Pour l'épisode 6 du podcast, Joseph reçoit Jonathan, co-fondateur de JOIN, une super plateforme française qui révolutionne la manière dont les marques e-commerce racontent leur histoire. Concrètement, elle vous permet permet d'intégrer des vidéos en format Story sur son e-shop.
Mais alors comment collecter des UGC qui donneront envie ?
Comment utiliser les webstories pour booster ses conversions ?
Quid des Shoppables videos ?
Pendant 45 minutes, Joseph et Jonathan discutent du potentiel du format vidéo pour travailler et optimiser le bas de son funnel de conversion, une thématique qui revient régulièrement parmi les enjeux de nos clients.
Bonne écoute !
Quand on est sur mon site, en fait, est ce que mettre un pack shot, un produit, une réduction et mettre une drop down en disant livraison, ça, retour, ça, ingrédients, c'est ça. Est ce qu'on pense vraiment que c'est une bonne expérience en deux mille vingt quatre La réponse, elle est, je suis catégorique, elle est, c'est non. La réponse est non. Bonjour, vous écoutez Loyoly Talks, le podcast qui parle de e-commerce, tout simplement. Une fois par mois, je reçois une personnalité inspirante de l'écosystème e-commerce français pour des discussions entre amis et sans prétention autour des sujets qui les passionnent. L'objectif décrypter les tendances e-commerce et partager des astuces concrètes pour faire cartonner votre e-shop. Je suis Joseph Aubry, cofondateur de Loyoly, la plateforme de fidélité et parrainage qui vous permet d'engager vos clients à travers plus de cinquante mécaniques. Partage, contenu utilisateur, avis client et bien plus pour augmenter votre LTV et diminuer votre CAC. Si loyoly talks vous plaît, abonnez-vous et n'hésitez pas à nous laisser cinq étoiles sur Apple Podcasts ou Spotify pour nous soutenir. Bonne écoute. Ravi de te de te rejoindre sur ce podcast. Carrément. Je faisais un épisode je pense. On va parler web stories sans sans surprise. Écoute, on est là pour ça. Mais ça va être très cool. Tu connais le principe. L'objectif c'est voilà donner des tips un petit peu activable aux marques. Et puis aussi faire découvrir la solution Join qui est qui est vraiment top. Avec plaisir. Du coup, peut-être on peut commencer par une petite présentation si ça te va. Avec grand plaisir. Écoute, moi c'est Jonathan, je suis un des deux co-fondateurs de Joint. Joint, c'est une solution qu'on a lancée il y a quatre ans avec une vision, si tu veux, qui est la même depuis le premier jour. C'est celle de pouvoir offrir aux marques une solution qui va leur permettre de reproduire l'expérience des réseaux sociaux, mais sur leur propre site pour lever tous les freins à l'achat. Et ça, on le fait justement, tu l'as évoqué grâce aux web stories qui est finalement un format qui est inspiré du social média, les stories qu'on connaît, mais qu'on va nous replacer sur les sites et sur les apps mobiles. Et ça se traduit par un logiciel SaaS voilà sur lequel on peut créer, diffuser et évidemment ensuite après analyser l'ensemble des résultats. Mais trop bien. Et c'est quoi un petit peu du coup les différents formats de web stories. C'est quoi ce qui marche le mieux un petit peu T'as des tas des conseils là dessus. Ouais, en fait ce que nous on déjà pour donner un peu de contexte, on a tu vois deux-cents clients à peu près aujourd'hui dans le monde. E-com effectivement on a une quinzaine de marques dans le groupe L'Oréal, Vichy, La Roche Posay, Garnier et j'en passe. Mais on a aussi beaucoup de marques DN ZB, D2C, La belle boucle, les secrets de l'Olly, NV galerie et j'en passe. Et effectivement, ce que nous, on conseille si tu veux aux marques, quelle qu'elle soit, quelle que soit la taille, c'est d'aller humaniser leur approche, humaniser leur site et donc forcément, on leur pousse à créer des stories qui mettent l'humain au centre. Donc ça peut être des stories évidemment très UGC. Je pense qu'on en reparlera, mais ça peut être aussi de montrer des unboxing. Ça peut être aussi de montrer des détails produits. Et en fait, là, je dirais que ce qui regroupe toutes ces web stories, le conseil que je peux donner en numéro un, c'est que les marques se posent la question de savoir quels sont leurs freins à l'achat. Quels sont les freins à l'achat de leurs consommateurs? Et finalement, ensuite, quand on note ça sur une sur un papier, quand on va mettre les différentes équipes autour d'une table, en fait on connaît les freins à l'achat et derrière et ensuite on peut on peut y répondre avec un format web story. Sachant qu'en fait si tu veux aujourd'hui le trafic, tu le sais aussi bien que moi il est de plus en plus mobile sur le téléphone. En fait aujourd'hui les marques elles ont au minimum au grand minimum soixante-dix pour cent de trafic mobile minimum, mais les gens ne lisent plus le texte. Donc en fait tu vois tu peux lever les freins à l'achat avec du texte, mais plus personne ne lit. Les gens aujourd'hui on est tous on regarde la vidéo, mais qu'on ait soixante ans et qu'on soit sur Facebook et qu'on ait seize ans et qu'on soit sur TikTok, finalement on consomme de la vidéo courte verticale et donc c'est ça le perpose en fait. Ok trop bien. Et du coup, c'est donc tu as parlé un petit peu des UGC qu'on peut mettre dans les web stories. Est-ce qu'il y a un peu d'autres formats que tu conseilles. Donc UJC, du coup, pour ceux qui n'auraient pas le terme, c'est user générated content. Concrètement, c'est des vidéos d'utilisateurs finaux, donc créées par des utilisateurs qui vont justement, comme tu disais, humaniser le parcours d'achat, l'expérience. Et puis, comme tu disais aussi, voilà, se se faire sentir avec une expérience sur les réseaux sociaux. Donc j'imagine qu'on va aussi pouvoir être plus actif sur le site, rester un peu plus longtemps, consommer le contenu. Donc il y a les UGC d'un côté, est-ce qu'il y a d'autres types de contenus peut-être créés par les marques elles-mêmes que tu peux ajouter En fait oui c'est tout est un mix si tu veux de contenu qui va qui va performer. On arrive sur une fiche produit par exemple je sais pas on va prendre une marque cosmétique, on arrive sur une fiche produit d'une marque cosmétique. La question qu'on va se poser c'est quels sont les ingrédients Donc on peut montrer tu vois les ingrédients du produit mais c'est encore une fois ça doit être incarné. Ça peut être un créateur de contenu, quelqu'un de la communauté ou même quelqu'un qui travaille au sein de la marque, on va l'incarner. On va montrer effectivement des UGC en parallèle on va montrer des contenus d'influence également. Tout ça c'est pour incarner la marque, projeter le consommateur. On va montrer une routine par exemple se dire ok moi là j'achète une crème de jour, mais qu'est-ce que je pourrais acheter comme produit complémentaire Et ça, ça permet de faire du, ça permet de faire du cross sell. Et ensuite pour continuer sur le chemin de lever les freins à l'achat, on peut expliquer la politique de retour, la politique de livraison. On