemble. Et en fait c'est ça moi je je trouve aujourd'hui que la, c'est c'est mon avis encore une fois mais que le l'expérience retail a de très beaux jours devant elle à condition qu'elle se qu'elle s'invente, qu'elle se réinvente, qu'elle se challenge et qu'elle soit la plus généreuse et inventive possible quoi. Ouais, justement, c'est vrai qu'on voit concrètement, c'est un marché qui est de plus en plus saturé si on parle du e-commerce, du en général.Donc c'est vrai qu'il faut souvent redoubler de créativité pour pouvoir se différencier et puis marquer les esprits dans un monde où tu as quand même beaucoup de publicité. Si tu as vécu une bonne expérience qui sort de l'ordinaire qui va te laisser un bon souvenir forcément tu vas penser à cette marque là pour pour ton prochain achat. Donc donc ouais effectivement assez intéressant et important je pense d'aller dans cette direction là pour pour les marques. Et en parlant justement maintenant des autres tendances un petit peu qu'on peut voir, on avait sorti ensemble un contenu assez cool sur justement les tendances de deux-mille-vingt-quatre. Donc c'est encore le début de l'année, soyez soyez indulgent si notre boule de Christelle ne nous avait pas encore tout indiqué.Est-ce que toi justement par rapport à ces autres tendances qu'on voit un peu émerger, tu en aurais une ou deux dont tu auras envie de de parler aujourd'hui De notre ebook. Ou d'autres d'ailleurs, peu importe. Celle dont j'avais parlé avec avec des personnes chez nous qui m'a posé la question justement sur ce que je voyais un petit peu. Parce que l'idée, c'est quand même que la moitié du temps, je suis sur LinkedIn en train de regarder toutes les tendances, on est en train de suivre tout. C'est un taf à plein plein.Mais moi, pour moi, il y a une tendance qui est que je trouve très intéressante, c'est l'application, c'est les applications, c'est la révolution des applications. On a ressorti un ebook là récemment avec PrestaShop et OpinionWay sur les tendances de la Genzi. La Genzi, tu vois qu'en fait elle elle achète sur des applications. Et j'aime bien citer les solutions qui que je trouve géniales et pour moi il y a une solution qui est qui est vraiment top, c'est Macapi. Pourquoi Parce que Macapi te permet alors c'est uniquement pour les marchands Shopify, désolé l'open source.Mais Macapi te permet en fait de dupliquer, de créer une application qui vient en fait scrap toutes tes données, en tout cas les données de ton choix de ton e-shop Shopify et vient te publier une application mobile iOS et Google. En quinze jours, je prends un truc comme ça. Ouais. C'est un peu le concurrent de ta carte Ouais. En moins cher et en mieux.Et c'est français. Et les gars sont vraiment adorables. Thomas avec qui je parle, je parle assez régulièrement, c'est je je enfin je quand quand je suis un peu mordu par une application, tu le sais, que ce soit Macapi ou ou le Hollywood, j'en parle et pour moi, il faut, il faut en fait ces applications-là et la richesse de l'e-commerce, c'est pouvoir tester, Il faut tester. Et si tu vois que tu, ce n'est pas grave, tu as testé, ça ne fonctionne pas, ce dont je doute, ce n'est pas grave, tu arrêtes. Ouais.Et ouais non, il y a tout un sujet qui est, tu vois dans le contexte qu'on évoque ou en fait voilà tu es quand même assez saturé en tant que consommateur, il y a de plus en plus de concurrence, tu as plein de stimulas en fait tout le temps. Et du coup les coûts d'acquisition ils ont beaucoup augmenté. Et un des moyens que je trouve qui est vraiment ouf pour justement créer de la autour de ta marque, autour de ton produit, c'est les applications mobiles. On le voit avec des apps comme je pense par exemple la mini wait ou en fait au-delà de parler de tes produits, parler de ta marque, en fait les entreprises sont en train de devenir des médias un peu comme un peu comme nous tous. Et du coup une application c'est quand même ultra pratique pour pouvoir créer des petits quiz, des petits parcours personnalisés, partager du contenu à valeur ajoutée qui va intéresser tes clients et créer en fait un peu une habitude pour le consommateur final.Une habitude de consommation. Et c'est même une habitude de de navigation au final. Tu regardes les applications, par exemple, je pense à, c'est e-commerce nation qui sort tous les ans le le top cent des des sites e-commerce. Il faut voir que par exemple, tu as un les, enfin les, un Vinted, ils ont une couverture aujourd'hui, je crois en France de vingt-cinq pour cent. C'est-à-dire que tu as vingt-cinq pour cent de la population française qui va se connecter au moins une fois par mois sur l'application Vinted puisque Vinted est uniquement sur l'application.Ils ont le site, enfin la plateforme desktop, mais qui est à mon sens, à mon sens pas du tout intéressante et qui n'est pas véritablement utilisée. Mais en fait voilà, c'est la puissance des applications et d'autres avantages aux applications, c'est le fait qu'en tant que marque, tu as des notifications push en illimité. C'est moins cher que les SMS. C'est moins cher que le SMS. C'est moins cher