Loyoly Talks - Episode 2

Comment faire +15% de son CA avec l'email marketing en ecommerce (avec Email Club)

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Thomas Pedegaye
CEO & Fondateur de Email Club
"Le jeu, c'est d'aider les clients à racheter"

Notre invité

Aujourd'hui, Joseph reçoit Thomas Pedegaye, CEO et fondateur de Email Club, une agence CRM qui accompagne les marques e-commerce dans leur stratégie de rétention.

"Le jeu, c'est d'aider les clients à racheter"

Cette phrase résume parfaitement la vision et la passion de Thomas pour ce sujet si important en e-commerce.

Ça donne 1h de discussion passionnante durant laquelle Thomas nous partage des conseils concrets (et ils sont nombreux!) pour créer des newsletters et des flows (emails, sms, WhatsApp) qui convertissent et rapportent.

Qu'apprendrez-vous ?

  • Thomas & Email Club
  • L'e-commerce en France vs. aux USA
  • Les 3 sujets à travailler (embasement, flows, newsletters)
  • Plein d'idées pour segmenter ses audiences
  • Les mails plain-text, oui mais pas n'importe comment !
  • 4 conseils de copywriting
  • Unifier online & offline avec les emails
  • Trouver sa cadence de mails via les délais de réachat
  • L'intelligence artificielle pour déclencher ses flows ?
  • Réutiliser la data de son programme de fid'
  • C'est quoi un bon taux d'ouverture ? et de clic ?
  • Comment améliorer sa délivrabilité
  • Klaviyo vs. ses concurrents
  • WhatsApp & SMS dans sa stratégie CRM
  • 3 conseils pour rédiger ses emails
  • 2 outils pour réussir sa veille emailing
  • 6 marques à suivre pour vous inspirer