peut aussi faire des avis clients. Une fois, l'idée, ce n'est pas de remplacer les avis clients qui sont avec du texte et des étoiles. Ça, dans tous les cas, il les faut parce qu'on les lit aujourd'hui. Notre cerveau est habitué à ça et on vient compléter tout ça. En fait, aujourd'hui, les gens, encore une fois, ils lisent beaucoup moins. Donc si on arrive à avoir des avis clients au format vidéo, c'est génial. Encore plus si on a des avis clients avec le produit entre les mains. Moi, je conseille souvent aux marques de se dire allez voir Amazon, allez sur Amazon, allez sur un produit quel qu'il soit Amazon, regardez les avis clients et regarder les avis clients où il y a juste du texte et sous il y a des photos. En fait vous vous regardez forcément les photos et on a le texte qui complémente l'image, qui complète l'image et c'est parfait. Et nous c'est ce qu'on essaie d'apporter sur la story. Trop bien. Du coup, donc ça, c'est plutôt sur les fiches produits. Mais est-ce que ça peut se mettre aussi à d'autres endroits sur le parcours d'achat Oui, en home page, ça fonctionne aussi extrêmement bien parce qu'en fait, on va venir créer des carrefours de redirection en se disant en fait, quand on arrive sur la home page, je vais faire rentrer mes consommateurs par la porte du contenu pour aller sur des pages collections ou sur des pages produits directement. Et donc on peut présenter une collab, on peut présenter un produit, on peut présenter un look, on peut présenter une routine. Tu vois, on peut présenter toutes ces tous ces produits là. Il faut être très orienté produits quand même. Tu vois là, on n'est pas enfin l'idée, ce n'est pas de faire du contenu très inspirant, très institutionnel parce que si tu veux, quand on est sur un site, on est, on n'est plus en mode discovery Product comme on peut l'être sur le social. On a avancé dans le funnel. On est quand même dans une démarche, soit de réflexion pour acheter, soit d'achat pur et dur. Et donc, il faut que notre contenu, si tu veux, il est quand même une relation très forte au produit, mais avec un côté humanisant. Et la force de Joy, c'est que nous, sur nos web stories, je conseille aux gens d'aller sur le site de Yay, pareil qui est une marque de bijoux ou je pense à Archi ou je pense à Sundress qui sont des marques clientes qui mettent des stories en beige comme ça les gens pourront les voir. Et en fait quand tu vas ouvrir le contenu, nous on rajoute si tu veux des boutons en fait qui épingle le produit. En fait quand tu es intéressé, tu peux directement cliquer et basculer sur la fiche produit. Et tu peux même faire autre chose pour aller vraiment directement augmenter tes métriques. Et que nous sur join, on a la capacité d'ajouter un add to cart directement sur la story. Et donc ça ce qui permet de se dire quelqu'un qui est si tu veux qui est intéressé, on va prendre l'exemple encore une fois d'une routine make-up. Si tu es sur talon page, que tu présentes une routine et qu'en fait tu fais défiler au sein d'une même vidéo les différents tags des produits, si quelqu'un est intéressé par la routine, il peut directement ajouter au panier sa routine et ça empêche si tu veux de se dire je vais sur une PDP un, une PDPDP une PDP trois Et là tu peux assez vite perdre ton ton consommateur. C'est une façon d'aller augmenter cette métrique qui est on le sait clé pour tous les e-commerçants. Ouais carrément et justement en parlant de de metrics, c'est un peu les metrics que tu vas suivre. Donc tu as parlé, tu parles aussi du taux d'engagement, de le temps que l'utilisateur va passer aussi sur le contenu, la jouer au panier, ça va être quoi aussi les autres metrics que tu vas prendre en compte C'est une très bonne question. Il y a deux catégories de metrics. T'as des métriques très business. C'est les principales, évidemment, c'est celle qu'on traque avec nos marchands. En premier temps, c'est de se dire évidemment, est ce que ajouter du short content à mon site qui va lever en théorie les freins à l'achat le permet. Et donc on regarde évidemment, est-ce qu'il y a un up sur la to cart. Ça, c'est la métrique principale parce qu'en fait ta web story, si elle est en PDP, tu vas tu as un impact. Pardon de PDP, je dis PDP c'est en anglais, c'est pour dire page produit. D'accord, mais c'est page produit. J'aime pas dire pipi en ce moment parce que les marques, les marques notamment L'Oréal nous disent beaucoup donc c'est plus rapide. Oui donc fiche produit. Et donc du coup, on va avoir avec les web stories un impact direct sur la to cards, donc c'est ce qu'on regarde. Après, il y a évidemment, est-ce qu'on a un up livre du taux de conversion Alors forcément, la taux de conversion, c'est hyper important que les marques aient en tête que un taux de conversion, il dépend évidemment de plein de choses. Si tu as augmenté ton at to cards grâce web story, mais qu'après au niveau de ton panier, il faut par exemple t'es obligatoirement enfin tu dois obligatoirement créer un compte. Si la personne se déchausse après pour passer à l'achat. Bien sûr, tu doutes bien qu'il y a plein d'autres facteurs. Et si cette carte passe pas, et caetera, et caetera. Tout à fait les flots de poster de d'abandon de panier. Mais bien sûr, aussi. Évidemment, mais quand même nous on arrive à on a des benchmark tu vois on peut aller augmenter jusqu'à huit pour cent le taux de conversion. En fait il y a des marques comme Bocu par exemple c'est jusqu'à plus douze pour cent. Ouais c'est Uj. C'est Uj donc mais mais il faut quand même faire prendre ça avec des pincettes pour certaines marques. Donc à tout cas taux de conversion. Et puis après derrière ça, il y a des métriques un peu plus subtiles que nous on regarde parce qu'en fait c'est directement, ça a un impact direct sur le business des marques, c'est deux choses, c'est le nombre de retours produits. En gros, il faut dire que quand tu mets des web stories sur une fiche produit, donc tu vas mieux décrire ton produit. On va mieux le voir, on va mieux le comprendre. Donc la personne qui achète, elle a mieux, elle a plus conscience de ce qu'elle va avoir entre les mains. Pareil si tu mets une story unboxing à la fois, tu projettes la personne dans la next step après achat, mais tu peux lui permettre aussi de comprendre qu'est ce qu'elle va avoir entre les mains même en termes de packaging, de colis, et caetera. Donc tu vas diminuer le taux de retour et encore une fois, tous les marchands te le diront. Le taux de retour, c'est très important. Ça impacte direct sur les dégâts. Les retours produits, il n'y a pas de sujet, il faut le traiter, il faut le gérer, c'est du stock, enfin c'est vraiment très galère. Donc taux de retour produits qui diminue et il y a aussi le nombre de tickets au support. Ça, au début, nous-mêmes chez Junk, on ne s'en est pas, on ne s'en était pas aperçu. Mais il faut se dire que quand tu vas exposer des réponses visuelles, vidéos, mobile first à tes prospects qui sont sur ton site, tu vas désengorger