Aujourd'hui, Joseph reçoit Jérémy Pinto, cofondateur de JUST, l'expérience en ligne qui rend le shopping simple, smart & social.
Ensemble, ils explorent pendant 1h les meilleures pratiques pour améliorer l'expérience utilisateur lors du checkout, augmenter les taux de conversion et réduire l'abandon de panier.
Bon visionnage !
Il y a un pain au niveau du check out. Ce n'est pas pour rien que dans le marché, voilà un taux de conversion qui est de trois pour cent en moyenne sur mobile, on est inférieur à un pour cent et et et une déperdition massive dans le check out. Un marchand s'appelle soixante-dix pour cent de ses consommateurs dans le check out. Bonjour, vous écoutez Loyoly Talks, le podcast qui parle de e-commerce, tout simplement. Une fois par mois, je reçois une personnalité inspirante de l'écosystème e-commerce français pour des discussions entre amis et sans prétention autour des sujets qui les passionnent. L'objectif décrypter les tendances e-commerce et partager des astuces concrètes pour faire cartonner votre e-shop. Je suis Joseph Aubry, co fondateur de Loyoly, la plateforme de fidélité et parrainage qui vous permet d'engager vos clients à travers plus de cinquante mécaniques. Partage aux contenus utilisateurs à des clients et bien plus pour augmenter votre LTV et diminuer votre cac. Si Loyoly talks vous plaît, abonnez-vous et n'hésitez pas à nous laisser cinq étoiles sur Apple Podcasts ou Spotify pour nous soutenir. Bonne écoute. Ravi de t'accueillir Jérémy, hyper content de faire cette conversation ensemble. Merci Joseph de m'inviter. Avec plaisir. Ravi de te voir aujourd'hui. Ouais carrément cette belle journée ensoleillée, on va parler paiement, on va parler conversion, on va parler e-commerce en général. L'objectif tu le connais c'est simplement d'aider en fait un maximum les marchands qui nous écoutent de toutes tailles, avoir donc des choses activables qu'elles peuvent ensuite appliquer potentiellement tout de suite et ces choses activables peuvent aussi comprendre la mise en place de Just. On va en parler dans le détail. Peut-être si tu veux commencer par te présenter peut-être pour ceux qui te connaîtraient pas encore. Oui bien sûr Jérémy Pinto, on est plus cofondateur de Just. Just est une boîte que j'ai montée il y a un peu plus de deux ans avec mon ami de haut date Benjamin. Partenan crime. Je connais depuis que j'ai trois ans. Ok. On est amis d'enfance, on a tout fait ensemble, maternelle, primaire, collège, lycée, on était tous les deux adophiles ensemble, l'ESEC aussi et on avait tous les deux en fait envie depuis très très longtemps de monter cette boîte. Alors on a tous les deux démarré en fusion acquisition, Benjamin Cher Rothschild et moi chez le b s. Puis on a senti nos pensions étaient arrivées. On avait cette envie de construire quelque chose de gros qui apporte de la valeur à la fois pour les consommateurs et à la fois pour les marchands. Et c'est comme ça qu'on a voulu créer Just en partant d'un constat tout simple, c'est que d'une part, en fait, on est la génération qui peut tout faire en quelques secondes, commander Uber, commander Deliveroo pendant le Covid puisque c'est à la fin du Covid qu'on a lancé Just. Tu pouvais réserver ton rendez-vous pour le vaccin en deux clics sur le Covid. Bref, on a baigné quand même, c'est ta génération aussi, dans un environnement digital qui nous permettait de faire des choses assez simplement. En fait, il y a un endroit, une chose qu'on ne peut pas faire en un clic, c'est acheter en, sauf sur un site, tu as deviné Amazon. Amazon qui est justement bien pensé, en tout cas Jeff Bezos a bien pensé beaucoup. En quatre-vingt-dix-sept, il a sorti le What's click checkout, il l'a breveté, Mon brevet a tenu pendant vingt ans, c'est les règles. Brevet qui a duré vingt ans, iTunes utilisé à payer pour avoir la licence du white checkout sur iTunes et le brevet est tombé du coup dans le domaine. Aujourd'hui, Amazon utilise encore le web check out. Amazon, c'est quand même le site qui. Amazon, c'est quoi Non, c'est possible. Amazon, c'est un petit site qui vendait des bouquins sur C'est ça, c'est ce qui me semblait. Ils font aussi, ils ont reçu des fusées dans l'espace. Voilà, c'est ça. Ils sont un peu diversifiés. Et ouais, en fait, tu peux te poser la question de qui s'appelle Amazon. Oui, il y a un catalogue produit qui est énorme. Tu peux acheter un peu tout et n'importe quoi. Mais tu as aussi en fait un parcours d'achat qui est parfaitement imbibé. Aujourd'hui, le 1 click checkout, bien qu'il soit tombé dans le domaine public, est une techno qui est encore utilisée par Amazon, qui est utilisée par quarante pour cent des utilisateurs d'Amazon, trente-huit pour cent plus exactement. Ça a un peu évolué. La techno a un peu évolué, n'est pas sur mobile, tu as le swipe parce que tu es plus sur une notion de clic. Mais néanmoins, tu peux aussi te dire ok, tu as le plus gros site au monde qui fait cinquante pour cent du volume mondial, qui utilise encore une techno check-up pour fluidifier ses ventes. Amazon, c'est quinze pour cent de taux de conversion, on y reviendra après. Donc c'est parti de ce constat là véritablement qu'on a décidé de lancer. Et et et aussi en faisant une observation qui était que et ça peut-être un petit peu, c'est un un peu peut-être ce que je veux dire, mais que le e-commerce est cassé. Le e-commerce est cassé en réalité si on regarde les chiffres de croissance, il ne croit plus comme il y a quelques années. En fait, il ne croit plus parce que finalement tu regardes la l'évolution de la croissance dans les pays occidentaux, je comprends l'Europe, les États-Unis, la Chine, tu te rends compte qu'il y a un un véritable gap qui s'est créé entre ce que d'un côté la technologie est capable de nous apporter et de l'autre ce que les expériences en ligne sont véritablement capables de nous offrir. Et en fait en Chine, ils ont réussi à continuellement innover sur la plateforme pour maintenir un niveau de croissance du commerce et de pénétration sur sur la totalité des ventes, non pas de douze pour cent comme en France, pour cent comme elle est dans le marché mondial, mais de cinquante pour cent. Le marché c'est cinquante pour cent. Donc d'un côté tu as, le e-commerce ne croît plus et de l'autre tu dis, as une tonne de places pour l'innovation pour aller tirer, accélérer le JDP du commerce. C'est ce que tu fais aussi avec Loyoly quelque part et c'est ce que font toutes les boîtes aujourd'hui qui servent les intérêts des e-commerçants et des consommateurs. C'est-à-dire qu'on veut tous ensemble accélérer le GDP du e-commerce. Et donc nous on est convaincu d'une chose, c'est que en fait pour tirer ce GDP du commerce, il faut servir les nouvelles, les les aspirations de la nouvelle génération consommateurs qui arrive sur le marché. Et cette nouvelle génération qui arrive sur le marché, elle veut du simple, elle veut du smart, donc de la personnalisation, elle veut du social, elle veut aussi interagir. Pourquoi je dis du social Parce que le shopping par définition, c'est une activité qui est sociale. Tu vas le week-end faire du shopping, tu le fais entre amis, en fait tu peux te faire plaisir de temps en temps seul, mais globalement c'est une expérience sociale. Et je reviens par rapport à ce que tout à l'heure sur la Chine. En Chine, ils ont réussi à accélérer la croissance du commerce parce qu'ils ont été capables de répliquer de façon beaucoup plus simple, smart et sociale une expérience qu'ils étaient déjà dans le physique grâce à la technologie. Un acteur comme Ping Godo qui fait un carton en Chine et pour lequel on veut s'inspirer. Ouais. Est-ce que tu penses qu'il y a aussi des une différence en termes de culture comme eux dans leur logique, leur logiciel, ils sont un peu plus, va tout mutualiser. Typiquement ils mutualisent tout