Lire la transcription de l'épisode

Un, avoir des taux d'ouverture cibles qui sont entre trente-cinq et quarante-cinq pour cent, tu vois Ok. Sur des segments de base, évidemment sur ton segment tiers or, tu as plus, mais c'est, je veux dire c'est normal. Bonjour, vous écoutez le podcast qui parle de e-commerce tout simplement. Une fois par mois, je reçois une personnalité inspirante de l'écosystème e-commerce français pour des discussions entre amis et sans prétention autour des sujets qui les passionnent. L'objectif décrypter des tendances e-commerce et partager des astuces concrètes pour faire cartonner votre e-shop. Je suis Joseph Aubry, cofondateur de Loyoly, la plateforme de fidélité et parrainage qui vous permet d'engager vos clients à travers plus de cinquante mécaniques, partage contenu utilisateur, avis client et bien plus pour augmenter votre LTV et diminuer votre CAC. Si l'Oylite Talks vous plaît, abonnez-vous et n'hésitez pas à nous laisser cinq étoiles sur Apple Podcasts ou Spotify pour nous soutenir. Bonne écoute. Bon, Thomas, je suis hyper content de de te recevoir sur le podcast. Ça fait un petit moment qu'on se connaît maintenant. Du coup, tu as bien vu aussi l'évolution de Wink qui est passée à Loyoly. Donc voilà, ça fait quelque temps et donc bien sûr, dès qu'on a lancé ce format, j'avais tout de suite envie envie de t'inviter pour qu'on parle de pas mal de sujets, toi qui est dans le le game comme on dit depuis depuis quelque temps. Donc tu es assez présent sur LinkedIn et Email Club, c'est une agence que que tout le monde connaît quand on parle de clavier aujourd'hui, en tout cas, en tout cas en France. Mais voilà, pour ceux qui ne te connaîtraient pas encore, est-ce que déjà tu peux peut-être te présenter rapidement Et puis voilà, n'hésite pas, tu vois comme Paul Louis l'a fait la dernière fois, à nous raconter un peu tes hobbies en dehors du taf, si tu fais du jardinage, si tu as d'autres trucs, c'est toujours c'est toujours cool d'avoir cette info-là. Trop bien. Merci beaucoup pour l'invitation. Très content qu'on ait pu trouver une date puisqu'on travaille ensemble étroitement, mais bon, moi je n'habite pas en France, donc on a mis du temps à arriver à ce à ce qu'elle est. Je m'appelle Thomas, je suis fondateur d'e-mail club. On est une agence de CRM, donc on accompagne des e-commerçants principalement dans leur rétention, donc automatisation email, SMS, WhatsApp et en particulier des programmes de file aussi. J'habite actuellement en Andorre, plus je vadrouille un peu. Donc moi, je ne fais pas trop de jardinage, je n'ai pas de maison, mais plus du VTT, du ski, des choses comme ça. C'est pour ça que je suis en Andorre. Très cool. Ouais, bien sûr. C'est le la bonne, le bon endroit pour pour ces trucs-là. Oui. Oui. Trop bien. Et bien écoute, aujourd'hui, on va pouvoir parler, donc tu l'as dit, de pas mal de sujets autour de la rétention client, donc on va parler un peu de mailing, de fidélité, de WhatsApp, les tools un peu que tu utilises. Il y a aussi des bonnes pratiques. Le but c'est aussi bien sûr de donner des tips vraiment activables pour les marques qui vont nous écouter. Donc écoute, très très hâte de lancer cette conversation. Peut-être pour commencer, toi du coup qui connais bien bien l'écosystème e-commerce. Je sais que vous avez aussi quelques clients aux US. Je voulais un peu avoir ton sentiment, ton retour un peu depuis ces dernières années sur ta perception un peu de l'écosystème e-commerce en France. Et puis pourquoi pas aussi, je serais intéressé de voir un peu ce que tu penses de celui des des US et comment peut-être l'un influence l'autre Ouais, écoute, nous on est, on est présent sur différents marchés, en particulier en France où c'est un peu plus de la moitié de nos clients. Ok. Et après sur d'autres marchés et un peu aux US. Ok. Écoute, ça ça fait trois ans qu'on a commencé avec email club. Je dirais qu'un des trucs intéressants, c'est que tout le monde progresse et tout le monde progresse vite. En vrai, déjà on a eu de la chance, c'est qu'il y a pas mal de nos clients qui ont fait des belles croissances et de tes clients aussi. Ou du coup, tu as plein d'enjeux nouveaux qui arrivent, donc ça, c'est cool. Ce qui a pas mal évolué en France récemment, on va dire que tu as de plus en plus de marques qui s'intéressent à la fidélité. Et donc, c'est pour ça qu'on se parle pas mal aussi. Donc ça, c'est, c'est vraiment des sujets qui sont sympas, qui sont quand même particulièrement