ton service client. Et qui répond au service client Ce sont des gens généralement bien sûr que avec l'IA, il y a plein de choses qui se mettent en place. Néanmoins, il y a quand même du derrière. Et donc ça, c'est des métriques un peu plus subtiles que nous on suit. Et puis ensuite, donc ça c'est une métrique business et puis ensuite tu as des métriques vraiment propres au contenu et on va se dire ok, c'est quoi le taux de clic sur nos stories Donc en fonction de la position, va dire est-ce que ça clique bien Est-ce que les gens sont intéressés pour cliquer sur le contenu Ensuite, on va regarder le taux de complétion jusqu'à où les gens vont dans une story. Ça, ça demande l'intérêt ou pas d'un contenu. Comme ça, on peut le supprimer si vraiment ça ne fonctionne pas ou alors capitaliser dessus et créer d'autres choses pour d'autres fiches produits si ça, si ça fonctionne. Et le taux d'engagement par nous, dans nos stories, on peut mettre des quiz, des sondages, des formulaires. Alors ce n'est pas tant sur une fiche produit que c'est intéressant de faire ça parce qu'on est dans une démarche d'achat. Donc on n'a pas envie de poser des questionnaires aux gens. Mais par exemple, sur un unboxing avec un petit fascicule, un QR code, tu scan et tu peux poser des questions à tes, à tes clients. Ce cas-là, oui le taux d'engagement si tu veux, il est très important et généré par le taux de clic. Le taux de clic, c'est ce que je te disais tout à l'heure si on rajoute tu vois des boutons dans nos stories pour rediriger vers une page collection par exemple, on va regarder tout ça. Donc métrique business, métrique contenu. D'accord ok. Et justement tu parlais du QR code dans la commande. Est-ce que ça aussi c'est un des usages de des web stories où une fois que l'utilisateur a déjà commandé, tu vas pouvoir un petit peu lui donner un tuto, des choses comme ça pour lui permettre d'utiliser le produit de manière beaucoup plus smooth que dire une notice. Et c'est exactement ça. C'est un peu relou. En fait, je vais reprendre l'exemple de Boku qui est très concret. Ouais, ouais, c'est un produit qui demande de la pédagogie. Il faut monter son Boku dans dans ses toilettes, donc ce n'est pas si évident que ça pour tout le monde, ceux qui ne sont pas très bricoleur même si c'est simple sur le papier quand même il faut s'imaginer. Moi par exemple je galère à, j'ai deux mains gauches, je galère à monter les meubles. Donc en fait je sais que la vieille notissica, c'est très relou tu vois j'ai plus tendance à aimer la vidéo. Et donc qu'est-ce que fait beaucoup Beaucoup quand tu commandes ton produit que tu le reçois, tu as un petit livret sur lequel tu as un QR code, tu le flash et là tu vois une web story qui arrive sur Safari ou sur Chrome, sur ton téléphone ou enfin sur ton Browser internet et tu vois William qui t'explique comment le monter en vidéo. Et donc toi en fait il faut se mettre dans la situation, tu es chez toi dans tes toilettes, tu as ton téléphone et tu as juste à regarder. Et un autre exemple, on va dire dans une industrie différente Blissim. Blissim, qu'est-ce qu'ils font avec nous Ils ont complètement réduit si tu veux leur usage papier, c'est une demande de leur communauté parce qu'en fait dans chaque box, tu avais tous les produits qui étaient décrits, et caetera. Ils se sont dit mais en fait, c'est une vraie demande de notre communauté et nous, ça nous permet de faire des économies financières. Et donc ils envoient juste un petit carton comme un carton de mariage. Un QR code, tu flashes, tu arrives sur une landing page à la fois le descriptif des produits et tu as des gens qui te parlent, qui t'expliquent ce qu'il y a dans la boxe. Et en fait, là, tu as le meilleur des demandes. Un, tu es en digital, donc pas de papier. Deux, c'est humanisé, tu as quelqu'un qui te parle et trois en termes de business, tu peux faire du cross sell parce que tu vois tu arrives sur une sur une vidéo, tu peux dire dans cette box, il y avait ça ça ça, bye de ways, c'est des échantillons. Si tu veux acheter le produit en gros, sache que tu as une réduc par exemple. Ouais stop. Tu vois c'est ce lien entre le digital et le monde physique surtout dans un moment où en fait l'unboxing les marques se rendent pas compte. C'est un moment clé sur lequel la marque n'a pas d'impact. Enfin elle a un impact parce qu'elle sait ce qu'elle envoie, à elle de faire un beau colis, un beau produit et caetera. Mais tu n'as personne de la marque qui te parle. Tu vois qui pourrait dire par exemple Joseph c'est ta première commande, merci beaucoup d'avoir commandé chez nous. C'est super cool pour telle et telle raison. Enfin, tu imagines le lien que tu peux créer avec ta communauté. Niveau expérience client, c'est vraiment changer en fait. Donc en fait du du de l'acte d'achat jusqu'à l'utilisation, en fait, tu peux vraiment implémenter la web stories absolument partout. Exactement. Pour ces pour ces de base à z. Donc ça, c'est ça, c'est hyper cool. Tu as parlé tout à l'heure du bouton add to cart. Oui. Est-ce que du coup, c'est ça qu'on appelle les shop Apple vidéo Tout à fait. D'accord, c'est exactement ça. En fait, c'est le fait de se dire j'ai une vidéo qui est choppable. J'ai une vidéo sur lequel je peux ajouter directement des métriques, enfin des boutons qui me permettent de les augmenter mes métriques business et c'est typiquement ça. Moi je ne crois pas encore si tu veux au fait de pouvoir acheter dans une story. Si tu veux acheter dans une story il faudrait mettre tes coordonnées de cartes bancaires et caetera. C'est peut-être l'étape d'après. Mais néanmoins le fait de faire de la to carte c'est génial parce que quelqu'un qui est intéressé par un produit boom il ajoute il ajoute au panier. Et ça en fait en tant que marque, c'est c'est puissant. Et justement est-ce que pour toi, ça serait quoi un peu la la web story ultime ou la vidéo ultime Si tu devais faire, on peut prendre par exemple un exemple sur une industrie comme la cosmétique où je sais que c'est pas mal publicité parce que forcément, tu vas avoir besoin de te rassurer, besoin de quelqu'un qui t'expliquait un peu comme tu disais, les ingrédients, et caetera. Ce serait quoi un peu, tu vois le la web story parfaite pour toi Il y a le fond et la forme. En termes de forme, c'est déjà un contenu qui est vertical. Pour épouser le téléphone, c'est mieux. C'est une story qui, c'est une web story qui va durer entre, tu vois, quinze et trente secondes max. Oui, je ne dis pas que les vidéos plus longues ne sont pas intéressantes, mais je dis qu'en fait, on est dans un moment d'achat et qu'il faut aller droit au but. Je dis que c'est une story qui doit être découpée, donc chapterisé. Nous, sur John, on a une fonctionnalité qui s'appelle Eye Chapter qui permet si tu veux d'intégrer une vidéo, tu upload une vidéo sur JYN et ça va te la découper automatiquement, mais en fonction de ce que de ce qui se passe dans la vidéo, de ce que la personne dit. Ce n'est pas à