que les SMS.C'est moins cher que le SMS et il y a aussi un autre truc, c'est tu n'es pas dépendant d'un browser. Donc en fait, ton temps de chargement, je crois que Macapi, c'est ce qu'ils vendent, c'est un temps de chargement quatre fois plus rapide que que que sur un que sur ton e-shop. Gros avantage vraiment, c'est enfin pour moi c'est vraiment un canal, c'est quand on parle d'omnicanalité, on va en parler sur un sur un événement, l'omnicanalité aujourd'hui c'est c'est vite résumé à online et inshop. Ouais. Non, tu peux faire de l'omnicanalité en online, tu peux faire de l'omnicanalité en in-shop, la preuve tu as du wholesale, tu as du retail, tu peux faire du pop-up et caetera, tu enfin il y a plein de choses mais online aussi.L'application peut devenir un canal de vente, le mailing est un canal de vente, le e-shop, vraiment le est un canal de vente, mais l'application peut devenir vraiment un formidable levier de croissance. C'est tajine banane, ils ont mis en place un acabit et aujourd'hui ils ont plus de vingt pour cent de leurs ventes qui sont faites sur l'application. C'est ouf, c'est ouf. Non intéressant, ça c'est, moi j'y crois beaucoup à cette à cette tendance-là et et ça se voit d'ailleurs chez nos clients, on commence à nous en parler de plus en plus. Et est-ce que toi tu vois justement d'autres, est-ce que tu aurais une autre tendance un peu dans la aussi importante ou aussi intéressante à laquelle tu penses issue de notre contenu ou autre.Il y a un, comment dire, c'est un peu l'achat responsable qui pour moi est une tendance, on le voit de toute façon les nouvelles générations sont beaucoup plus sensibles à la provenance des produits, à la formulation des produits, au packaging, des choses comme ça. Il y a une solution que j'ai découvert il n'y a pas longtemps qui s'appelle Blue Bird qui est assez géniale je dois dire, qui te permet sans solution c'est possible aussi en Zeta ce qu'ils font, ce que ce que la marque fait. On en parlait avec Laure il n'y a pas longtemps, mais ce que la marque fait en termes de visibilité, de transparence au niveau de la production, au niveau du, de l'empreinte carbone en fait du produit, c'est assez génial. Et Blueburn permet, j'avais vu sur un sur le site de la marque de Evamock, c'est Goodweird. BlueBird en fait te permet, c'est basé sur de l'IA, te permet en fait de d'injecter tes données produits, donc c'est-à-dire ta formulation, ton packaging et va te donner des recommandations.Par exemple de recyclage, de dire ton produit tu as quoi Tu as un flacon, tu as une boîte en carton, dans le flacon, tu as un petit bouchon en plastique. Alors ton carton, c'est au compostable, donc tu vas le mettre dans ton compost ou tu jettes poubelle verte. La bouteille, elle est recyclable. En fait, tu as plein d'indications comme ça. Alors c'est presque un peu gamifié et je trouve que c'est assez rassurant et ça montre aussi les tendances de demain.C'est-à-dire qu'on a besoin, les tendances, les jeux, les générations qui viennent après toi et moi, la Gen Z notamment, elle a besoin en fait de s'identifier à de la consommation responsable, à des produits qui sont greens, à des produits qui sont transparents, si le produit n'est pas hyper green, mais comment se soit assumé, que ce soit dit Ouais, ouais c'est intéressant nous, c'est un sujet qu'on creuse pas mal chez comme tu dis, à la fois sur les applications mobiles et puis à la fois aussi sur les achats responsables. Donc typiquement, tu vois, on réfléchit à une intégration avec Captain cause pour en fait permettre aux utilisateurs de dépenser leur point de fidélité pour différentes causes. Et donc ça, on y croit beaucoup sur le prêt à porter notamment. Il y a des tests qui vont se lancer et hâte de partager les résultats bientôt. Génial.Mais bref, assez parlé de nous, on n'est pas là pour ça aujourd'hui. Une autre tendance que je vois un peu aussi émerger, tu as toujours cet esprit en fait où on veut vraiment travailler la rétention. C'est vraiment, je pense, une des thématiques de deux mille vingt et quatre. Donc, bien sûr, on peut le faire à travers plein de canaux, les applications mobiles, les SMS, il y a WhatsApp aussi maintenant et on entend aussi beaucoup parler des, on pourra en parler de WhatsApp, ça m'intéresse d'avoir un peu ton point de vue là-dessus et aussi des abonnements. Donc, c'est, il y en a pas mal qui se sont lancés, qui ont testé un petit peu tout ça.Je passe si tu as des retours un petit peu des marchands et qui tu discutes sur voilà des apps comme Recharge, toute cette logique de créer du revenu récurrent en fait pour pour les marques. Alors l'abonnement, je ne vais pas dire que je suis sceptique, mais pour moi, ce n'est pas tout blanc ou tout noir. C'est-à-dire que tu ne peux pas te dire tiens, je vais faire de l'abonnement et d'un coup, ça va être incroyable. Le problème de l'abonnement, c'est que si tu n'as pas une stratégie mailing et une stratégie derrière, ton client ne revient jamais sur le site. Et en fait, ce qui est intéressant, c'est aussi d'augmenter ton A0V.Il faut savoir que l'abonnement, généralement