sur notamment une app qui s'appelle WeChat où tu peux je crois quasiment tout faire, tu peux payer. Est-ce que tu penses que ça c'est aussi un gap culturel qui explique aussi que du coup, il y a plus de pénétration sur le marché du e-commerce. Bien sûr, j'ai vécu en Chine. Ok. Il y a cinq ans. Tu étais où Shanghai. Ok. Quelques mois. J'ai vécu en Chine, j'utilisais WeChat qui est incroyable. Il y a d'autres aussi, il y a d'autres qui sont utilisés par les consommateurs chinois. Le gap culturel vient de plusieurs choses. Il vient d'abord du fait qu'en Chine, contrairement à ce qu'on peut penser, les Chinois sont beaucoup plus digitalisés que les Occidentaux. Tu peux aller dans n'importe quelle campagne chinoise, je l'ai été assez facile du fait, la couverture mobile, la couverture, ils sont tous équipés d'un smartphone parce qu'en fait ils n'ont pas vécu ce que nous on a vécu il y a, nos parents potentiellement ont vécu il y a vingt, trente ans, à savoir, je découvre ce que c'est qu'un téléphone qui n'est pas un smartphone. Ils ont pas, ils sont vraiment directement dans ces deux points zéro digital, mais plutôt dans trois points zéro et je t'expliquerai si si ça t'intéresse comment on voit le l'évolution du e-commerce de cette manière-là, mais là tu as un tu as un sujet de ok ils ont grandi véritablement avec le mobile et le digital et tout s'est fait via le mobile. Ils ne sont pas passés par l'ordinateur puis le mobile. Tandis que nous dans la culture occidentale, dans la façon dont on a créé le e-commerce, on a reproduit, on a repris les codes du, alors on a repris les codes du physique pour faire une expérience en ligne sur desktop et on a repris les codes du desktop pour faire rentrer l'écran sur desktop sur un petit écran. Et en fait, eux, ils n'ont pas conçu le e-commerce comme ça. Oui, sauter sauter une étape directement. C'est une étape. C'est pour ça que de manière générale dans dans dans le e-commerce chinois, tu as une couvert fin. Le mobile est beaucoup plus proéminent que le desktop. Et tu as des ventes mobiles qui sont beaucoup plus, disons fortes importantes que celles qu'on a aujourd'hui. Ok. Il y a vraiment cette cette habitude d'utiliser l'application et Wechat, c'est il y a dix ans tu pouvais, il y a dix quinze ans tu pouvais déjà payer WeChat pour prendre un ticket de métro quoi. Valérie Pécresse a bien annoncé que tu peux payer avec un autre. Ça on n'a que dix ans de retard. Ouais ça va. Ça va dix ans de retard, ça va. Et donc on a plein de choses, en tout cas nous on s'inspire énormément de ce qui se passe en Asie. Oui il y a un gap culturel, oui le live shopping ne va peut-être pas aussi bien marcher que là-bas. Néanmoins, il y a des choses qui se passent. Et ces choses qui se passent, c'est le le l'innovation dans la customer jour. En en Europe, en occident, on va dire, j'inclus le monde occidental, on a une customer qui est beaucoup plus fragmentée, segmentée avec différentes phases que tu connais, Discovery, Warner, et caetera, et caetera, pour arriver à payer en fin de parcours d'achat. La chaîne de valeur, la chaîne du commerce chinoise, elle est beaucoup plus comment dire, tu peux tu peux tu peux payer à n'importe quelle étape du fenêtre. Ok. S'avoue que je n'ai jamais acheté sur un site en chine. Mais on peut payer n'importe où dans la nous on est convaincus et je pense que un petit peu ce qu'on fait chez Jess, qu'il y a trente ans, il y a un acteur qui s'appelle PayPal qui arrivait sur le marché là où le e-commerce n'était pas en tout cas a été concentré sur deux trois acteurs Amazon, eBay et deux trois autres PayPal, PayPal, Amazon et deux trois autres acteurs avec une problématique qui était, on veut sécuriser les paiements. Ok Là, ça fait trente ans que plus ou moins PayPal existe. Aujourd'hui, il y a un autre enjeu, c'est servir la nouvelle génération de consommateurs qui arrive sur le marché, qui comme je le disais veut du, veut du smart de la personnalisation et veut du social dans un e-commerce qui est de plus en plus omnicanal. On ne va plus opposer briquet et moutarde VVS e-commerce, un e-commerce qui est un commerce pardon qui est trois-cent-soixante, tu vas pouvoir acheter dans ta boutique, tu vas pouvoir acheter sur ton site, tu vas pouvoir acheter directement depuis les réseaux sociaux, tu vas pouvoir pouvoir acheter depuis un QR code ou depuis un check out, tu vas pouvoir même tu vois demain réinventer l'expérience dans un stade de foot de ta Kylian Mbappé qui marque à l'euro plutôt d'aller faire la queue à la mi-temps pour aller acheter ton équipe Mbappé. T'as dix minutes pour acheter ton noyau et t'as quasiment des personnes qui veulent l'acheter, il y a un but de Kylian Mbappé, t'as ton lien de check out sur ton siège, tu vas pouvoir l'acheter, délivrer chez toi quarante-huit heures après. C'est que les moments d'achat vont être de plus en plus présents et on ne va pas juste être à la fin du parcours d'achat sur une page qui va proposer quarante méthodes de paiement pour acheter. Là la présentation de Just Asu, Just on réinvente la customer aujourd'hui, on rend le shopping simple, smart social, ça passe bien en anglais. Et et on a donc cette ambition de devenir le prochain PayPal et servir toute une génération d'acheteurs sur les trente. Écoute magnifique présentation et est-ce que justement tu as, qu'est-ce qui t'a un petit peu donné l'idée de faire Just du coup, qu'est-ce qui a déclenché un peu chez toi à ce moment où tu t'es dit ouais ok il y a un truc à faire, let's go, on y va et tu as chauffé Benjamin et vous êtes parti dessus. Comment ça s'est passé un peu Vraiment par, c'est vraiment par par opportunité de se dire déjà et tu le sais et je pense que c'est valable pour tous les entrepreneurs, trouver son associé, trouver la personne avec qui tu as envie de t'embarquer pendant des années. Et moi, c'était Benjamin, c'était assez Ovious depuis assez longtemps. Néanmoins, ce n'est pas évident aussi de travailler avec ses amis et c'est quelque chose, on nous pose souvent la question, ce n'est pas trop dur de de de de de ton ami. Oui alors je pense qu'il y a des avantages et des inconvénients. Nous on arrive à à s'élever tous les deux, à bien répartir les rôles, presque ça marche dessus et finalement la la question la plus importante, ce n'était pas forcément juste, c'était est-ce qu'on a envie de bosser ensemble Ouais clairement. Et est-ce qu'on a envie de créer de la valeur ensemble On avait envie de créer de la valeur ensemble et on avait envie de créer de la valeur aussi pour pour faire quelque chose qui change la vie des gens. Ça, c'était important pour nous. Changer le statu quo de cette qui est totalement éclatée au sol en avant. Et créer putain d'aventure. C'était ce qui nous drive, c'est créer cette aventure humaine, créer une boîte, c'est ce qui nous rend fiers, je pense quelque part ou qui nous rendra fiers dans quelques années et c'est pour ça qu'on se bat tous les jours. Ouais carrément oui. Oui bien sûr, ça me parle beaucoup parce qu'avec Thomas du coup, mon colloque à la base qui était aussi un pote, on a lancé Loyoly, donc on a un peu le le cette configuration aussi de bosser avec avec un pote. Écoute-moi franchement ça se passe vachement ultra bien, donc je suis vraiment très content de ça, mais ouais je peux comprendre que parfois ça peut poser des questions en tout cas pour ceux qui qui ne le vivent pas et du coup pour comprendre un peu ouais en Chine toi typiquement tu as vu des choses comme comme Just qui existait déjà ou genre comment ça t'est venue l'idée de vraiment créer cette expérience Tu t'en tirer vraiment d'Amazon ou de Ouais on ne s'est pas forcément inspiré parce qu'il y avait déjà en Chine. En Chine, t'as d'autres méthodes de de de paiement qui peuvent te permettre d'aller vite dans ton check-out. Nous c'est plutôt le