découper toutes les dix secondes complètement, c'est découpé intelligemment. Et le dernier, le dernier point qui est très très important, c'est sur les sous titres. Quatre-vingts pour cent des vidéos sont vues sur le son sur internet aujourd'hui. Donc en fait, quand tu ne mets pas de sous titres, tu te prives potentiellement de quatre-vingts pour cent de ton trafic qui ne comprendrait pas finalement à cent pour cent la vidéo. Pareil sur Jain, il y a une fonctionnalité qui s'appelle AI Chapter qui permet de sous-titrer automatiquement ta vidéo avec différentes u I. Donc voilà sur la forme, c'est vidéo verticale quinze à trente secondes chapterisée, sous-titrée. Et dans le fond, qu'est ce qu'on montre maintenant qu'on a dit ça C'est un peu ce que je disais au début, c'est il faut que ça soit humanisé, il faut que ça soit incarné. Incarné, ça peut être par des créateurs de contenu, ça peut être incarné par ta communauté, ça peut être incarné par quelqu'un au sein de ta marque. Je pense par exemple à Yad qui est une marque de lingerie qu'on adore chez Jane elles sont c'est une boîte qui a été fondée par Deborah El Baz qui est une entrepreneure vraiment extraordinaire. Et enfin je parle d'elle parce que elles se sont questionnées en se disant nous on a un vrai problème pour expliquer notre taille. Par exemple elles vendent des body Elles ont un problème pour expliquer leur taille. Et plutôt que de faire un guide de taille classique en mettant alors si tu fais du trente quatre chez nous, ça équivaut à un truc. Elles ont fait une story filmée avec leur iPhone posée sur un trépied avec une petite light vraiment très sobre, mais surtout très authentique et c'est ce qui fonctionne. Et qu'est-ce qu'il y avait dans le fond Il y avait Claire qui travaille chez IAD, qui était posée, qui était sur le plan, sur le champ et elle montrait une mannequin qui était, qui portait le body et elle expliquait les choses. Et ça, j'ai trouvé ça génial. En tant que consommateur, c'est ce qu'on veut. C'est comme si on était en boutique. Tu vois, c'est comme si on était en boutique et que tu avais une conseillère ou un conseiller de vente qui t'expliquait en fait voilà par rapport à votre morphologie, moi je vois plutôt aussi comme ça. En fait elle a expliqué le guide des tailles comme ça. Alors quand on fait une question de positionnement, tu te doutes bien qu'il y a d'un certain positionnement qui fait que d'autres marques je sais pas ultra luxe ultra premium ne se permettraient pas de faire ça. Mais c'est une des façons de faire le truc. Donc pour revenir à ta question c'est dans le fond c'est humaniser, incarner que ça soit authentique. Moi je conseille toujours aux marques de faire des vidéos verticales, des vidéos à l'iPhone excuse-moi plutôt parce que c'est des c'est c'est c'est le format aujourd'hui qu'on a envie de voir. Oui puis la qualité est quand même Mais bien sûr. La preuve on est en train de filmer à l'iPhone en soi même donc normalement ça devrait. Les gens se choquent. La qualité extraordinaire qu'on leur délivre. Mais oui, oui, en gros, c'est voilà, c'est dans le fond et dans la forme. C'est comme ça qu'il faut qu'il faut aborder le sujet et j'en reviens à ce que je te disais au départ. C'est il faut se questionner sur quels sont les freins à l'achat et ensuite y répondre. Et il y a un impact direct après sur les métriques. Ok, il est hyper intéressant et du coup tu parlais d'authenticité à l'instant, ça me ça m'évoque un peu la question des sujets justement. Vous, de votre côté, donc alors j'ai deux questions en fait. La première, pour revenir un petit peu en arrière avant de parler des UGC, une question que je me posais, c'est est-ce que chez Jane vous proposez les vidéos un petit peu interactives Vous, ce n'est pas forcément quelque chose qui est possible. Par exemple, tu es dans la story et puis en fonction de là où tu vas cliquer sur ce que la personne dit, tu vas pouvoir aller dans un autre, tu vois, ça enchaîne sur un autre, une autre vidéo. Je me posais la question est ce que c'est un truc que vous avez en tête pour la suite peut être ou. Alors on ne le fait pas tout de suite parce que nous, il faut vraiment comprendre qu'on est une techno, on est le contenant, on n'est pas vraiment le contenu. On essaie de faire en sorte que les marques agrègent le plus facilement possible leur leur contenu et on va venir aider à la marche sur la partie création avec tu vois on a cent cinquante templates sur notre sur notre outil. Template à des clients, Template UGC, Template influenceur, Template livraison et cetera qui va venir aider la mise en forme de ta vidéo. En revanche là où on va aider sur les UGC par exemple c'est que nous on s'est questionné, on s'est dit qu'est-ce qui est hyper chronophage en tant que marque et quels sont les problèmes structurants dans une marque e-commerce concernant les UGC. Et bien en fait il y en a deux. Il y a déjà le fait de pouvoir récupérer les UGC, c'est très galère. Pourquoi Parce qu'ils sont postés sur TikTok, ils sont postés sur Insta. Parfois tu as des stories qui sont postés le dimanche. Toi, en tant que marque, comment tu fais pour récupérer ton contenu Tu ne l'as pas, il disparaît. Et deuxième problème structurant quand tu prends des marques qui vont dépasser, tu vois les trois ou quatre millions d'euros de chiffre d'affaires, tu commences à avoir plusieurs teams social media, team com et chacun chacune de ces teams ont des enjeux différents, ne communiquent pas tout le temps de la meilleure façon. Donc il y a un problème parce que l'équipe sociale média, elle se tue à la tâche pour faire du contenu incroyable. Ce contenu incroyable finalement, il est bloqué dans les réseaux. La se dit en fait pourquoi enfin comment je pourrais avoir accès à ton contenu. Du coup il faut se faire quoi, il faut s'envoyer des ou de transfert, mais il n'y a pas moins de les intégrer sur son site. Bref tu vois c'est ce problème de communication. Et comme on a résolu le problème chez Joy, on a développé une fonctionnalité qui s'appelle UGC tout simplement et une marque peut connecter son compte Instagram en direct. Je te prends l'exemple de with and new. With and new tous les jours ils ont des milliers de personnes qui postent des stories, des reels et des photos en taguant la marque. Donc c'est compliqué pour eux de gérer tout ce flow là sur Jane. Ils vont connecter leur compte We the new et vont voir remonter en direct story post reels de leur communauté. Donc déjà bénéfice numéro, tu peux stocker ces contenus, tu ne les perds pas. Deuxième avantage, tu n'as pas les droits au démarrage, donc tu peux faire une demande de droit depuis John. Il y a des d m automatisés qui partent sur insta en disant hello on adore ton contenu, on aimerait le remettre sur notre site. Est-ce que tu es chaud ou pas Et les gens ils ont juste à dire en DM yes no. Tu donnes un petit code de quelques chantiers. Alors ça dépend tu as des marques qui ne donnent rien parce qu'en fait il faut comprendre