quand tu fais de l'abonnement, tu offres quinze pour cent à peu près par rapport au prix en 1 shot et possiblement tu vas offrir les frais de port parce que c'est du récurrent et que tu as envie que la personne s'abonne. Si tu n'as pas une stratégie qui fait revenir aussi en ou en ton client, ton compte summer sur ton site, ton A0A, elle n'augmente pas. Donc ça, c'est un peu le problème aussi. C'est qu'aujourd'hui, tu as, enfin le le l'abonnement est à considérer dans un ensemble, dans un ensemble de rétention. Il y a aussi, après alors je suis fan de l'abonnement, je suis abonné à plein de choses, trop même, mais il y a aussi, l'abonnement peut être un peu déguisé.Je ne vais pas citer la marque, mais c'est une marque avec qui j'avais travaillé pendant longtemps qui maintenant a mis en place de l'abonnement, mais qui partait d'un d'un pour qui le parti pris c'était de dire moi je fais pas d'abonnement parce qu'en fait la personne je veux qu'elle revienne sur le site. Donc ce que je fais c'est que je fais un mois, deux mois ou trois mois et en fait je bundle. Et donc tu as une remise évidemment sur le bundle le plus intéressant, une remise un peu moins importante sur le bundle middle et pas de remise sur le produit en solo. Donc c'est assez intéressant parce que la personne va recevoir, donc tu as augmenté ton A0V, tu as un petit une petite gamification qui te dit tiens prends trois mois tout de suite. Et en plus de ça, la plupart du temps sur une cure par exemple, te dit bien que les effets d'une cure se voient véritablement à partir de trois mois.Donc moi par exemple, quand je fais une cure, je prends trois mois obligatoirement, sinon je trouve que ça sert absolument à rien. Donc il y a il y a aussi ça, c'est est-ce que ton produit, il est fait pour de l'abonnement comment est-ce que tu vas le, comment est-ce que tu peux challenger ça Est-ce que je fais de l'abonnement obligatoirement, c'est-à-dire vraiment je m'arrête quand je veux ou est-ce que je décide de tester Pour moi encore une fois, c'est la notion de test, je fais un AB testing. Je propose par exemple sur certains produits de faire de l'abonnement, sur d'autres produits de faire du bundle, je vois ce qui fonctionne le mieux. Ouais ouais il faut vraiment avoir une démarche itérative et tester un petit complément. Mais c'est la richesse de l'e-commerce.Tu peux tester sur des choses assez complexes dans la manière de les construire, mais en fait assez facilement dans la manière d'interpréter les résultats. Sébastien tortue de de Boost conversion, il te le dit souvent, c'est en fait tu as trois mois de test, mais trois mois déjà tu peux avoir beaucoup d'informations sur la manière dont sont appréhendés ces directions, les directions que tu as prises. Est-ce que c'est quoi le ressenti C'est quoi la réception de tes comptes summer, de tes prospects et autres et ensuite tu vois, est-ce que je continue Est-ce que je n'applique pas Est-ce que je modifie Est-ce que je teste aux choses Oui, c'est clair. C'est vrai qu'on a quand même aujourd'hui pas mal d'outils, comme tu disais, à disposition pour pouvoir le faire. Et justement, ça m'emmène sur le point.Mais je me permets, je répète juste pour moi ça doit aussi être, ça doit être proposé. On a sorti un excellent plugin avec Cyclic sur PrestaShop parce que le le l'abonnement était un peu le parent pauvre de PrestaShop pendant pendant longtemps. Et là, ce qu'on a sorti avec Cyclic, c'est un abonnement à un module plug and play sur un environnement open source qui te permet d'aller mettre en place en quelques heures, quelques heures seulement des règles d'abonnement. J'en parle dans le prochain épisode de de ma newsletter, mais enfin vraiment c'est énorme. Et pour moi c'est en tant que prestataire, c'est aussi de proposer ces ces solutions-là.Sur Shopify, c'est un petit peu compliqué parce qu'on a plus de cadrage. Mais sur PrestaShop, on a sorti ce plugin. C'est une petite, une petite bombe, petite pépite. Ouais petite pépite vraiment. Allez checker ce que fait ce que fait cyclique.Et puis aussi la newsletter de Paul Louis où il partage un peu. Ann Hacking. Ann Hacking. Donc on vous partagera tous les liens. Bien sûr.Très vite, il faut que je t'ai en invité. Allez, invite moi quand tu, je suis là, donc. Trop bien. Trop cool. En tout cas pour ces tendances, c'est hyper intéressant.J'ai hâte de voir ce que ça va donner dans les les prochains mois. Mais J'espère qu'on ne se trompe pas. J'espère qu'on ne se trompe pas. Sinon, c'est ta faute au pire. Mais Mais après les tendances e-commerce, elles vont super vite.Enfin les tendances retail d'une manière générale. J'en parlais la semaine dernière avec Nicolas Devillers chez nous qui me dit ouais, j'aimerais bien ton plan d'action à douze mois. Je reviens, je dis mais Nico, même à trois mois, mon plan d'action, il peut changer complètement enfin le le le comment dire la créativité aujourd'hui, les les les possibilités qui sont données enfin regarde même vous en termes de stades technique, j'ai l'impression que vous sortez une intégration toutes les semaines. En