postulat, le postulat de départ c'était vraiment démocratiser la techno de de check-out Amazon à l'ensemble des sites e-commerce et faire en sorte que les consommateurs, peu importe le site web, même s'ils n'ont pas créé de compte, s'ils n'ont pas déjà acheté sur ce compte, ils peuvent ils peuvent acheter en vente. Ça, c'est possible au départ. La réflexion, elle est beaucoup plus complexe que ça, elle est désormais aujourd'hui, comme je le disais, créer une expérience d'achat qui va servir des aspirations de cette génération de consommateur. Quand je dis achat, j'inclus aussi ce qui se passe en post-achat parce qu'une des raisons pour lesquelles tu vas acheter sur Amazon, ce n'est pas uniquement pour le check-out, c'est parce que tu sais que derrière ça suit, tu sais que derrière c'est facile de rendre un produit, c'est facile de te rembourser, c'est facile de laisser des reviews et de façon générale, on veut reconstituer, on veut reformer une customer journal pour l'ensemble des sites e-commerce dans un commerce, enfin dans un commerce qui est de plus en plus décentralisé, qui va s'adapter à non pas créer une expérience qui fonctionne uniquement sur un site, sur un canal, mais créer une expérience qui fonctionne sur tous les sites, sur tous les canaux. Ouais, justement, est-ce que tu peux nous expliquer concrètement si je suis un client, comment ça se passe mon expérience pour acheter en un clic quoi Un bon consommateur Ouais. Alors d'ailleurs aujourd'hui Just, en termes de produits, ce qu'on a aujourd'hui de disponible, c'est un bouton qui vient se passer sur les pages produits, les pages paniers qui peut aussi se positionner sur des des des réseaux, enfin sur les réseaux sociaux, donc en story, en DM, email, c'est vraiment un bouton d'achat qui permet aux consommateurs de ne pas avoir à créer de compte, de ne pas passer par un long formulaire de check-out, un long formulaire d'achat qui souvent prend quatre pages, un temps de chargement entre les pages. Il y a plus de vingt-trois champs à remplir en moyenne, mais il y a quand même des améliorations à ce niveau là. Mais ça reste une expérience chiante. Il y a du scrolling sur mobile. La connectivité n'est pas forcément toujours excellente. Il y a un pay au niveau du check out, ce n'est pas pour rien que tu as dans le marché, voilà un taux de conversion qui est de trois pour cent en moyenne sur mobile, on est inférieur à un pour cent et et déperdition massive dans le check-out, un marchand ça perd soixante-dix pour cent de ses consommateurs dans le check-out. C'est-à-dire que le consommateur a une intention d'achat et ne nous convertit pas. C'est la question qu'on se pose tous les jours chez Just et en faisant de l'analytics. Vraiment, on analyse tous les jours le phénomène de conversion. Pour répondre à ta question sur le, qu'est-ce qu'on fait concrètement pour le consommateur, le consommateur, nous, on est anti création de compte. On ne va pas lui demander de secret de compte. Ce qui va se passer, c'est que la première fois qu'il va voir l'expérience du Just et le bouton Just, il va devoir entrer ces informations pour la première fois. Donc, Joseph, Joseph arobase faire. Lio. J'habite voilà cinquante-deux, boulevard Voltaire. Je veux me faire livrer en petites et Colette, et caetera. J'appuie, j'ai j'ai. Premier achat, dès le premier achat, on a une expérience qui est quand même beaucoup plus performante que la plupart, enfin que tous les check out d'ailleurs qui sont sur le marché, puisqu'on améliore le taux de conversion même sur un premier achat. Et ensuite, lorsque le consommateur va revoir le bouton Just, non seulement sur le même site, mais aussi sur tous les sites du réseau Just, il va juste appuyer sur acheter en un clic et une page de réunion quand même par sécurité et c'est commandé. Tu leur demandes son email la deuxième fois ou En fait, ça marche un petit peu pareil que ta boîte Gmail. En fait on est une sorte de single signant for commerce. C'est que Joseph je sais que j'utilise ce cet appareil, ce net-ordinateur et je te logue automatiquement. D'accord ok. Effectivement si demain tu as effectué ton premier achat sur ordinateur et que tu vas sur ton iPhone, je ne te connais pas, je ne sais pas si l'iPhone t'appartient. Donc tu vas avoir au départ le formulaire qui est vide, tu vas te montrer ton adresse email et là je vais te reconnaître. Je vais te ouvrir un 0TP, donc un SMS. Un SMS, un code à 6 chiffres et là je vais pouvoir remplir toutes les informations. Là je vais faire la connexion ok Joseph, il a cet appareil-là, cet iPhone-là et si jamais tu achètes sur un autre appareil, on fera le même principe. Donc en fait à partir de potentiellement la troisième fois où tu achètes, tu as vraiment juste un bouton à cliquer quoi. Même la deuxième fois aujourd'hui. Ok. Alors si par exemple tu achètes une fois sur ton desktop, une fois sur ton iPhone mais genre en gros au pire des cas, si tu as deux appareils potentiellement dès le deuxième ou troisième achat, tu cliques sur un bouton et c'est fait quoi. Donc ça c'est hyper puissant. Très, très puissant. Et ça permet d'améliorer de combien de pour cent la conversion à peu près Aujourd'hui, on est, on délivre des instruments de conversion et de chiffre d'affaires puisqu'on Du coup. On n'a pas d'impact négatif sur le panier moyen de dix à quinze pour cent en moyenne. C'est quelque chose qu'on va monitorer par AB test. C'est la seule manière de savoir si une solution apporte de la conversion. Je sais qu'il y a beaucoup de boîtes qui portent de la conversion et je le dis souvent en marchant. La meilleure façon de savoir vraiment la conversion, ce n'est pas de faire un avant après. Ça, ça ne fonctionne pas. Il y a les mêmes paramètres sur votre conversion que que ça ne fonctionne pas. On peut faire de façon scientifique, pragmatique, il faut faire un AB test sur un nombre de sessions statistiquement significatifs. Nous, alors on ne l'a pas fait au début pour être tout à fait transparent. Ça fait à peu près huit mois qu'on généralise cette approche. Et alors j'ai dit dix à quinze pour cent, c'est une moyenne. On va de sept pour cent à plus de vingt pour cent pour certains. Ouais, tu as différents scénarios, j'imagine. Ce qui, voilà, en fait. C'est énorme. Tu fais les calculs sur ta conversion par rapport à un chiffre direct. Et nous, alors, je ne sais pas si c'est parce qu'on a fait un peu de finances avant avec vingt mois, mais on a une approche qui est assez business et et et et qu'une fois qu'on a réalisé cet AB Tesla avec nos nos marchands, on vient transposer les résultats de cette ce ce, les résultats de cet AB tests sur un PNL synthétique. On ne va pas rentrer dans tous les détails, on va faire un PNL synthétique dans lequel on va lui lui montrer, voilà dix pour cent de conversion, c'est dix pour cent de chiffre d'affaires en plus. Ouais, tu enlèves la marge, la marge brute et ensuite Je viens d'ignoler tes actions PayPal de vingt-cinq pour cent. Donc vraiment quand je dis on veut devenir PayPal, commence déjà à remplacer PayPal. PayPal, c'est super cher et ce n'est pas forcément la solution la plus Liuframely et et on arrive finalement, on descend sur la la sur le bas du PNL, des incréments de rentabilité, des bits d'armes du même ordre. Ça, c'est très fort puisque le contexte économique dans lequel dans lequel on est avec des coûts d'acquisition qui ont augmenté, ce qui est vu la dernière étude de de Content Square, mais qui explique en gros, une visite sur deux-mille-vingt-trois, le le coût d'une visite a augmenté de neuf pour cent oui. Ouais, donc c'est énorme. Tu es dans une, tu es dans une phase où la plupart des boîtes cherchent de la rentabilité, les coûts d'acquisition ont explosé. C'est sûr que si tu veux faire de la croissance, tu te poses la question de est-ce que j'investis encore de