que les gens de leur communauté sont déjà tellement heureux ce qu'ils veulent d'apparaître sur le site. Mais sinon tu peux pousser avec un petit code promo et faire ça. Et donc derrière une fois que tu as le go ou le no go mais enfin dans tous les cas tu as une réponse, quand tu as une réponse du moins, tu es notifié et tu peux réutiliser en un clic ensuite le contenu. C'est trop bien ça. Et ça, ça permet déjà de résoudre les deux problèmes. Les équipes sociales et les équipes ecom ont un pont entre elles et de deux, il y a ce sujet de stockage et de d'utilisation du contenu qui est résolu. Sachant que après quand c'est intégré dans une web story, ce qu'il faut vraiment avoir en tête c'est que ajouter du contenu vidéo sur un site, c'est ça ralentit le site de base. Ajouter du contenu vidéo sur un site, ça ralentit ton site et on sait très bien que la vitesse d'un site est directement liée à la performance business. Donc chez John, il faut vraiment avoir en tête que c'était notre problème day 1 qu'on a taclé et on a le script le plus léger du marché. Pour info, il fait à peu près treize chaos notre script, ce qui n'est même pas le poids d'une image. Mais du coup, le script étant très léger, ça permet de ne pas ralentir la fiche produit et donc d'intégrer ce qu'on disait du contenu notamment sur son sur sa fiche. Et donc hyper intéressant et trop pratique pour pouvoir du coup collecter les contenus et les afficher de manière totalement si laisse et facile entre toutes les équipes. Et est-ce que toi tu aurais des astuces pour justement aider un peu les marques à favoriser la création de contenu j'ai c en elle-même. Est-ce que du coup c'est des questions qu'elle vous pose un peu Bien sûr. Je pense que déjà effectivement le fait de se dire en tant que marque, je vais faire créer du contenu UGC ou influenceur, c'est le b a ba, c'est une base. Il faut absolument le faire, il n'y a aucun sujet, les marques qui n'y vont pas pour moi c'est assez problématique. Ensuite effectivement il y a un sujet de comment on le fait. C'est vrai qu'il y en a beaucoup qui se posent excuse de de effectivement, il y en a beaucoup qui se disent ouais voilà, j'ai peur que ce ne soit pas assez qualitatif, que ce ne soit pas assez cadré, et caetera. Il y a des solutions qui existent pour pouvoir cadrer un peu cette création de contenu, mais Bien sûr, dont dont la vôtre aussi qui aide beaucoup. Moi hier j'avais une discussion sur ce sujet avec la marque monsieur Moustache qui disait ok mais nous effectivement on a sorti une collection avec des articles premium. En fait, on n'a pas envie que entre guillemets n'importe qui puisse poster dessus. Et qu'est-ce qu'ils ont fait En fait, ils ont vraiment fait un tri à la mano. Ils ont choisi, ils ont sélectionné les bons influenceurs. Donc oui, il y a un travail humain qui prend du temps, mais tellement bénéfique après pour la marque de se dire ok pour tel produit, je choisis tel créateur de contenu. Et en fait, du coup que c'est comme ça que ça fonctionne. Et après, il y a d'autres marques. Je pense par exemple à un très bon ami à moi Alessandro Lusardi qui gère toute l'acquisition de Respire, de IG, d'embryolis et eux ils ont une stratégie tout à fait différente qui est de se dire nous on va être top of mind les gens. Et donc qu'est-ce qu'on fait pour un top of mind Tous les mois on envoie des milliers, je parle de milliers, des milliers d'échantillons à des créatrices de contenus parce que pour vraiment être vraiment dans les scripts de consommatrices, on a envie de faire de la masse. Donc c'est une approche qui est complètement différente. Il y a la masse d'un côté, il y a le côté très piqué d'un monsieur moustache de l'autre côté et après il faut naviguer entre les deux. Et si les marques se demandent comment faire, elles peuvent me contacter avec plaisir pour leur dire dans quel prisme il faut qu'elles se, enfin dans quel endroit du prisme il faut qu'elles se mettent. Mais voilà, en partant de comprendre que dans tous les cas aujourd'hui le monde dans lequel on vit, le monde des réseaux sociaux qui existent aujourd'hui te permet de faire les deux. Et puis aussi faire du mass selling, ça demande aussi un certain budget. Donc toutes les marques ne peuvent pas se permettre d'envoyer des milliers d'échantillons tous les mois. Oui, il y a une solution assez simple typiquement donc désolé de faire un peu la pub de l'ONU. Typiquement, c'est vrai que c'est, ils peignent en fait comme tu dis de créer vraiment des sujets en fait pour pour les marques. Tu vas passer par des influenceurs, mais effectivement ça peut nécessiter soit un budget influence qui est relativement conséquent et ou avoir devoir envoyer des échantillons à pas mal de personnes. D'un point de vue opérationnel, voilà ça peut être un peu un peu lourd parfois. Oui. Et du coup, c'est vrai que Loyoly pour le coup ça permet en fait l'utilisateur, ton client, il a déjà le produit. Tu n'as pas besoin de lui envoyer un échantillon. C'est quelqu'un qui kiffe ta marque parce qu'il a acheté chez toi. Pour en fait, pourquoi pas lui proposer via le programme de fidélité directement de créer une story, de créer un reel, un post, de t'envoyer des photos. Et puis j'ai hâte qu'on puisse potentiellement ensuite intégrer pourquoi pas une solution pour aller piocher dans la bibliothèque du GC. C'est exactement ça. Directement pour implémenter sur John derrière. Ça paraît assez évident comme intégration. Parce qu'on se dit nous on fait le contenant, vous vous faites le, vous permettez le contenu et il y a un point naturel entre entre une ou deux structures. Je trouve ça intéressant, c'est que des outils comme le tien, comme le mien, comme Just, on apporte à des e-commerçants, on essaie de soulever un problème à un endroit très précis du funnel. Moi, c'est ce que je trouve très intéressant. Je pense que les marques e-commerce, effectivement, à partir d'un certain chiffre d'affaires, se questionnent sur mais quel outil finalement je dois je dois prendre et je pense que ces marques qu'elles doivent faire c'est regarder leur funnel de a à z et se dire mais à quel moment vraiment j'ai du drop voilà comment je dépense à quel moment c'est vraiment painful pour moi. Et après en fonction de ça de sélectionner les bonnes les bonnes solutions. C'est cette question qu'il faut prendre évidemment on ne peut pas elles ne peuvent pas prendre tous les outils. Sinon elles ont un, elles ont un cost annuel qui est énorme même si on peut voir ça comme des investissements, ça a des investissements quand c'est héroïsme, mais elles peuvent pas se permettre de tout prendre. Donc je pense qu'effectivement la démarche c'est de se questionner sur où est-ce qu'on a des vrais problèmes nous en tant que marque et après il y a toujours des solutions sur le marché pour répondre la plupart du temps. Effectivement ça c'est vrai que ce qu'on disait aussi la dernière fois c'est qu'il y avait en fait depuis des années il y a beaucoup beaucoup de dépenses