fait, ça va trop vite et le, pour moi le bon mix, c'est d'avoir des certitudes tout en les challengeant et d'être toujours à l'écoute. Et en fait, à partir de ça, tu peux à la fois prendre une direction sur ce qui semble être une tendance qu'il faut suivre, sur laquelle il faut se positionner et en même temps rester un peu à l'écoute parce qu'en fait le marché va trop vite.Oui, justement, il y a une des, tu vois, c'est une tendance qui totalement dans cette veine là, qui qui a démarré vraiment en flèche. C'est justement WhatsApp. Donc bon, enfin, un gros bisou à Tiphaine de Simeo qu'on embrasse. Et Et toi, c'est quoi un peu ton point de vue sur WhatsApp Ça a l'air d'être quand même assez game changer. Après, c'est récent.Il y a pas mal de questions, mais les premiers use case, je trouve, sont assez convaincants. Donc, curieux d'avoir ton avis là-dessus. La mieux placée pour en parler effectivement c'est Tiphaine. On l'invitera. Ce sera bien.Maintenant mon avis sur la question. En fait quand tu regardes les chiffres, je ne comprends pas les marques qui disent non WhatsApp, ça ne m'intéresse pas. Le mailing aujourd'hui, c'est vingt pour cent de taux d'ouverture. WhatsApp, c'est quatre-vingt-quatorze. Rien que le chiffre doit te faire dire ok, je teste.Moi, je fais ça. En fait, je, pourquoi j'ai, pourquoi je n'ai pas, enfin, pourquoi je n'irai pas en tant que marque Après, le, enfin, le message WhatsApp, le SMS, c'est particulier parce que tu t'adresses quand même à, enfin, tu tu je trouve que tu passes une barrière d'intimité avec ton avec ton prospect, ton compte fumeur qui est qui est assez fatidique, soit ça passe, soit ça casse. Ouais, c'est vrai. Et il faut vraiment faire très attention à ça. Pourquoi pas dans une stratégie dire je commence par du mailing et une fois que la personne est devenue cliente de la marque, pourquoi pas j'oriente sur du WhatsApp tu vois Où je demande tout simplement je fais le est-ce que tu veux qu'on maintenant on discute par WhatsApp Mais WhatsApp enfin en fait moi le premier, je je regarde plus mes SMS, j'ai désactivé mes notifications et surtout j'ai j'ai plus de notifications sur mon téléphone parce que c'était l'enfer et en revanche la première application que je vais voir de moi-même, c'est WhatsApp.J'ouvre tous mes messages WhatsApp, d'avoir dans mon backlog de messages WhatsApp, je vois, j'ai deux conversations non lues, ça me fait péter les plombs. Je pense qu'est-ce qui se passe Et ouais, en fait, encore une fois, ce n'est pas tout blanc, tout noir, mais WhatsApp peut vraiment être faire partie, enfin être partie intégrante d'une stratégie beaucoup plus globale. Mais les chiffres parlent d'eux-mêmes, enfin quatre-vingt-quatorze pour cent de taux d'ouverture, c'est même le SMS, ce n'est pas ça. Et je crois que, je ne ferai pas avoir des bêtises, mais je crois que c'est quatre-vingts pour cent des messages WhatsApp qui sont lus dans les cinq minutes. Ouais, c'est impressionnant en termes de d'open rate.Je pense que c'est très difficile de le faire mieux ou alors ça coûte beaucoup plus cher parce qu'effectivement, le SMS, c'est quand même pas donné aussi, c'est ça le l'un des gros avantages. Ce n'est pas donné et il y a aussi un autre argument pour WhatsApp, c'est que tu es international. C'est qu'en fait WhatsApp aujourd'hui se base sur ton, enfin ta connexion internet. Donc tu n'as pas besoin, il n'y a pas si tu veux de de d'environnement auquel il faut que tu te connectes ou tu t'adaptes parce que tu vas en Allemagne plutôt qu'en France. Ouais.WhatsApp ça ouvre quand même les portes d'un monde global, un monde de vente. Et d'ailleurs quand tu regardes, comme tu sais là j'étais en Inde pendant pendant un bon mois et en fait c'est fou parce que eux ils sont à des années lumières là-dessus. Il faut savoir que déjà de base Ils utilisent quoi comme solution Alors je n'ai pas les noms en tête, mais ils ont des solutions qui sont déjà genre ultra poussées sur le sujet. Si tu regardes en fait des devantures ici de de de n'importe quel shop, ça peut être des salles de sport, ça peut être tout ce que tu veux. En fait ici, tu as le numéro de téléphone et là-bas tu as pareil mais avec le petit logo Whatsapp.Et en fait tout le monde est sur Whatsapp, tu peux payer sur Whatsapp. Ils ont un système en plus où tu peux payer avec ton cinq-mille euros de téléphone. Et c'est c'est vraiment ils ont cinq ans d'avance sur nous là-dessus parce que bien sûr pour des raisons de coût, c'est beaucoup plus simple aussi d'avoir un numéro téléphone que tu as sur ton WhatsApp et d'ailleurs tu peux reach out, tout est comme ça, ils font tout sur WhatsApp en fait. Donc je pense pour ceux qui s'intéressent aussi à WhatsApp, c'est intéressant de creuser un peu ce qui se fait de l'autre côté, j'allais dire de l'Atlantique, mais non du coup, de l'autre côté de l'Europe, en Asie notamment, où ils sont vraiment très très en avance sur sur ces sujets là. Ça me fait penser à une petite anecdote, C'est Thomas de e-mail club qu'on connaît bien.Qu'on salue. Et qu'on salue. Et Thomas, lui, c'est quand même l'expert