l'argent en acquisition Il faut investir de l'argent en acquisition. Il faut l'investir intelligemment et qu'il y ait du du du return, du bruit. Et donc nous, ce qu'on dit, c'est voilà à budget ads équivalent, vous allez convertir de 6 à quinze pour cent en plus. Ce qui a un impact énorme à la fois sur le chiffre d'affaires et aussi sur la rentabilité. C'est vraiment la proposition de valeur de aujourd'hui. Ok trop cool. Hyper hyper intéressant et ouais c'est un petit peu aussi là-dessus que nous on se lève pour ça qu'on se lève aussi tous les matins. Comme tu l'as dit, beaucoup d'investissement haut du funnel pendant un certain temps, c'était un peu la belle époque et effectivement on voit de plus en plus les investissements qui se déplacent de plus en plus vers le bas du funnel notamment sur la conversion, la rétention, la recommandation parce que comme les cac sont tellement élevés, les marchands ont besoin d'améliorer leurs cac et s'ils veulent pouvoir continuer à être compétitifs quand ils font il y a des enchères sur meta qui sont super élevées, il faut qu'ils aient une LTV notamment très élevée et aussi une meilleure conversion pour jouer sur ce ratio LTV K donc on aide un peu investissement en boîte funnel c'est deux-mille-vingt-quatre deux-mille-vingt-six et les années prochaines. Ouais je suis je suis d'accord maintenant c'est de ce qu'on voit de de plus en plus donc hyper cool. C'est compatible avec toutes les plateformes Just Oui. Ok. L'objectif, c'était évidemment d'être compatible avec toutes les plateformes parce que la la l'objectif de Just, c'est de servir l'intégralité du e-commerce. On a démarré Just sur les plateformes les plus les plus actives du marché, Shopify, Prestashop. On va prochainement travailler l'intégration avec magento et Salesforce avant d'attaquer le développement des des des modules custom. Ok cool et ouais du coup grosse étape logique un petit peu sur les prochains mois et je crois que vous partez aussi un peu à l'international, tu Tu peux nous en parler rapidement Oui, bien sûr. Just, c'est une entreprise globale. On a eu la chance de démarrer en France, on est français. On a un écosystème incroyable en France, que ce soit l'État, que ce soit les écoles, que ce soit le e-commerce de façon générale qui est, je pense que tu es d'accord avec moi, de superbes personnes, des vraiment des belles personnes d'un point de vue en termes de valeurs humaines, et caetera. Et donc effectivement, on a démarré par la France et là, on a une volonté d'accélérer à l'international sur le marché anglais, qui est un marché qui est trois fois plus gros que le marché français. C'est un marché de deux-cent-milliards là où en France, tu es à, pardon deux-cent milliards là où en France, on est à soixante-dix milliards. Tu aurais bien aimé, tu aurais bien aimé. Moi j'aurais adoré. Bientôt. C'est un marché de deux-cent milliards, donc le e-commerce de c to c. Donc beaucoup plus d'opportunités. C'est aussi une étape de boîte importante de montrer, on est capable aussi d'aller chercher, servir des des marchands à l'international, servir aussi des consommateurs sur d'autres marchés. Alors on est déjà à l'international puisque les consommateurs viennent de la chaîne de tous les pays, ça, ce n'est pas un sujet. On a même des marchands français Bien sûr. Qui vendent déjà au UK ou ailleurs. On a déjà quelques références en Angleterre, je sais que c'est un cas aussi, mais ouais il y a une vraie volonté d'accélération à ce niveau-là. Ok, génial des belles des belles étapes en perspective là pour pour les années qui viennent. Écoute, j'ai envie de changer un petit peu de de sujet, sujet qui a quand même lié, mais j'ai vu que tu avais sorti un listing des des experts e-commerce sur ton site. Est-ce que tu peux nous préciser un peu en quoi ça consiste Ouais, on a lancé la communauté des experts e-commerce qui en fait regroupe les freelances experts talents qui bossent avec les e-commerçants au quotidien, qui n'ont pas forcément la visibilité qu'ils méritent et qui font un travail assez important et assez assez valueable. Et l'idée elle est venue du constat qu'on avait pas mal de de nos clients qui nous demandaient, tu connais pas quelqu'un qui m'avait déjà en SEO, tu connais pas quelqu'un qui veut m'aider à en faire ton site. En fait, et tu dois le voir aussi puisque tu as plus de deux-cents marchands. Ce n'est pas évident de de de bien connaître les les équipes de chaque marchand et de pouvoir introduire aussi le bon freelance à la bonne personne au bon moment. Toi en tant que fondateur, tu n'es pas tout le monde, tu as deux-cents clients, mais tu ne connais pas les équipes de tout le monde. Et donc on a voulu quelque part mettre en avant les freelances qui bossaient avec nos clients, même ceux qui ne bossaient pas déjà. Justement, à chaque fois qu'un e-commerçant a un besoin, on a un onglet dans Dashboard, Just, compétition des marchands, trouver un freelance, lié à la liste de tous les freelances par thématique SE0, analytics, data, CRMSEI. Bref, c'est assez exhaustif. On encourage les freelances à s'inscrire à, c'est gratuit, à s'inscrire sur sur le listing et le e-commerce. Et toutes les semaines, toutes les deux semaines, on fait une annonce sur LinkedIn comme quoi une telle conférence a rejoint la communauté. Et puis voilà, c'est aussi une façon de fédérer l'écosystème. Bientôt, on va organiser aussi une soirée avec tous ces experts e-commerce pour justement aller rentrer en personne. D'ailleurs quelque chose qu'on aime beaucoup faire chez Just, essayer d'aller rencontrer au maximum nos clients, nos partenaires et voilà on prend beaucoup plaisir à le faire. Trop bien et puis ouais c'est aussi dispo sur ton site je crois. Donc on peut aller checker si on veut voir la liste. Complètement je peux aller checker tous les experts e-commerce. Trop cool. On a pas mal parlé un petit peu de conversion au niveau du check-out. J'imagine que toi c'est un sujet que tu creuses pas mal en général du coup la conversion au-delà du check-out, au-delà de Just, est-ce que tu as d'autres des conseils On en a pas mal parlé sur le podcast avec Sébastien qui est passé récemment aussi et Loïc aussi gratuit web, mais du coup je serais assez curieux de connaître un peu tes best practices concernant le l'optimisation plutôt de la fin du parcours d'achat en général si si tu en as. Ouais, très bonne question. Alors Sébastien et Thomas sont de bien meilleurs experts que moi. C'est vraiment, moi je ne suis pas expert. On mettra un disclaimer t'inquiète. Alors déjà le sujet de la conversion c'est évidemment le nerf de la guerre pour pour tous les marchands et les solutions de façon individuelle ne sont pas des baguettes magiques. Il ne faut pas s'attendre à je mets telle solution, je fais fois trois sur mon chiffre d'affaires. Il faut avoir une approche qui soit beaucoup plus globale. C'est-à-dire que la conversion c'est la combinaison de ce que j'ai en mon pricing, est-ce que j'ai une bonne, est-ce que j'ai les bonnes méthodes de paiement, est-ce que les consommateurs que j'adresse, admettons que Est-ce que c'est les bonnes personnes, voilà est-ce que les personnes que j'adresse, admettons qu'elles soient en Belgique et je ne propose pas du bon contact, en fait c'est normal que tu ne convertis pas parce que tu ne proposes pas la méthode qui est utilisée par la plupart des Belges. Donc il y a un problème quelque part. Donc déjà, c'est il faut avoir une approche globale dans la conversion. Ensuite, les conseils que j'ai à donner, c'est évidemment de d'être hyper exhaustif dans la dans la les les les tests, les AB tests que vous que les marques effectuent avec les différentes solutions. En fait, il faut avoir une approche, je teste, tester en permanence. Par contre, parfois avec des marques anglaises ou américaines, en fait, ils sont