en acquisition et là ce qu'on voit c'est que comme tu dis quand tu descends plus bas dans le funnel en fait il y a vraiment beaucoup beaucoup d'argent qui est laissé sur la table c'est ce niveau de la conversion donc en en agrémentant le parcours de d'avis du g c de preuves sociales Oui bien sûr. Et même depuis Instagram directement avoir voilà des followers qui grandissent en engagement qui grandit ça ça crée vraiment de la confiance, les web stories, le check out optimisé avec Just et puis ensuite voilà fidéliser les clients, pourquoi pas en les récompensant pour toutes les raisons qu'on vient d'évoquer pour justement aller vraiment travailler cette fin de funnel et typiquement deux mille vingt-quatre, deux mille vingt-cinq, c'est vraiment le le bas de funnel, le bas de funnel, la logique sur lequel les marques sont en train de de se mettre actuellement compte tenu des des coûts qui sont Mais bien sûr. En fait, je pense que qu'est-ce qui s'est passé finalement, c'est que comme tu l'as dit, les budgets acquisitions ont explosé, même le nombre d'agences acquisition aujourd'hui, enfin c'est une concurrence qui est démentielle. Mais pourquoi finalement Parce qu'en fait, quand tu prends un responsable e-commerce, un CM0 ou un c o ou même un CR0 peu importe en tout cas les gens qui vont gérer le revenu durant la partie acquisition, c'est facile, enfin c'est facile. Aujourd'hui, c'est facile de dire si j'investis cent, je récupère deux cents. Donc en fait, quand on fait un PNL, c'est assez facile. Tu parles Un euro dans la machine et j'en ai tant qui reçoit. Voilà donc du coup, c'est facile d'arriver et de dire aux big boss de la boîte bon ben voilà regarde cette année il faut qu'on mette tant, on va récupérer tant, c'est assez facile. En revanche après se dire mais comment je vais optimiser tout le reste, ça, c'est du laisser pour compte. Parce qu'en fait, on a trop tendance à croire que si je fais venir cent personnes sur mon site, du coup, je vais en convertir quoi cent. Non, pas du tout. En fait, aujourd'hui, c'est quoi la métaphore qu'on peut faire C'est se dire que l'acquisition c'est un tapis rouge, tu amènes les gens à ces festivals de cannes pour les amener chez toi, ils ouvrent les portes de chez toi et donc ton site ils ouvrent et c'est le bordel total. Et donc en fait maintenant il faut ranger sa chambre parce que quand les gens arrivent chez toi, il faut que ça soit, qu'ils aient la même impression de tapis rouge. Donc c'est effectivement tu l'as dit c'est comment j'ajoute de la preuve sociale sur mon site Comment j'ajoute des UGC Comment je fais en sorte que mon panier enfin mon check out soit extrêmement simple et efficace et après derrière pour ceux qui ont acheté, c'est évidemment beaucoup moins cher de fidéliser un client que d'acquérir un nouveau client. Donc comment je les récompense Il est temps vraiment aujourd'hui pour les marques de se poser là-dessus. Des agences d'acquisition qui font le travail, il y en a plein, il y en a des excellentes sur le marché. Moi pour le coup, je Tu connais bien ce milieu en plus. Mais on travaille avec des dizaines d'agences qui nous qui nous voilà avec qui on travaille main dans la main. Sincèrement des Benelvic, des brain labs, des data shakes, je peux en citer plein. Ces gens-là sont excellents. Donc en fait pour moi, ce n'est pas un sujet. Les marques peuvent se staffer comme il faut. Aujourd'hui, le sujet, il est autre. Aujourd'hui, le sujet, il est de se dire ok conversion et fidélité, qu'est-ce que je fais Genre concrètement, qu'est-ce que je fais Quand on est sur mon site, En fait est-ce que mettre un pack shot, un produit, une réduction et mettre une drop donne en livraison ça retour ça ingrédients c'est ça. Est-ce qu'on pense vraiment que c'est une bonne expérience en deux-mille-vingt-quatre La réponse elle est je suis catégorique à l'aide c'est non. La réponse est non. Donc en fait c'est qu'est-ce qu'on rajoute là-dedans pour faire en sorte de créer une expérience qui est différenciante et qui lève encore une fois les freins d'achat. Et il faut vraiment que les marques se questionnent là-dessus Et aujourd'hui nous c'est un truc qu'on voit chez John, c'est que nous on est passé d'un marché on va dire d'éducation où on devait éduquer les marques beaucoup sur pourquoi la preuve sociale est importante en vidéo à cet endroit précis de votre site à un marché de compétition. Donc on a des compétiteurs qui arrivent tous les mois. Mais au-delà au-delà cet aspect compétitif, les marques aujourd'hui se regardent toutes entre elles et en fait elles comprennent. Aujourd'hui les marques prennent toutes le pli de, ah oui effectivement quand on y pense, moi en tant que consommateur quand je vais sur un site et que je vais acheter une robe, avoir trois backshots, ça ne suffit pas. Donc c'est moi en fait le sujet, c'est que je retourne sur Instagram pour regarder les robes et du coup, c'est je suis sorti de mon site, c'est terminé. J'ai envie d'être sur le site, de voir la robe en mouvement, différentes morphologies. Comment je peux renvoyer la robe si ça ne va pas. En fait, c'est ça qui marche aujourd'hui. C'est ça. Et puis ce qu'il faut garder en tête aussi, c'est que le ROI, c'est bien. Comme tu disais, c'est beaucoup plus facile à défendre en interne pour un CM0 qui dit à son vote, voilà écoute John, je mets cinq euros dans la machine, un euro dans la machine, il m'en ressortant. C'est un calcul facile à faire. Mais effectivement, rendre ses clients contents, faciliter leur expérience client, faire en sorte qu'ils te recommandent, qu'ils achètent chez toi, qui crée vraiment de la preuve sociale. C'est un exercice qui est plus compliqué. Et comme on est sur le bas de funnel, forcément, ça met plus de temps. Exactement. À faire ses preuves. Exactement. Je pense qu'il faut aussi passer d'une logique très un peu court termiste quelque part. Oui. R00 En fait, voilà le temps, il faut prendre un petit peu le temps, le temps long, travailler en fond sur tous ces sujets de conversion et tension recommandation. Et à la fin de l'année, je verrai ce que ça m'apporte, mais mais je pense que c'est aujourd'hui un investissement qui est indispensable. Mais bien sûr. C'est devenu trop difficile aujourd'hui de se reposer uniquement sur de l'acquisition de nouveaux clients sans prendre en considération le reste du parcours. Mais évidemment, et puis dans les temps actuels, c'est très difficile d'acquérir des nouveaux clients. Ça coûte très cher d'achat des nouveaux clients. Donc en fait, il faut vraiment se questionner sur quand j'aime quand une fois que j'ai acquis ce nouveau client qu'il arrive chez moi dans ma maison sur mon site, qu'est-ce que je fais Et une fois qu'il a acheté effectivement qu'est-ce que je fais Qu'est-ce que je leur propose en poste achat Qu'est-ce que je leur propose en poste achat en tant que marque Je pense qu'aujourd'hui c'est vraiment capital pour les marques et Loyoly ou pas Loyoly, Join ou pas Join en fait on n'est