mailing Klaviyo. Vraiment, c'est un c'est une brute. Et quand il me fait une intro, il ne me fait pas une intro par mail, il me fait une intro par WhatsApp.Il n'aime pas envoyer des mails. Il me dit toujours arrête de m'envoyer des mails. Il répond jamais à chaque email. Non, ça, c'est vraiment, enfin pour moi, encore une fois, l'expression le cordonnier est toujours le plus mal chaussé. Mais mais c'est ça en fait, le WhatsApp, je trouve une force qui est assez considérable et qui est en e-commerce encore pas exploité.On ne peut pas dire aujourd'hui que WhatsApp est exploité en e-commerce. Les Allemands sont un peu en avance là-dessus. Je je suis comme je te disais en tout début, je suis fan de musique, enfin passionné de musique électronique de manière générale, je collectionne des vinyles et il y a un store sur lequel j'achète depuis un petit moment, ça fait bien quatre cinq ans que j'achète chez eux, qui est un store en allemand, en Allemagne par contre qui s'appelle dj point d e et eux en fait tout leur support client est sur WhatsApp. Tu n'as pas de mailing, tout est sur WhatsApp et le temps de réponse considérablement accéléré. Franchement l'expérience j'ai j'ai trouvé ça j'ai trouvé ça génial et ça depuis quatre ans que je suis client chez eux, j'avais un problème sur une commande, je trouvais pas, je voulais savoir où elle en était, je n'avais pas l'info, je ne sais pas ce qui s'est passé, tu vois.Et l'expérience client sur WhatsApp, en plus, je dis ça, c'était il y a quelques années. J'ai trouvé ça génial. Ouais, franchement, gros sujet à creuser, pareil, hâte de voir ce qui va se passer. Typhon. Donc donc trop cool et justement ouais en parlant un peu voilà de toutes ces solutions un petit peu qui émergent, on sait que la marketplace regorge regorge d'innovation, de nouveautés aussi Et chaque fois tu tu y passes pas mal de temps aussi.Trop cinquante, trois trente trente trente sur LinkedIn et puis l'autre sur Shopify marketplace. Ce serait quoi un peu toi justement des des apps à part le Yoli bien sûr que tu que tu pourrais recommander, qui sont dispo sur le store de Shopify. C'est le problème. Alors j'ai un petit peigne avec Shopify, avec la marketplace de Shopify, c'est que je ne peux pas sauvegarder mes apps. Je ne peux pas dire, par exemple, je mets un petit coeur sur une app en disant tiens, je la mets à une liste, tu vois une wishlist.C'est un peu problématique. Ce qui t'oblige aussi à tout le temps de souvenirs et à aller rechercher, et caetera. Mais c'est un peu problématique parce qu'en fait, parfois, je cherche la même app quinze fois en deux mois. Ouais, comment elle s'appelle cette app Comment elle s'appelle et tout. Enfin bref, il y a une app.Qu'est-ce que j'aime bien comme app Il y a une app que j'aime bien, que je que je recommande pas mal en ce moment, c'est Atlas, Atlas pick up Point qui est une app qui est disponible uniquement pour les marchands Shopify plus et qui te permet de réunifier tes shipping en une seule interface. Et pour le compte summer, ce que ça donne en expérience client, c'est j'ai par exemple je travaille en tant que marchand avec GLS, DPD, DHL, Mondial Relay. En fait je vais offrir la même interface avec une map qui va ouvrir tous mes points relais de tous ces. Et ça, c'est assez intéressant parce que ça ça vient en fait, tu as un, tu as un point, c'est de se dire demain tiens, en fait j'ai trois points relais à côté de chez moi, mais j'en ai un qui est en relais colis, j'en ai un qui est en DHL et j'en ai un qui est en colissimo. Je peux les voir tous les trois sur la même map et en plus j'ai un listing.Mais cette solution, je la trouve intéressante. Et en plus de ça, elle vient tacler aussi une problématique pour les marchands Shopify plus, c'est d'avoir Mondial Relay avant la sélection du point relais avant de payer. Ça, c'est un vrai peigne et je sais que mondial relais, il y avait un souci, enfin il YAA priori toujours le même problème, c'est que même les marchands Shopify plus doivent attendre que le client, que le compte summer ait payé pour choisir son point relais. Ce qui est assez désolant, je trouve, en termes de d'expérience consumer. Oui, je suis d'accord.Ok, intéressant. Donc à la place, je la je la recommande pas mal. Après en application, tu en as tellement aujourd'hui, tu vois, je trouve que par exemple un hosto, c'est une solution qui est géniale pour faire du cross-sell de l'Oioli sur de la Oioli enfin après, je ne dis pas ça parce qu'on est à ton micro, mais j'envoie des clients chez toi, ils sont ravis, ils montrent un ROI à fois trois fois cinq fois dix. Trop bien enfin go tu vois. Ouais tu as tu as en fait tu as plein d'applications.Au-delà de juste donner ce qui est intéressant en fait avec l'App Store de Shopify, c'est que quand tu t'y perds, c'est là où tu commences à arriver un peu dans les méandres et c'est là où tu commences à te dire Shopify. Là ça devient intéressant. Il y a il y Visual Merchandiser qui a été sorti par Side qui te permet de de faire du daily merchandising sur sur ton site. Qu'est-ce que tu as d'autres Tu as high day, high day, la pépite. Quatre dollars par mois, ça te permet de customiser complètement ton check out.