intéressants si tu fais un certain volume. Au début, c'est moins intéressant et donc par rapport à ça. Après, moi, je ne suis pas très, je ne suis pas très intégré dans l'écosystème aux US puisque les plus petits, on a dix, quinze clients qui sont majoritairement des des Français qui qui vont aux US ou des petites boites aux US, enfin pas des petites boites aux US. Et en vrai, ce n'est pas des petites boites, mais souvent, c'est des des Français plutôt que je connais par ailleurs. Les grosses différences, on ne fait pas du tout de WhatsApp par exemple, quasiment pas. Ouais ouais. Ok. Tu as une grosse culture plutôt du SMS là-bas, que tu ne vas pas trop avoir ici. A les SMS depuis très longtemps et vraiment pas cher aussi, donc on peut s'amuser. Et après, je pense qu'on a beaucoup de marques en France où on regardait les u s. Sur les e-mails, là où c'est intéressant, c'est que c'est parce que les e-mails, c'est quand même mon gros mon gros sujet. On a vraiment des approches différentes. Une DNVB française, elle va beaucoup parler. On a des mails qui sont avec beaucoup de textes que tu peux remarquer, des templates où on va beaucoup, qui sont construits, et caetera. Là où tu as beaucoup de boîtes aux US, où c'est très simple et tu le vois aussi sur leur site, c'est très simple, tu as trois mots, et caetera. Donc ça, c'est un peu différent. On a une équipe dédiée, donc ils ont des pratiques différentes, tu vois, des plannings différents. Tu me bon, on parlait, tu as des des pressions commerciales différentes aussi. Ouais. Donc donc voilà, on s'amuse bien. Moi, j'aimerais beaucoup qu'on continue à grandir aux US, puisque tu as plein de choses à faire. On a on a dix, quinze clients, tu vois, on pourrait faire faire plein de trucs. Ok, intéressant. Ouais, c'est, c'est, c'est vrai qu'en France, on a une approche un peu plus littéraire quand eux, une approche beaucoup plus, comme on dit. Ouais, puis après, moi, j'aime beaucoup, tu vois à la base, j'aime beaucoup plus le contenu qu'on va faire dans des n l françaises où parfois on va nous reprocher qu'il y ait beaucoup de textes et caetera. Alors ce n'est pas le cas dans dans tous les emails, mais le côté newsletter et caetera, c'est un truc qui est qui est sympa je trouve de de vraiment prendre le temps de de communiquer avec tes clients quoi. Ok et et justement tu vois pour entrer un peu dans le vif du sujet sur les emails, peut-être pour ceux qui nous écoutent, ce que j'aime bien demander un petit peu comme comme question pour commencer, c'est quoi un peu genre les erreurs les plus fréquentes que tu vois quand tu commences à accompagner des marques qui auparavant géraient peut-être elles-mêmes leurs strates CRM et leurs leurs emails. Tu as deux gros sujets principaux. On va dire que tu as les automatisations et les newsletters. Tu as trois sujets l'embasement, les automatisations et les newsletters. Le premier, ce qui va être le plus c'est est-ce que les boîtes, elles travaillent vraiment leur embrasement Est-ce que tu as une vraie strate de optimiser la collecte à travers ta pop-up À vraiment essayer d'aller tester, faire de plein de choses pour avoir plus de monde en base. Ça, ça a un impact majeur sur les perf. Et nous, c'est un sujet où on est parfois bon et parfois on se bat aussi parce que ça mériterait d'être plus agile, tu vois, parce que tu as vraiment un impact de fou si tu doubles ta ta collecte. Donc ça, je pense que c'est le premier truc sur lequel si j'ouvre un compte, j'essaie d'optimiser ça sur la collecte sur le site, mais aussi par d'autres canaux. Tu vois, si j'ai une boîte qui se prête à faire un diagnostic, et caetera. Est-ce que j'ai un diagnostic Un diagnostic, c'est une, c'est génial pour en baser et pour enrichir aussi. Pour les automatisations, tu as plein de boîtes qui ne sont pas développées. Moi dans plein de notes d'audit, il y a marqué flow Loyoly tu vois. Tu vas avoir juste les flow transactionnels Loyoly et ils ne sont pas intégrés dans tes autres touchpoints. Alors vous avez bossé avec Océane sur un long document là-dessus, mais tu as évidemment tu as les les sujets transactionnels donc qui sont souvent engagés par une action du client, mais après tu as tout un tas d'autres moments où tu pourrais faire plein de choses. Souvent tu as des automatisations qui sont sous-développées, notamment post-achat et c'est là où souvent t'as pas assez d'utilisation des programmes de feed. Et après pour les n l c'est le planning. Le jeu des n l c'est qu'est-ce que