en permanence dans cette démarche de ok, on propose une solution, je la teste. Une solution, je la teste. Ils sont capables de prendre des décisions assez rapidement sur est-ce que oui ou non, ce truc là même de l'amélioration. Et en fait, ce n'est pas très grave si une marque a, ça marche et une marque b, ça ne marche pas. Il faut savoir juste qu'est-ce qui marche pour moi C'est ça le sujet. Donc premier conseil, testez le maximum de solutions rapidement. Vous pouvez avoir des résultats, enfin les AB tests que vous mettez en place peuvent peuvent aborder des résultats sur est-ce que oui ou non ça amène de la conversion. Deuxième que j'ai, le deuxième pardon, le deuxième conseil que que que j'ai à donner, c'est effectivement d'investir sur quand même le le comment dire, la le trust au niveau du check-out. Je m'explique en gros, on a tendance à pousser les reviews sur les pages produits notamment ou dans des relances d'avant de panier ou dans des communications à cinq étoiles sur ce produit. Voilà le témoignage de Barbara qui a testé cette cette marque, ce produit cosmétique. C'est super. Mais en fait, tant qu'il y a un risque, tant que tu n'as pas closé le deal, on va le voir comme ça. Tant que tu n'as pas closé consommateur, il faut encore lui rappeler les avantages du produit. Il faut encore lui pousser les reels. Une des preuves, c'est que d'ailleurs, comme tu disais, il y a soixante-dix pour cent des consommateurs qui quittent le check out. Et il y a une marque qui s'appelle Sync que tu dois connaître, qui le fait. Non je connais pas. Qui font quoi Sync c'est une marque qui vend Ah Sync protéine, oui pardon autant pour moi. Sync en fait dans leur panier tu verras il y a les review. Ok. C'est une des rares marques à continuer à insister sur les review au niveau du panier au niveau du check-out. Tu as aussi mettre en avant ta politique de retour. Aujourd'hui en France il y a un pour cent des consommateurs qui lisent la politique de retour. Or la politique de retour, c'est un levier de conversion. Exactement. Bon sur les moments forts du e-commerce, je vais prendre, je ne sais pas moi, les soldes, la frais day et Noël. Ce que tu vois en général, c'est une extension des politiques de retour quand justement, il y a en fait, si ça ne te convient pas, tu n'as pas qu'une semaine pour rendre ton produit, on t'offre un peu de flexibilité. Mais ça, si tu ne mets pas en avant au moment du check out, tu peux être certain que ton consommateur, il va probablement zapper l'information. Or, c'est un lever de conversion. Donc, si tu es capable de rappeler au niveau de ton checkout, tu peux rendre tes produits trois semaines après avoir acheté le produit. C'est un lever de conversion en plus. En fait, il faut vraiment voir le, nous d'ailleurs, c'est aussi une philosophie qu'on achète juste dans la boîte, c'est the power of small step. Ok, avec l'accent. Ouais, c'était très bien. Ok merci. Chaque centième est bon à gagner. Chaque amélioration est bonne à gagner. Et donc tu dois mettre en avant ta politique de retour, c'est un potentiellement un centième, potentiellement un sixième de conversion en plus. Tu appliques à une marque qui fait cent mille euros de chiffre d'affaires, un million cent millions, ce n'est pas le même impact aussi. Autre conseil que j'ai à donner, c'est par exemple mettre un message. Pardon. Autre conseil que j'ai à donner, c'est potentiellement mettre en avant deux ou trois éléments de branding sur les actions faites par la marque, sur notamment la partie écoresponsable s'il y en a ou sur un autre élément de réassurance. Pareil, je ne veux pas du tout faire du greenwashing. De toute façon, ce n'est pas mon job. Enfin, je ne suis pas commerçant. Mais si, par exemple, une marque, elle reverse dix pour cent pour, je ne sais pas moi, replanter des arbres, c'est toujours bon à mettre dans le check out. Il ne faut pas mettre trop d'informations non plus. Mais si c'est des éléments pour lesquels les consommateurs achètent chez vous, excuse-moi je me dis chez vous, mais insistez là-dessus, insistez sur les éléments qui font que les lingettes chez toi. Ouais et C'est renforcé son ADN de marque finalement, mais au moins au niveau du check-out encore. Ouais, vous savez moi je ne le vois jamais, je ne vois jamais des choses comme ça au niveau du check-out. C'est vrai que ça reste très transactionnel au final. Est-ce que les check-out des plateformes existantes aujourd'hui permettent de faire des choses comme ça nativement Ok, c'est bien ce qui me semblait. Donc vous chez Joy justement, vous avez aussi la capacité d'ajouter des éléments de réassurance, de créer une vraie expérience de check-out avec du contenu peut-être des web stories, on imagine. Comment Web stories, on ne le fait pas. Ok, mais en tout cas. On pourrait, je sais qu'on discute pas mal avec Jonathan, vous pouvez la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la la de faire une intégration ensemble et ce serait génial pour les consommateurs et pour les marchands même si toi aussi tu le vois tu as des road map produits. On est tous pareils, on a tous envie de s'intégrer dans les autres. Malheureusement on vient d'apprendre à marcher et il faut apprendre à voilà à marcher à courir avant de s'intégrer quoi. Mais dans l'idée ce serait génial. Ça on la mettra dans le titre du podcast. Il faut apprendre à courir marcher avant s'intégrer. Ça va vraiment. Mais c'est mieux. Et ouais du coup en fait Just contrairement à des idées reçues, ce n'est pas une méthode de paiement. Pour nous, le paiement, c'est transactionnel, tu l'as dit, c'est une commodité aujourd'hui. Le travail qu'on fait Paul Louis ne va pas être content. Non, mais. Mais ouais, je comprends ce que tu veux dire. Je comprends ce que tu veux dire. Je comprends ce que tu veux dire. J'adore. La raison pour laquelle un marchand va choisir un PSP, c'est pour maximiser son taux de trois d s pour Vous vous intégrez avec des trucs comme PayPal ou du coup Ou est-ce D'un point de vue technique. Ouais techniquement en fait quand la personne paye à travers vous, est-ce que c'est vous le prestataire de paiement Est-ce que derrière il y a un C'est un fonctionnement comme PayPal, c'est-à-dire que c'est nous qui travaillons avec différents prestataires de paiement Voilà ok. Pour process la transaction. Comme PayPal ou comme un bla finalement finalement, un acteur du BNP, un Clara pour aussi processer la transaction et d'ailleurs, il faut rétrocéder le solde au e-commerce. C'est un peu le même fonctionnement là-dessus. D'accord. Enfin chez Just pardon, c'est un même fonctionnement. Et donc je lui disais ouais, on n'est pas une boîte de paiement. Ouais. On est partenaire des boîtes de paiement. Et nous, ce qu'on fait réellement, on va capter une intention d'achat, on va capter une intention d'achat. Pourquoi je dis ça Parce que finalement, le problème de départ, c'est il y a soixante-dix pour cent des consommateurs qui abandonnent dans dans le dans le fenêtre de check out en bas de fenêtre. Tu as des raisons très pragmatiques avec une étude de marché qui sort chaque année et des valeurs enfin et des datas qui sont également partagées par les CMS, de voilà où vos consommateurs abandonnent et voilà les raisons. Ça peut être ma politique de retour n'était pas assez claire, il fallait se créer un compte, les méthodes de livraison n'étaient pas assez diversifiées, le site à crash, ça peut être, tu sais le coût de la livraison a été calculé à la fin du parcours d'achat et en fait mince, j'ai dix euros en plus flemme. D'accord. Et donc en tout cas, il y a plein de raisons assez pragmatiques. Tu sais où est le problème et où tu perds des clients. D'ailleurs, les CMS proposent Shopify, Prestashop, et caetera. Ils ont un onglet analytique où tu vois, où est-ce que j'ai perdu mes consommateurs. Donc ça, c'est