même pas là pour dire ça, c'est vraiment ouais c'est vraiment un message que je passe. Il faut se focus maintenant sur et je dis pas qu'il faut l'exprimer à l'acquisition pas du tout de toute façon sinon il n'y a rien non mais de toute façon du coup il n'y a personne qui va chez toi donc comme ça c'est fait. C'est bien si tu fais tu fais ta meilleure table pour pour ton meilleur dîner mais si tes convives ne viennent pas c'est un peu relou. Mais du coup, en tout cas, il faut vraiment maintenant se concentrer sur sur sa propre maison et je finirai par un point qui me paraît très important parce que ça fait ça fait souvent tiquer les marques quand je dis ça, c'est que historiquement, les marques sont toujours plus fortes sur leurs réseaux sociaux que sur leurs propres sites. C'est assez aberrant quand on y pense. Les réseaux sociaux, on les loue. Les réseaux sociaux, ils changent. Avant hier, c'était Facebook. Hier, c'était Insta. Aujourd'hui, c'est TikTok. Demain, ça sera autre chose. Ton site, il bouge pas. C'est chez toi, c'est ta maison. Donc tu peux le travailler sans cesse et sans cesse. Donc il faut faire en sorte d'être aussi fort. Je ne dis pas plus fort, aussi fort sur ces réseaux sociaux que sur son site. Et ça, ça fait la diff. Oui, c'est clair. Et puis aussi, voilà, créer des points en fait entre justement ces réseaux sociaux et son site. Et encore une fois la question à se poser c'est comme ça coûte tellement cher d'acquérir un client, comment je fais vraiment pour maximiser en fait l'impact de chaque client que j'ai aujourd'hui Bien sûr. Pour le rendre satisfait et aller ensuite capitaliser sur cette satisfaction-là pour le fidéliser et aller en chercher d'autres et créer un peu des des des loupes, des cercles vertueux pour faire contribuer mes utilisateurs finaux à améliorer ma conversion. Typiquement en récompensant un client qui met des avis, qui nous envoie le Jc, qui fait du referral. Exactement. Ça va en permettre de créer un cercle vertueux sur la fin du fenêtre. Exactement. Et du coup de se permettre de payer potentiellement des coûts d'acquisition qui sont plus chers parce que j'ai rentabilisé du coup la la LTV d'un client et donc je peux augmenter mon CAC derrière de manière assez assez mécanique. Ouais et puis il y a aussi je trouve quand on est responsable e-commerce par exemple et qu'on gère ces sujets aux responsables CRM, à la fin de l'année quand on fait le bilan, on se dit quels sont les projets que j'ai mis en place et qui ont abouti ou même les projets que j'ai testés justement pour lever tous les problèmes que j'ai sur mon funnel. Et je pense que toi comme moi, mais comme Just, comme Omi même que je peux citer ou comme Ubu de Paul Albu sur la partie DM Instagram sont des solutions clés en main qui te permettent à la fin de l'année de faire le bilan en disant voilà, j'ai activé telle et telle et telle solution pour tenter de répondre à certains problèmes. Encore une fois, je ne dis pas aux marques de tout prendre. Forcément, ils ne peuvent pas tous se permettre de faire ça. Mais du moins, aujourd'hui, il y a des outils digitaux qui permettent clé en main en quelques mois de se dire ça marche ou ça ne marche pas et d'arriver au dessus d'un enfin auprès d'un décisionnaire en disant voilà au début de l'année, c'est mis cette roadmap. J'ai activé ces outils, ça, ça marche, ça ne marche pas. L'année prochaine, on continue, on arrête. Mais tu vois aujourd'hui c'est hyper important, même c'est un point de vue carrière de se dire comment je grandis moi au sein d'une marque e-commerce ou comment je passe dans une marque encore plus importante où je, enfin tu vois je grandis en tant que que avec expérience et ses priorités. Il faut se backer avec des outils parce que sincèrement ça permet de faire la diff de façon concrète en se disant tu vois là j'ai une fidélité, j'ai une taux de conversion, j'ai une engagement en DM Instagram, j'ai utilisé tel outil ça m'a coûté temps, voici le ROI, On continue, on n'a pas, mais en tout cas, j'ai fait des choses très concrètes. J'ai fait des choses très concrètes. Donc même tu vois pour que les gens se questionnent sur comment faire pour progresser au quotidien et pour amener plus loin ma marque, il y a des outils aujourd'hui clairement qui vous permettent de monter des projets et de calculer leur. Hyper intéressant cette discussion. Et du coup, pour finir un petit peu l'épisode, j'arrive qu'on prenne une petite step pack pour voir, parce que ça, je pense que c'est un sujet qui va intéresser les marchands. Vous en avez parlé, je crois, avec Hugo de Omy n'y a pas longtemps sur un webinar et je crois qu'il y avait Jérémy aussi de de je crois sur la fiche produit parfaite. Ouais. Du coup, toi, c'est un endroit dans le site que tu vas beaucoup regarder. Tu l'as déjà. La Pdify comme comme on dit dans le dans le milieu. Du coup, ça serait quoi pour toi la fiche produit parfaite Je pense à un truc qui peut intéresser. C'est une excellente question. Alors je pense que déjà au niveau des visuels, c'est très important d'aller tester ces visuels. En fait, c'est long et fastidieux de faire des packs shots et en fait je pense qu'il faut réussir à tester plein de packs shots différents et même les saisonsaliser. Justement on parlait d'OMI, OMI te permet si tu veux d'arriver de scanner ton produit de dire pour noël on voit mon produit dans certain environnement pendant la fête des mères, c'est un environnement que ça. Donc tu vas abaisser tes visuels. Je pense qu'au niveau des visuels, c'est important que ça soit premium, qualitatif. Parce que l'image qu'on renvoie du produit, c'est important que la brand s'exprime à ce moment là, quel que soit le produit qu'on vend. Je pense que c'est on arrive, on a envie d'acheter le produit. Il faut qu'il soit désirable ce produit. Et ce n'est pas parce que ce n'est pas, on n'est pas quartier. Tu vois, ce n'est pas, ce n'est pas, ce n'est pas, ce n'est pas, ce n'est pas le fait de montrer des bijoux. Mais même quand tu fais des jouets pour enfants, c'est important de se dire c'est ça que je vais acheter à mon fils ou à ma fille ou que je le ferai en cadeau. Premier point grosse qualité de visuel, mettre du budget là dessus, que ça soit en shooting classique, que ce soit avec des outils, se concentrer là dessus. Premier point. Ensuite deuxième point de réfléchir cette fiche produit mobile first. C'est-à-dire que ce faut vraiment quand on dit un exemple précis, on est sur figma, on a demandé à nos designers de faire la fiche produit et il faut penser mobile. Il Faut pas penser, il faut penser mobile first. Moi je vois trop de marques aujourd'hui qui quand elles présentent leur figma, nous présentent leur architecture desktop. Je leur dis vous êtes gentils les gars mais c'est quinze pour cent de votre trafic très sincèrement ce n'est pas ce qui m'intéresse le plus évidemment ça convertit plus en desktop mais très sincèrement aujourd'hui justement il faut faire la différence mobile. Donc penser