Ça, c'est bien, non Quatre dollars par mois. Et vraiment, ça, c'est l'application. On parle beaucoup. Je parle beaucoup avec avec Andrea le fondateur du du lab qui a monté ça c'est Next Tools ils sont dans l'est de l'Europe c'est du génie enfin vraiment Ça me parle ils font quoi déjà En gros eux c'est vraiment un lab un lab de de d'applications donc eux ils développent des applications sur Shopify donc ils ont développé High Pay, donc qui te permet de personnaliser ton ton, enfin le display de tes méthodes de paiement en fonction de plein de critères, que ce soit la currency, que ce soit je ne sais pas le volume, le montant du panier, des choses comme ça. Ils ont aussi développé HighShip qui pour moi est un petit bijou aussi parce que ça vient tacler un sujet notamment sur les shipping méthodes.Donc c'est-à-dire que je te prends un exemple tout bête, je vends des produits, je suis dans l'art de la table, je vends à la fois des couverts qui ne sont pas trop fragiles et je vends une lampe ultra fragile, je peux très bien dire si produit lampe dans le panier, faire disparaître Mondial Relay. Est-ce que je veux être sûr et certain que ce soit livré en main propre aux clients, et caetera. En fait, tu as plein de petits trucs comme ça que j'ai découvert par pur hasard ou parce que je tape un mot clé et je trouve ça et je me dis tiens, je vais tester, je trouve ça intéressant. Mais ouais, tu as pas mal de, enfin en fait, le la l'absence de Shopify, il faut être curieux quoi. Ouais, c'est ça, il faut avoir du temps.Avoir un peu envie de creuser les sujets, mais ouais. Il faut avoir envie de creuser. Mais pour moi, tu as un Pain, va sur l'App Store. Ouais. Et sur les, on parle des applications dans dans la newsletter.Mais non en fait c'est vraiment ça être curieux et avoir un peu de temps et et tu peux trouver vraiment des trucs sympas. Là il y a Regulo qui vient de sortir aussi, qui est qui est une application qui ça y est qui est live sur l'absence de Shopify depuis depuis une semaine, qui est une application et je fais un gros bisou à aux fondeurs, mais qui est une application qui permet d'automatiser la facturation e-commerce sur toutes tes commandes et en plus de préparer ta comptabilité pour l'injecter directement dans ton logiciel comptable. Ah ça, c'est comme. C'est une bombe, c'est une bombe. Vraiment.Et sur l'App Store, c'est dispo sur l'App Store les gars. Allez-y. Allez, j'ai cassé tout de suite. Ok, trop cool. Ce n'est pas mal.On a pas mal d'idées en vrai pour des pour des marchés. Ça tourne, ça tourne, ça tourne. C'est bien, on a de la matière, donc donc non, c'est top pour On peut être en fois un virgule cinq en post prod et il y a rigolo. Donc donc ouais non hyper cool en vrai pour avoir déjà pas mal d'idées, des tendances, des sujets un petit peu à explorer. Et juste pour finir justement pour des marques qui sont un petit peu perdues parfois dans dans tout ce monde-là, toutes ces apps, toutes ces solutions.Typiquement une marque qui qui se lance, toi, ça serait quoi un peu, tu vois les quatre, cinq conseils que tu pourrais lui donner pour justement lui éviter un petit peu de se perdre et puis quand même garder cette approche où on va pouvoir tester des choses, mettre en place rapidement et puis apprendre rapidement Alors, c'est déjà de s'informer. Aujourd'hui, il y a quand même énormément de contenus sur le e-commerce. Il y en a des très bons, il y en a des plus évasifs, mais il y en a vraiment des très bons. Je trouve par exemple que la newsletter de DNG, qui s'appelle le regard de DNG est une newsletter qui est vraiment intéressante, elle vient des bunk à un secteur d'activité, celle notamment qui avait été fait sur, je crois que c'était secteur maison et maison et intérieure, un truc comme ça, très intéressante notamment sur l'évolution d'Ikea et des, comment dire, des tendances que IKEA va mettre en avant sur les cinquante dernières années. Donc c'est s'informer, c'est trier évidemment dans l'information, sinon pareil, il faut une deuxième vie à côté, mais écouter les podcasts, le le podcast par exemple du panier de de Laurent Crest, de Laurent Crest pardon est est un un très bon podcast, Je trouve très intéressant.Je te dis ça encore une fois, je suis mauvais élève parce que par exemple je ne lis aucun livre sur le business, je déteste ça. Mais s'il y a un podcast aujourd'hui que je que je noterai sur le e-commerce, c'est véritablement en tout cas pour commencer et pour apprendre aussi des autres parce que c'est ça le rôle de de Laurent avec son podcast c'est d'interviewer des marques sur un pain sur un succès et de le partager aux autres. Et quand tu es une marque qui arrive ou qui est en pleine évolution ou même simplement qui est en train de tout casser, le podcast de Laurent est vraiment intéressant. Donc ouais le regard de DNG en termes de newsletter, c'est bien le le podcast de Laurent, donc vraiment s'informer d'une manière générale, s'entourer de personnes, pour moi un un conseil que je donne