la la la la l'analyse un peu pragmatique. Et tu as l'analyse Just qui est beaucoup plus, qui repose sur une philosophie qui s'appelle le be heavy model. Le be heavy model, c'est une théorie qui a été formalisée par Brian Fogg, qui est un professeur de Stanford, qui a publié pas mal de bouquins assez assez utilisés dans la Silicon Valley sur ce que lui, il appelle les persusives technology. Et donc lui, il explique qu'un comportement, psycho e-commerce conversion, c'est la combinaison de trois facteurs psychologiques qui sont un, la motivation, deux, la simplicité et trois, les triggers. Je vais m'expliquer. Ok. En fait, pour qu'un, pour qu'un comportement se fasse, pour qu'une conversion se fasse, il faut qu'il y ait la combinaison de trois, de ces trois facteurs psychologiques. La motivation, c'est ce qui est géré par la marque en elle-même. Son branding, sa stratégie de pricing, son marketing, et caetera. La simplicité, c'est l'ergonomie, c'est lui, c'est l'u I, C'est aussi la raison pour laquelle depuis globalement des années, tu as une amélioration à ce niveau-là, c'est quand même plus simple d'acheter un livre. Et tu as un troisième facteur trigger qui est décrit par FOG comme la pièce manquante du puzzle. Qu'est-ce que c'est qu'un trigger Un trigger, c'est quelque chose qui va accroître la possibilité de de réaliser le le comportement, donc l'achat. Tous les biais cognitifs, par exemple, se rendent là-dedans. Les biais comportement. Ok. Les biais comportement. Et quand tu regardes les plus gros retailer dans le monde, je prends Amazon toujours et je prends sur une autre verticale Booking, c'est ça reste un e-commerçant qui forme autre chose, mais ils ont non seulement un check-up qui est super optimisé et ils ont aussi un ensemble de trigger marketing qui poussent le consommateur à la fiche. Ils sont très très bons là-dessus. Donc sur Amazon, tu vas avoir du buy withing tower et du prix de Oliver Tomorrow. Tu vas avoir, il reste cinq produits disponibles. Il va, tu vas avoir mille-quatre-cent-soixante-douze review. Association. Autorité et association, et caetera. Tu vas avoir livré chez vous à cette adresse. Tu dis waouh, c'est livré chez moi comme on disait. Booking, c'est finalement la même logique. Tu vas, tu as déjà acheté une chambre sur Booking, chambre en forte demande, plus que deux chambres restantes. En fait, tu as le Fomo. Fomo. En fait, tu te rends compte que si ces boîtes là, ces géants du retail ont des taux de conversion entre dix et quinze pour cent. C'est parce que oui, d'une part, ils ont des des check out assez ergonomiques simples, faciles à utiliser, ils observent des informations. C'est une chose, mais qu'ils ont réussi à créer de la Fomo, à créer des trigger marketing. Ils arrivent, eux, ils appliquent vraiment le modèle de phoque pour les commerces. En fait, Just, c'est la première expérience d'achat qui va intégrer ces différents types de triggers pour pouvoir accélérer le taux de conversion des sites web. Et donc, on a développé une centaine de connecteurs technologiques avec les systèmes de, enfin les outils, les logisticiens, les transporteurs, les programmes de fidélité bientôt. Je crois qu'on a une intégration, mais je crois que je n'étais même pas au courant. Je n'étais pas au courant. Oui, attends, si on va s'intégrer bientôt. Oui, pourquoi pas. Allez, mais on en a parlé. Oui, effectivement, ce serait vraiment très, très cool. Les ERP, un clavier, un Big clip. On s'intéresse à ce souci là, pas parce que ça nous amuse, Ça ne t'amuse pas de t'intégrer quoi. Ça m'amuse aussi, c'est pas du boulot, mais ce que je veux dire par là, c'est que ça nous permet aussi de de créer ces fameux trigger marketing pour accélérer la conversion des sites e-commerce. Par exemple avec Bigblue, pour prendre un exemple concret, ça te permet de dire livrer dans ton temps si tu passes. D'ailleurs Big Blue a cette feature là, il la propose aussi. Il nous la propose également. L'idée, ce n'est pas de faire quelque chose d'identique. C'est qu'en fait, on vient récupérer d'informations de Bigloo et on est capable de la repousser et ça on est capable de le faire pas avec un seul une seule plateforme ou un seul logiciticien, un seul transporteur, on est capable de le faire avec toutes les stags possibles en tout cas c'est aussi notre travail dans le coin du tech de de de se connecter avec l'intégralité de la d'un e-commerçant. Et c'est vraiment ça Just, cette expérience plus simple qui accélère ta conversion parce que grâce au trigger, on vient capter une intention d'achat. Ouais, très intéressant en vrai. Je pense qu'il y a beaucoup de beaucoup beaucoup de choses à faire sur ce point et comme tu le sais ça me parle beaucoup parce qu'avec la fidélité, avec le parrainage aussi, typiquement tu as une expérience d'achat réussie, imagine tout de suite après ton check out tu proposes un lien de parrainage que tu peux partager échanger tes points de fidélité, comment on génère beaucoup d'avis pour les marques grosses contenus tu pourrais imaginer les ajouter donc ouais je suis d'accord ça me fait un peu penser à rien avoir mais avec c'est Lem Call peut-être que tu connais, c'est spin off de Lemlist un produit de Lemlist qui propose lui aussi un peu la façon de Just qui va réinventer le parcours du check out, réinventer un peu la page de prise de rendez-vous où effectivement tu peux ajouter du contenu, des choses comme ça. Ça me fait un peu penser à ça dans l'idée. Vrai truc. Ouais. Est-ce que c'est ça ou Je ne connais pas Lem Cole. Ok. Mais j'ai regardé normalement de ce que tu décris, ça y ressemble. En tout cas l'idée globale, c'est il faut créer un trigger qui te donne envie de faire un truc, de faire un truc. Ouais carrément. Et c'est vrai que je trouve par rapport à des sites américains comme tu comme tu disais très justement en France, on n'est pas, on a peur d'être trop pushy je pense. Tu as des sites qui le font et on connaît les chiffres qu'ils ont aussi et je pense exactement à Bocku. Bocku lui, c'est, il joue à fond sur tout ça quoi. Et ça marche quoi. Ça marche, ça marche très bien. Mais en fait, je pense qu'il y a une, il y a peut-être une erreur de de d'analyse et de perception chez chez quelques retailer, de croire que ça va détériorer l'image du site, que c'est gadget, que ça fait plein de gamme quoi. On n'est pas assez premium. Ouais et je ne pense pas parce que en fait, en fait la nouvelle génération qui arrive sur le marché, elle veut de la simplicité. Le luxe, le luxe de demain c'est la simplicité. C'est-à-dire que je fais le parallèle avec le le le monde physique, un un achat onéreux, quelque chose qui coûte cher dans le physique, bon tu peux payer avec ton téléphone quand ça coûte dix euros, cent euros, cinq cents euros, tu as envie quand même que ce soit rapide, tu as envie que ce soit simple. Les gens veulent que ce soit simple, c'est le plus quand même d'aujourd'hui. Simplifier la vie des gens. Et en fait, je rebondis le luxe c'est la simplicité. Voilà, il faut s'adapter au branding, soit. Ouais, après il y a des solutions qui existent, j'imagine, je peux bien le personnaliser, et caetera, j'imagine pour ta page de paiement, donc trop cool. Est-ce que tu as des exemples de, tu vois, de marques qui font ça bien, qui ajoutent un peu tous les éléments dont on a parlé, qu'on peut aller checker par exemple tu vois pour ceux qui écoutent, faites un achat sur telle et telle marque, il faut que vous alliez au bout du truc parce que sinon ça va détériorer les stades de Just donc soyez sympa avec lui. Mais ouais est-ce qu'on peut aller checker des check out sympa. Checker des check out. Checker des check out. Des tissus hyper rapides. Tchéquie check out. Tchéquie check out. Tchéquie check out. Tchéquie check out. Tchéquie check out. Tchéquie check out. Il y a Sink qui est aussi fort, les