mobile, penser mobile, ça veut dire du coup pas trop de texte, pas trop de texte parce que les gens ne lisent pas et en fait ça fait des pages produits à rallonge qui n'ont aucun intérêt. Et donc pour ça, effectivement comment on contre ça, on intègre du short content vidéo qui vient vraiment expliquer ce qu'on a dit à l'écrit, mais au format vidéo. On vient on vient ajouter ces web stories juste en dessous de la to cart. On laisse la to cart en priorité puisqu'en fait on a vraiment besoin que la to cart soit le plus visible possible. En dessous, on met de la de la web story. Donc ça, c'est le dernier point. Enfin, c'est la voie d'un point. Et le dernier point, c'est qu'on va continuer dans la preuve sociale avec les avis clients. Et là, c'est oui, il faut des avis clients, mais faisons en sorte que ces avis clients soient le plus, je pourrais dire authentique possible. Je préfère qu'il y ait moins d'avis si tu veux qu'il y ait des avis où on sente que c'est fake et parce qu'en fait il faut juste se dire que les gens quand ils arrivent sur un site sur une fiche produit, ils ont une jauge de confiance. Donc la jauge de confiance soit elle augmente et elle augmente très souvent par goutte et elle se perd un peu par litre affaire. Donc en fait si tu si tu mets des habitudes un peu voilà pas extraordinaires, ça peut tout de suite faire dégringoler ta jauge de confiance. Donc voilà j'ai dû aux marques de faire très attention là-dessus. Ouais carrément, il faudrait bien cadrer aussi les avis clients et puis les sociétés à mettre des photos Exactement. Des vidéos dedans. Photo, vidéos, visuelles. Encore une fois, j'encourage les gens à aller sur les fiches produits Amazon où ils peuvent voir ce que la différence entre un avis texte et un avis texte plus photo. En fait les gens vont se rendre compte qu'ils vont dire oui c'est évident. Parce qu'il y a il y a vraiment cet aspect, c'est évident et j'encourage les marques à faire ça. Ouais carrément. Je pense plein de bonnes pratiques et petite question pour finir du coup au niveau du coup tu as un peu deux types de marques qui peuvent potentiellement nous écouter. Tu as les marques qui vont se lancer, puis tu as les marques à l'étape d'après qui vont un peu scale. Est ce que toi, tu as des conseils par rapport à tout ce qu'on vient d'évoquer pour ces deux catégories de marques là Je pense que pour les le conseil commun que je donnerais déjà, c'est de toujours AB tester. Je pense qu'il y a trop de marques qui sont pas encore dans une démarche d'AB testing. L'AB testing c'est vraiment clé parce que ça permet d'avoir une boucle de learning très importante. Je teste mes créa donc ça il faut en parler à son agence d'acquisition tu vois d'AB tester. Nous chez Joy sur la partie vraiment contenu, on site pareil on peut tester, tester différents contenus, se demander ce qui fonctionne donc ça c'est un conseil commun. Ensuite, pour les marques qui débutent, quels conseils je donnerais pour O'Child C'est de ne pas arriver en disant je vais révolutionner tout mon site, je vais mettre du short content vidéo sur toutes mes fiches produits. En fait, si on est, si on a une seule ref, du coup, il n'y a pas de sujet. Si on a dix ref, il n'y a pas de sujet. Par contre, si on a cinquante sons et voire parfois des milliers de ref, on commence par ces best-sellers ou ces produits du moment et on commence light petit. Ça permet deux choses déjà, ça permet d'être beaucoup moins engageant en termes de travail. En fait, la montagne nous paraît beaucoup moins haute parce que forcément même quand on doit vendre le projet en interne c'est beaucoup plus light et du coup ça nous permet surtout de mieux faire les choses puisqu'on se concentre sur un certain nombre de fiches produits. Encore une fois on a des learning et ensuite derrière ça nous permet de de scaler. Donc ça c'est le premier point pour les marques qui débutent. Dernier conseil c'est humaniser donc vous prenez vos UGC, vous prenez des contenus de créateurs, vous filmez les gens en interne, c'est pas forcément le cofondateur ou les cofondatrices, ils n'ont pas envie de se montrer. Vous prenez des gens qui sont chauds de se montrer en interne et vous faites des contenus authentiques. Encore une fois si les marques veulent vraiment savoir quoi faire précisément, ils peuvent nous contacter. On a des centaines d'exemples à leurs à leurs données pour les pour les inspirer. Et pour les marques qui scale, là le sujet c'est de se dire bon ok moi j'ai démontré que ça j'ai démontré que ça marchait. Donc comment je fais pour être présent sur tout mon site Nous ce qu'on voit avec les marques par exemple je reprends with the new with the new ils ont pas plus de quinze mille références sur leur site. Et donc ce qu'ils font, c'est qu'ils prennent les problématiques qui sont communes à tous leurs produits. Typiquement, comment on authentifie une basket Et c'est quoi la politique de livraison et de retour Et ça, en un clic grâce à Joy, ils les mettent partout Et ensuite, ils vont prendre les les les les les les références, les s qui sont les plus importantes pour eux à un instant t. Par exemple, cet hiver, c'était les c'était les hugs. Et donc du coup là ils se sont mis en mode créa de contenu où ils ont récupéré du contenu pour cette gamme là qu'ils ont mis sur ces chaussures là. Donc c'est un mix entre du contenu commun et du contenu unique par rapport à une réflexion du moment. Donc ça, c'est ce qui permet de, c'est ce qui permet de scaler selon moi. Trop bien. Et du coup, est-ce qu'on peut te retrouver mon cher mon cher John et découvrir John Et tout simplement sur notre site joint tiret stories point com. Si les gens veulent me contacter, c'est très facile. C'est jonathan arobase team joint point f r. Et sur Non, team joint attaché. D'accord. Attaché point f r. Et puis s'ils veulent nous suivre sur les réseaux, on communique beaucoup sur LinkedIn, donc joint sur LinkedIn, John stories sur sur Instagram et voilà on a l'habitude de communiquer et on essaye d'être, on est une marque b to b mais on essaye d'être hyper créatif et d'apporter voilà des contenus qui sont esthétiques pour pour les gens qui nous regardent, pour avoir une petite dose de de fraîcheur et La preuve il a voulu prendre une photo tout à l'heure, on a dû la refaire quatre fois. Quatre fois je leur ai dit les gars si j'ai pas la photo parfaite en vertical évidemment pour post en story, marchera pas. Trop bien. Merci beaucoup John. Merci mon gars. C'est un plaisir. Un plaisir. À très vite. À très vite. Ciao. Merci d'avoir écouté cet épisode de Loyali Talks jusqu'au bout. J'espère qu'il vous a plu et que vous avez trouvé plein d'astuces à tester pour votre marque. Si c'est le cas, abonnez-vous pour ne pas rater le prochain. Parlez-en autour de vous et laissez-nous une note cinq étoiles sur Apple podcast, ça nous aide beaucoup. Enfin, si vous avez besoin d'augmenter votre LTV, n'hésitez pas à me contacter sur LinkedIn ou sur notre site point I o. À bientôt.