j'envoie à qui et là tu as un enjeu si tu ouvres un compte et que tu te dis je fais moins de dix pour cent de mon CA par les newsletters donc juste les newsletters, c'est que tu sous-travailles ton planning et si tu regardes ton calendrier, fort probablement les marques elles vont contacter tout le monde d'un coup. On pourrait à minima contacter les prospects, les clients, les clients VIP ou les clients tiers feed et plus faire ça tu vois. Là tu as, en vrai si tu déjà tu travailles mieux ça, tu as toujours moyen d'avoir un impact. Et après un milliard de de choses qu'on pourrait. Et ça c'est intéressant le le dernier point que tu évoquais sur un peu justement les emails transactionnels. En gros, ce que ce que tu dis, c'est que typiquement quand il y a un programme de feed, si j'ai bien compris, parfois les audiences derrière ne sont pas forcément bien retravaillées. C'est-à-dire que tu as des VIP d'un côté, donc parce que tu as le programme de feed qui va les classer automatiquement. Et ensuite, les audiences ne sont pas forcément ultra travaillées indépendamment alors qu'elles devraient l'être, par exemple, envoyer des ventes flash à tes paliers gold parce que potentiellement, ceux qui vont acheter chez toi, quoi. Tu me parlais tout à l'heure d'un d'un programme de feed que vous êtes en train de travailler et sur lequel un des avantages ça va être de communiquer au tiers fidélité des n l en avance. Là j'ai le cas d'un client et Après nos clients, il y en a avec lesquels on fait de la fe depuis longtemps et donc ils sont plus éduqués à ça et donc quand on construit le planning de newsletter avec eux, ils ont ce réflexe. Tu vois, on fait un lancement d'une boutique dans une ville française et donc le jeu c'est comment on fait pour qu'il y ait la queue le jour du lancement. Ça c'est un truc, ce n'est pas extrêmement compliqué si tu as une belle base et que tu fais un cadeau et donc tu vois le client il nous dit direct bon et puis voilà on va prendre ces deux tiers de fidélité, eux on va leur écrire leur dire que parce qu'ils sont des clients VIP, ils sont évidemment invités et qu'ils ont juste à rs v p alors que les autres on va leur dire il faut que vous vous inscriviez. Ça change rien, mais le mec il se dit lourd, je suis client proche de cette ville et je suis membre donc j'ai juste à rs v p. J'ai une communication qui est différente, c'est trop stylé. Ouais, c'est ça. En fait, c'est vraiment le but, c'est un peu ce qu'on disait aussi juste avant d'un programme de feed, tu as une logique vraiment quantitative pour la marque et puis tu as aussi le fait de renforcer le sentiment d'appartenance du consommateur envers la marque. Et du coup, c'est dommage effectivement de ne pas communiquer avec ses clients VIP qui du coup méritent entre guillemets d'être considérés différemment des autres. Donc effectivement, ça, c'est je pense un bon type à garder en tête de bien retravailler les audiences. Ce qu'il y a d'autres un peu audiences basées sur des segments dynamiques, comme par exemple, je ne sais pas tous les parents, par exemple, sur lesquels tu peux aussi travailler de temps à autre. C'est c'est quoi un peu peut-être les les deux trois audiences sur lesquelles tu as vu que quand tu commençais à travailler dessus, il y avait des des c'était game changer potentiellement. En vrai ça dépend de ton client. En gros, nous on a des clients qui vont vendre des produits qui se prêtent à un rapide et des clients qui se prêtent à un rapide. En vrai ça n'a rien à voir sur ce que tu fais comme segmentation. Il ne faut pas oublier que la segmentation, ça induit une charge de travail supplémentaire. Donc moi, je recommanderais pas à quelqu'un qui le fait en interne de sursegmenter parce qu'il va falloir faire x. Ok. Parfois, c'est intéressant de quand même prendre des short cut, tu vois ce dont je te parlais pour le la boutique. En vrai, c'est rien, c'est quinze minutes de taf supplémentaires de personnaliser le truc, c'est quand même beaucoup mieux comme expérience. Nous, tu vois, on va privilégier de déjà à minima si tu veux juste sur l'aspect perf, ça va être de différents, en vrai, c'est un peu de la fidélité quand même, différents niveaux de de clients. Donc tes prospects, tu leur parles différemment. Ils ne vont pas acheter. Ouais. En fait, tu sais très bien ce qui, une boîte qui a de l'expérience, elle sait ce qui fait convertir ses prospects, quels sont les produits qui sont des portes et caetera. Donc eux c'est cool si tu leur parles