secrets de Loly, pas mal, puissante aussi, qui d'autres Anja, ça fait longtemps eux qui mettent en avant le le livret demain, enfin tu commandes avant telle date, tu es livré demain. C'est tellement puissant, c'est truc fou. Mister République, oui. Ok. Mais qui d'autre We are new, with are new, food corner. Ça c'est des belles marques qui Très belle marque. Food corner. Ils ont un un widget, je ne sais pas s'il en faut en interne, mais qui te permet de savoir x personnes ont visité cette basket tu vois. Pareil ça donne envie. Tu vois ce que je veux dire Ouais bien sûr. Ouais il y a quand même de plus en plus de marques qui sont dans démarche-là et et c'est ça en fait l'acte d'achat, c'est ça part de la page produit. Ça part de là jusqu'au check out, il ne faut pas lâcher les efforts. Ouais et justement la page produit, je crois que vous avez fait un un webinar il n'y a pas longtemps avec Omy et Lili skin, qu'un de nos clients en commun. Ouais. Vous avez fait un webinaire je crois sur la page produit parfaite. Et même Gorgias. Et Gorgias aussi, oui, sorry Johann. Est-ce que tu peux nous expliquer un peu ce qui s'est dit là-dedans pour ceux qui n'auraient pas pu y assister, s'il y a des des tips, tips and trucks, ça a accepté. Ouais, c'est un peu ce qu'on sait, ce qu'on a dit tout à l'heure, c'est cette capacité à mettre en avant la quantité de stock disponible, c'est mettre en avant quand est-ce que tes clients ils vont être livrés, c'est mettre en avant tes review, c'est mettre en avant des méthodes de paiement, c'est mettre en avant que tu as une politique de retour elle est souple. C'est vraiment Mettre en avant le fait de combien de points de fidélité tu vas gagner si c'est possible. Exactement. En fait, il faut réassurer, il faut embarquer le consommateur jusqu'au bout. En fait, pourquoi on dit mettre en avant, mettre en avant mettre en avant. On est dans un monde dans une culture de. Ouais. Qu'est-ce que je veux dire Les gens ils passent très peu de temps sur leur téléphone, ils voient un truc hop ils scrollent. S'il n'arrive pas à capter son intention en moins de trois secondes et s'il n'a pas toutes les infos en deux secondes, c'est mort à bon moment de panier. Donc tu veux faire en sorte que ton consommateur final, il ait le maximum d'informations pour prendre sa décision d'achat et qu'il n'y ait aucun frein à ce qu'il la fasse maintenant. Pas dans trente jours. Alors on sait comment ça se passe après, C'est mort. Après oui, tu as des super outils qui peuvent te permettre de faire gagner, ça marche très bien. Ça te permet de récupérer trente pour cent de ton, tu récupères trente pour cent des avant de payer, sont convertis, clavier vient de sortir le SMS. C'est super d'avoir ces outils là. Et en plus de ça, bientôt on va essayer d'avoir des liens de check out dans les relances SMS de Kalio. Ouais ouais carrément super. On aimerait bien bosser dessus avec eux. Mais en fait, ça, j'imagine pas être possible. C'est une case qui est qui est qui est qui est au bus quoi. Ouais, carrément, ouais. Très très cool. Écoute, pas mal, pas mal, pas mal, j'aime bien la conversation de tournures qu'il a pris. J'ai appris pas mal de trucs, donc très intéressant. Est-ce que tu aurais des, donc ouais ce que j'aime bien la fin de l'épisode, en général c'est demandé un peu à toi de me dire si tu en as ou pas, les conseils en fait c'est un peu deux marques qui nous écoutent de typologie d'entreprise, des marques qui vont vraiment se lancer et des marques à l'inverse qui sont en train de passer à l'étape d'après. Est-ce que toi de ton expérience tu vois des stratégies, des conseils, des choses directement activables que les marques de ces deux catégories là pourraient pourraient activer. Déjà je dirais investissez dans le bas de votre funnel de conversion. Plus simple. Voilà. C'est-à-dire que prenez, décomposez votre funnel global de a à z. Regardez ok, je dépense x en haut, je dépense y au milieu, je dépense pas grand-chose à la fin. Regardez combien vous dépensez. Ok, ça ça permet déjà de savoir ok, peut-être que j'ai sous investi à ce niveau-là et que je devrais mettre plus d'efforts là-dedans. Et puis c'est à dire ça. Mais c'est important de ne pas sous-estimer le passage à la caisse. En fait finalement, si je fais une comparaison, c'est comme si demain tu as une boutique, tu as fait des campagnes dans le métro, tout le monde parle de toi, c'est génial, tu as une boutique, elle est incroyable sur les Champs-Élysées. On se trouve que je faisais rien. Sur les Champs-Élysées, ce n'était pas le meilleur quartier, on va dire dans le marais. Tu vas, tu as une belle boutique dans le marais, tu as ta boutique, elle est dingue, tes produits sont graves mis en avant, Tu as des personnes qui demandent aux aux. Je sais ce que tu veux dire. Ouais, il y a des personnes qui demandent aux aux gens qui visitent la boutique. Est-ce que vous cherchez votre taille Oui, j'ai du trente-deux, très bien. Je vous la mets de suite. Le gars est content de son produit et il arrive à la caisse, la caisse elle est fermée, il n'y a personne pour acheter. On prend les chèques, vous avez un chéquier sur le coup Non mais c'est ça l'idée en fait. La comparaison elle est conne, elle est volontairement conne mais en gros c'est un peu ça ce qui se passe en e-commerce. C'est c'est image bien je trouve et parfois je l'attends un peu différemment à la comparaison je dis il y a soixante-dix pour cent d'abandons de paie dans le e-commerce. Imagine-toi demain chez Carrefour, tu es en train d'acheter ton pack de bière vendredi, il y a dix personnes en train de faire la queue à Carrefour, il n'y a que cent personnes avec dix personnes, dix personnes dans la queue, il n'y a que une personne qui finit par acheter sur mobile par exemple. Pourquoi Parce qu'en fait la caissière elle t'a demandé excusez-moi où vous pouvez l'entrée du magasin ou vous créez un compte, excusez-moi vous pouvez remplir ce formulaire-là parce que sinon je ne peux pas à chaque fois vous prendre la commande. C'est ridicule. C'est exactement ce qui se passe en e-commerce. Si on avait une expérience d'achat qui te permettrait d'éviter d'entrer des informations à chaque fois, d'entrer ta c b, de savoir qui tu es parce qu'avec le digital, on sait qui tu es. On sait qui tu es. C'est une vérité. On pourrait réduire cette friction-là au niveau du check-out, diminuer la déperdition dans le tunnel et accélérer véritablement les ventes des commerçants. Si seulement cette expérience, elle existait, ce serait vraiment bien, mais j'y passe, elle existe. Je ne sais pas non plus, ouais, je vais je vais aller sur le check-out de Weez The New pour voir ce que ça, ce que ça me propose. Mais ouais non c'est bien d'imaginer je trouve comme ça et effectivement c'est une réalité en fait c'est vraiment toute la thématique de l'expérience client au global je pense dans lesquels sont vraiment en train d'investir les marques. Comme tu l'as dit, la fin de funnel, toute la partie, voilà j'ai quinze-mille outils aujourd'hui. Comment en fait je simplifie le truc quoi Fin de funnel. Deuxième conseil, c'est, alors ça dépend des marques. Toutes les marques n'ont pas d'équipe digitale ou d'équipe CRO internalisée, mais en fait c'est de prendre des décisions qui sont database. Ça c'est important, c'est super important. Il ne faut pas que ce soit au doigt mouillé, ah je teste cette solution, ah ça m'apporte, je ne sais pas, il faut vraiment savoir connaître ces metrics. Pas tous les e-commerçants, mais on va être sur metrics. Non, c'est ce que je me disais, il y en a beaucoup, rien à voir avec ton sujet, mais sur la sur la feed. Combien avoir avoir votre outil de fidélité Je ne sais pas. Ok. Et du coup, c'est quoi, c'est quoi le plan quoi Mais intéressant. C'est quoi le plan Ok. Donc ça c'est prendre des décisions qui sont