toujours, c'est s'entourer de personnes qui n'ont rien à voir avec ton business. Quand tu arrives en tant que marque, c'est ton bébé.Tu as créé ta marque, c'est ton bébé, c'est ton produit, tu connais par coeur. Le problème, c'est que quand tu t'attaches trop à ta marque et quand tu la connais trop par coeur, tu es plein de certitudes. Ouais ton tunnel en fait. Tu es dans ton tunnel et le jour où tu as quelqu'un qui vient te remettre un peu les idées au clair ou qui a envie de t'apporter un regard extérieur, tu vas te braquer. Tu vas dire, il juge mon travail, il juge mon bébé.Non, c'est juste qu'en fait ton bébé, entre guillemets, ta marque, tu ne la vends pas à toi. Tu ne la vends pas à des répliques de toi en tant que vendeur. Tu la vends à, au commun des mortels, tu la vends à des personnes qui n'ont absolument rien à voir avec toi en termes d'origine sociale, qui n'ont absolument rien à voir avec toi au niveau de l'âge tout simplement. Donc en fait, c'est aussi ça, c'est c'est comment est-ce que tu t'entoures de personnes qui n'ont absolument rien à voir avec ton business, qui vont te challenger, évidemment toujours avec beaucoup de bienveillance et qui vont t'expliquer en fait que te donner un regard extérieur et te sortir de tes certitudes. Je pense que ça, c'est véritablement important aujourd'hui, c'est de ne pas avoir des certitudes, d'avoir des convictions, c'est important, mais pas d'avoir de certitude.C'est d'essayer justement d'avoir de faire un peu l'avocat du diable tout seul et se dire ok, ouais, je suis convaincu de ça. Viens, on va vérifier que ce que je pense, c'est c'est c'est c'est Être tout seul dans son coin. Ouais, non, c'est clair. C'est compliqué. Vraiment, c'est compliqué.Et tu le vois de toute façon les les personnes qui sont vraiment solo qui qui font je le dis avec beaucoup de beaucoup de premiers degrés mais qu'en font à leur tête qu'en font qu'à leur tête en fait, au bout d'un moment, il y a un mur quoi. Il y a un mur parce que le monde, il est vaste, il est très hétérogène et les personnes à qui tu t'adresses, auquel tu ne penses pas forcément t'adresser, elles ont plein d'attentes différentes quoi. Ok donc ouais en résumé, entourez-vous des meilleurs, prenez nos fils hours avec avec Paul Louis, ça va déjà, je vais bloquer pas mal de choses. Je ne sais pas des, x not magic it anethm sweat. Mais non ouais en fait c'est si tu as besoin de challenger, il y a plein de gens qui sont qui sont vraiment intéressants avec qui tu peux discuter et même si tu n'as pas le temps, Grégory par exemple de de Okara, tu fais un Okara d'ailleurs c'est Okara, j'en ai parlé que la semaine a une très bonne newsletter sur une veille e-commerce aussi que je trouve vraiment bien.Le format s'obstacle est vraiment vraiment idéal parce que ça tombe dans tes mails, tu le sauvegardes pour plus tard, tu as envie de le lire, tu le lis, tu n'as pas envie, tu ne lis pas. Donc ça, c'est intéressant. Et puis LinkedIn, LinkedIn est ton meilleur ami. Ouais, c'est clair. C'est là où tu apprends les, tu as les les founders qui vont partager leur success story, alors peut-être parfois un peu trop de succès.Tu vois par exemple, je pense qu'à à à l'Amazona qui parlait beaucoup aussi de ses échecs, je trouve ça intéressant. Léa Léa Legendre de cuisseau qui parle beaucoup de ses échecs aussi, qui dit parfois sur une vidéo TikTok, j'ai la flemme. Là aujourd'hui là j'ai la flemme. Là ce soir je m'arrête à seize heures parce que j'ai plus envie de bosser. Ouais.Mais génial. Vas-y quoi. Plus de contenus comme ça s'il vous plaît. Ah ouais, de ouf, ça fait du bien. Et puis, et puis ça montre aussi quoi Les entrepreneurs sont des humains.Enfin, c'est clair. Alors tu en as, tu te dis, c'est quand même des, tu peux te poser la question, parce que ce n'est pas une machine, mais mais non enfin c'est. Ouais, c'est, ouais. C'est un bon début je pense et et justement ouais tu parlais un peu de de quelques marques, T'as cité Cuissoh, T'as cité Amazona, t'as cité d'autres aussi. Ce serait quoi un peu justement pour toi aujourd'hui une des marques un petit peu à suivre et pourquoi pas desquelles s'inspirer Je ne peux pas me faire des potes là, une des marques.Je vais t'en citer trois. Allez, pas de jaloux. Alors, je suis obligé de commencer par par cette marque-là. On en a parlé rapidement tout à l'heure, mais parce que avec le temps, ce sont devenus des des potes. C'est la belle boucle, donc la marque qui a été fondée par Laurin.Qu'on salue. Qu'on salue. C'est quand même une marque qui arrive à faire au bout de la quatrième ou cinquième année huit huit millions et demi de CA en organique. Je répète en organique, enfin c'est c'est juste invraisemblable qui m'appelle et qui me dit je comprends pas et j'ai une agence qui me demande de débourser cinq-mille euros dans les ads. Ouais, ouais moi en fait, c'est c'est ouf, c'est ouf.Elle a elle a créé une machine de guerre et c'est quelqu'un que je trouve, elle et Alexis, ce ce couple, je les trouve, enfin je trouve que ce sont des personnes extraordinaires. J'aime beaucoup travailler avec avec