quand même database. Faire des ABTS du coup pour valider vraiment le truc. Pas de de juste, je parle de façon globale. Ouais ouais. Une démarche assez data driven. Ouais. Trois je dirais, c'est de de de vachement quand même diversifier les canaux, l'acquisition. On n'est pas à l'abri d'une bonne surprise. Ouais. Il n'y a pas que les ads. Et ça je sais que tout le monde le dit depuis un an mais toujours bon de le rappeler une autre fois. C'est aussi d'itérer sur sur sur son pricing, ça c'est hyper important. Si tu peux aller augmenter de quelques euros ton panier moyen Faire des petits, des choses comme ça. Des bundles exactement. Un autre conseil que j'ai à donner c'est évidemment d'investir dans ces programmes de fidélité. Je vous promets c'est pas moi qui le dis. Je vous promets j'ai rien dit. Non, mais en vrai, pourquoi En fait, le nerf de la guerre de toute marque, c'est d'avoir une base de clients fidèles. Pourquoi Parce que tu vas pouvoir rentabiliser tes campagnes d'acquisition. Tu ne vas peut-être pas la rentabiliser au premier achat, tu vas peut-être la rentabiliser au deuxième, troisième, quelque chose. Et d'un autre côté, un acheteur fidèle, c'est un acheteur qui va répandre de super super choses sur ta marque. Tu vas pouvoir, si tu vois les choses à long terme, tu vas pouvoir écraser ton cac, tu vas avoir de la croissance organique via les clients qui t'aiment bien. Donc voilà ça c'est, mais l'approche le programme de fidélité, l'investissement de la fidélité c'est quelque chose j'imagine tu me dis si je dis n'importe quoi, qu'il y a des résultats à moyen terme long terme. Totalement ouais. Ça dépend un peu, mais ce que tu peux aussi faire de la rétroactivité, typiquement on a pas mal de marques de plus en plus qui sont en train de se digitaliser fortement et qui ont des, qui existent depuis des dizaines d'années et effectivement, eux ils ont des grosses bases clients qu'ils ont presque jamais fidélisé. Donc là, il y a des trucs très sympa à faire. Quand tu vas lancer le programme de feed, tu as déjà x milliers de personnes qui ont des points et tu leur envoies un mail pour qu'ils puissent les utiliser. Voilà, c'est du R0I direct, mais tu as raison sur le principe c'est une démarche qui est sur du moyen long terme, il faut vraiment laisser le temps des choses que les choses se fassent, ça dépend de ton repeat aussi. Si ton client il achète tous les 6 mois chez toi, tu ne vas pas voir la différence tout de suite. À l'inverse, l'aspect plus rapide si le taux est plus élevé. Mais ouais totalement, c'est, je pense qu'en fait le truc j'ai l'impression c'est que ces dernières années c'était tellement facile d'aller chercher des nouveaux clients que les marques ont un peu délaissé tu vois leurs clients existants et en fait c'est comme nous tu vois en tant que fondateur de boîte, en fait tu sais que quand tu prends soin de tes clients, ça fait une vraie différence à la fin de la journée. On a tous les deux un modèle SaaS, si tous les mois il faut qu'on, nos nos clients ne nous payent plus, tu vois en abonnement, et caetera, donc c'est différent sur du e-commerce, mais en fait c'est là où tu vois que la rétention, c'est vraiment, je trouve le nerf de la guerre quoi. Ça permet d'avoir des perspectives de croissance à long terme. Et j'ajoute une phrase, une base de clients solides vaut mieux qu'une base de visiteurs fragiles. Ouais, c'est une très belle punchline ça. Je vais peut-être te la piquer. L'objectif de l'EYOLY, c'est évidemment d'accroître la rétention et la fidélité des des consommateurs finaux pour les marchands. Et il y a une donnée que tu, qui va fortement t'intéresser, c'est qu'un repeed bailleurs, le taux de conversion d'un repeed bailleurs est trois à quatre fois plus élevé. Ouais. Donc si demain on met du, on met du just ensemble, on s'intègre. Ça fait des chocs à pic. Ça fait des chocs à pic et on va pouvoir accélérer non seulement le nombre de repit bailleurs, les KPI de rétention des marchands et les KPI de. Ouais, c'est clair. Et puis voilà la partie recommandation aussi que je vois assez bien s'intégrer là-dedans avec comme on disait tout à l'heure les avis, les UGC que tu peux mettre dans tes dans check out. Toi tu mets des UGC en check out. Non mais du coup on pourrait peut-être le faire parce que du coup nous tu sais les marques, elles collectent tous les UGC de leur programme, toutes les photos, les stories, les TikTok, tout est enregistré automatiquement et les gens gagnent des points pour ça et du coup les marques elles ont des milliers de j c. Pas exploitées encore. Elles sont trop peu exploitées et donc typiquement tu en as qui les mettent dans les ads, mais il faut faire un peu de montage, donc c'est voilà, c'est des trucs qu'on veut un peu facilité dans les prochains mois. Tu en as qui les mettent dans les web stories avec Joy, ça marche assez bien. On se connaît, on ne se connaît pas techniquement. C'est pareil. Vous avez un marché, oui on se connaît. C'est beau les chèques. On est partenaire sur LinkedIn. T'inquiète, on a fait un poste partenaire. Non non mais ouais on se connaît on échange de temps en temps avec avec John et ouais ouais il y a un partenariat effectivement qui est qui qui est à venir mais voilà de notre côté lui comme moi on a des comme on apprenne à marcher, après à courir et après à s'intégrer. Donc là, on est un peu sur l'étape en train de, tu vois Ouais, tu marches, tu fais quoi Ouais, là, je trotine là, là, je trotine, je trotine bien et ouais grosse descente en perspective là ça va ça va ça va rouler là bientôt. Mais franchement j'en ai plus beaucoup écoute pas grand chose un peu de sport, un peu de, un peu de sortir avec les potes voilà. C'est bien. Tu es heureux dans ta dans ta vie ou tu sens. Je suis extrêmement heureux. Je n'ai jamais été aussi heureux depuis que j'ai monté Just. Ouais. Donc je suis certain que qu'on va encore tout exploser, qu'on va encore servir cette nouvelle génération de consommateurs qui arrivent sur le marché, qu'on va continuer à amener de la valeur à nos marchands. Ça arrive qu'on n'en amène pas, je suis honnête avec toi ou tu es une startup, parfois ça ne marche pas. Bien sûr. L'idée c'est que ça marche et qu'on accélère le e-commerce quoi. Trop bien. Et du coup, on peut on peut se retrouver où Est-ce qu'on peut suivre un peu tes tes actus Est-ce que tu as des actus à nous partager Vous pouvez nous trouver sur internet point u, sur LinkedIn, m'envoyer un message. Jérémy Pinto. Jérémy Pinto. Nos bureaux sont dans le onzième, vous tapez, vous pouvez taper à notre porte quand vous voulez et puis vous pouvez aussi passer par Joseph directement si si vous le souhaitez pour pour une intro. Et bien n'hésitez pas en tout cas et bien écoute, Jérémy, c'était un plaisir de te recevoir. Merci. On a bien ri et on a aussi je pense apporté pas mal de conseils intéressants pour les marques qui se lancent et moi j'ai pu comprendre encore mieux ce que faisait Jess et je trouve ça vraiment vraiment game changer. Donc hâte de s'intégrer très prochainement. Joseph, merci à toi de m'avoir reçu dans tes dans tes bureaux. C'était super cool. J'ai bien ri aussi et j'espère prochainement faire quelque chose avec Loyoly pour voilà pour continuer à accélérer les ventes de nos de nos chers amis e-commerçants et apporter la valeur e-commerce tout simplement. Trop bien. Et bien encore merci. Merci à toi. Merci d'avoir écouté cet épisode de Loyoly talks jusqu'au bout. J'espère qu'il vous a plu et que vous y avez trouvé plein d'astuces à tester pour votre marque. Si c'est le cas, abonnez-vous pour ne pas rater le prochain. Parlez-en autour de vous et laissez-nous une note étoiles sur Apple podcast, ça nous aide beaucoup. Enfin, si vous avez besoin d'augmenter votre LTV, n'hésitez pas à me contacter sur LinkedIn ou sur notre site point I o. À bientôt.