elle et lui. Et en plus de ça, c'est une success story incroyable. Enfin, je veux dire le, c'est une marque qui a décidé de mettre l'expérience client au coeur de tout, que ce soit online, que ce soit dans les studios puisqu'il y a trois studios aujourd'hui, enfin c'est c'est juste génial. Donc évidemment cette marque fait partie de mon top trois.Je pense à Bonsoir, enfin pour moi, déjà parce que j'adore les draps bonsoir. Bonsoir, c'est quand même les seuls qui ont réussi à me faire acheter un jeu de draps. Je les ai mis, j'ai fait une nuit, j'ai dit ok, je m'en rachète un jeu parce que c'est trop bien et parce que je n'ai pas envie d'attendre que, comment dire, de d'en mettre un entre les deux, tu vois. Enfin, je trouve ça, je trouve l'expérience absolument incroyable. C'est une success story française géniale.Les équipes sont adorables et et en plus elles ont travaillé avec des superbes agences pour pour la partie la partie online donc non c'est un. Très je crois notamment sur les, non je parlais plutôt de la partie digitale. Je crois qu'elles ont travaillé avec Unlight Lea sur la partie dev et elles ont bossé avec qui sur la partie design. Tu n'es pas avec le Moon Moon ou. Non.Non. Non non. Je ne sais plus, mais ou alors c'est online client, je ne sais plus, il faudrait que je te redis. Mais voilà sur la partie la partie online, ça ça a fait un gros gros gros gros gros travail et je suis ouais je suis archi fan de la marque. Ok.Et puis troisième marque, ah c'est compliqué troisième marque. Je ne sais pas tu penses à qui toi Joker. Écoute, moi ce que j'aime, une marque que j'aime beaucoup, c'est Epicure. Donc c'est un marché qui est quand même qui est quand même assez assez. Il y a beaucoup de beaucoup de monde, mais eux, je trouve qu'ils font quand même les choses, les choses très très bien au niveau de l'expérience client, au niveau aussi du fait d'impliquer vraiment à chaque étape en fait leurs clients dans la construction de leurs produits.Ils ont aussi une communication qui est beaucoup portée par le fondateur, donc Paul Etienne notamment, un des fondateurs et qu'on salue aussi. On a salué beaucoup de monde là aujourd'hui. C'est une table ronde. Mais ouais non non franchement c'est cool je trouve ils font ils font vraiment un super taf. Niveau business aussi ils sont pour discuter avoir pas mal discuté avec lui et c'est c'est quand même très carré aussi donc donc franchement non chapeau à eux je trouve que c'est une une belle une belle story ouais ouais.Complètement C'est vrai que Piqûre, je n'y pensais pas, mais en plus, c'est une marque qui m'a accompagné dans mon dans ma transition vers le végétarisme. Je ne sais pas si on écoute. Ouais, ok. Parce qu'ils ont un petit complément alimentaire qui est vraiment bien spécialement fait pour végan et végétarien. Trop bien.Et ouais, merci les gamins. On ira checker ça. Trop bien. Et écoute, mec, c'était une super conversation. On a pu parler de plein plein de sujets.Il y a Maxime qui est mort derrière la dernière, notre ingé son Le pauvre. Donc oui, écoute, Paul, lui, c'était une super, une super conversation. On a pu aborder plein plein de sujets. Personnellement, j'ai appris plein de trucs aussi, donc hyper cool et je pense que les auditeurs vont vont beaucoup apprécier. Donc justement, pour pour finir simplement, où est-ce qu'on peut retrouver tous tes conseils et te te suivre un petit peu Alors sur LinkedIn, je poste beaucoup, peut-être même un peu trop parfois.Sur LinkedIn, ouais pas mal, vous pouvez me suivre. L'idée c'est aussi que si les personnes ont des questions qu'elles puissent me ping directement par message. Les open hours encore une fois, j'insiste, mais on, c'est vraiment du temps qui est alloué aux personnes qui ont besoin de se challenger, qui ont un pain, qui ont simplement envie de prendre un café en virtuel ou pas d'ailleurs, si je sur Paris à ce moment-là avec avec grand plaisir. Mais vraiment enfin que que les personnes puissent se dire tiens, voilà, je peux bénéficier d'une d'une trentaine de minutes, d'une heure avec quelqu'un qui a un regard complètement extérieur. Je le dis avec beaucoup de de d'objectivité et de modestie, mais c'est aussi, enfin je bouffe de l'e-commerce en long en large en travers depuis depuis quatre ans maintenant donc c'est aussi c'est aussi ça c'est vous donner des tips vous partagez ce que je vois au quotidien et puis mine de rien ouais la newsletter anakin elle commence à bien prendre alors Ann Hacking en hommage au au plus grand héros de la pop culture qui soit à savoir Dark Vador mais ouais anakin c'est vraiment une newsletter que je partage tous les derniers mardis de chaque mois, dans laquelle on parle de plein de choses.C'est dix minutes de lecture pour dix heures de travail derrière. Donc lisez là. Mais vraiment, on est enfin à partir du moment où ça sert à quelqu'un, mieux. Il y a les y français. Franchement, c'est c'est une mine d'or, une mine d'or.Trop bien. Avec Joseph en prochain invité sur sur un épisode. Allez là, c'est parti. C'est parti.‍

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