différemment. Les prospects et pourquoi pas les vieux prospects à qui tu pourrais communiquer des promos, mais déjà isoler les prospects c'est cool. Ensuite souvent les clients ils se rendent compte qu'à partir d'un certain nombre de commandes, les clients ils ne se comportent pas pareil. Donc je ne sais pas moi, un mec qui a acheté un ou deux fois, tu vas peut-être avoir une pression supérieure à multiple time bailleur. Et tu vois j'avais un call cette semaine avec un client qui fait une grosse offre et on est un peu des forceurs. On envoie possiblement deux mails le dimanche, deux mails le lundi sur les derniers jours, tu vois, ce qui est très très relou. Mais le deuxième mail du dimanche, tu vois, on va segmenter pour que les clients les plus engagés, on laisse un peu plus tranquilles parce qu'on sait que ça ne sert à rien de les saouler. Donc tu vois déjà, tu peux jouer sur ta pression avec les first et second time bailleurs et puis les multiples time bailleurs déjà ça, ça peut être cool. Et après, ça dépend de ta typologie de produits, mais je pas moi, je lance un déo. J'avais un déo avant, je fais une nouvelle formule de déo. Bon, c'est cool si tu segmentes les mecs qui ont déjà acheté ton déo d'avant et puis ceux qui ont acheté le déo, ceux qui ne l'ont jamais acheté et pourquoi pas ceux qui ont acheté le déo avant et qui t'ont mis un mauvais avis, tu peux encore plus leur parler différemment, pourquoi pas leur offrir, et caetera. Des trucs à la marge. Mais donc déjà le le gros du sujet, c'est quand même de segmenter et ça rejoint un peu ton métier, c'est de segmenter par est-ce que c'est un prospect, est-ce que c'est un client fidèle Déjà ça, tu as de quoi t'amuser à mort et après par catégorie de produits, c'est un niveau d'après souvent plus dans les gens qui vendent des produits cosmétiques ou à à fort potentiel de rachat. D'accord. Avec qui on bosse, star de la segmentation et Marine qui bosse sur le compte star de la segmentation parce que tu exploses le volume de mails que tu fais. Mais évidemment que le gars qui a déjà acheté un gel douche, ça ne sert à rien que tu lui vendes un gel douche. Tu lui vends les refile, mais il y a un mécanisme super sympa. Par contre, dis-toi, ok, acheteur gel douche, non acheteur shampoing, puis tu as des trucs très simples. Ok, ok, intéressant. Il n'y a pas mal, je pense, ça donne des idées, je pense à mon avis à tous ceux qui ont un peu la tête dans leur dans leur CRM en ce moment. Et justement, ça m'amène à la question un petit peu des typologies un peu d'emails qui marchent bien. On a parlé un peu des newsletters. Toi, tu penses quoi des emails un peu genre plein texte envoyés par tu vois par exemple le fondateur, la fondatrice aux clients de mères personnalisées, et caetera. Est-ce que c'est un truc qui qui fonctionne bien Grave et on parlait de l'évolution de l'écosystème. Si tu regardes il y a il y a deux ans, il y a beaucoup moins de marques qui avaient recours à ça. Aujourd'hui tu as la plupart des marques je pense qui qui le font. Ouais c'est c'est très bien déjà pour des raisons délivrabilité, c'est des mecs qui sont super légers et souvent où tu vas avoir un objet et un expéditeur qui donne l'impression que c'est un mail envoyé par un humain, donc un meilleur taux d'ouverture. Nous on en envoie plein, je ne sais pas, un mail sur trois peut-être c'est un mail texte, ça dépend des marques, mais tu délivres mieux, tu as souvent des bons taux d'engagement et si tu le l'écris vraiment comme un humain, c'est un mail qui est cool à lire en vrai. Et de plus en plus, les gens ils vont, on va essayer de le rendre un peu plus joli quand même avec des des petits éléments qui sont sympas. Et puis tu as des marques où on va pousser la blague ou où ils vont pousser la blague aussi avec nous parce que c'est un, ils se prennent au jeu. Si tu vois, si tu vas voir la série de mails de neuf-cent-cair, tu as plein de choses où tu as plein de, tu as des personnes différentes qui parlent, ça se répond c'est cool. Donc ça grave et c'est ce qui performe si tu dois jouer la délivrabilité parce que tu n'as pas des super délivrabilités, c'est voilà. Mais il ne faut juste pas faire ça toute la journée. Ok. Varier un peu les formats et pousser ce genre d'e-mails au bon moment. Et c'est limité sur le putaclic dans le sens où c'est évident que si tu as un objet aguicheur, tu vas avoir plus de genre re à propos de votre commande, tu vois c'est un winner. Maintenant peut-être laisse ça en troisième mail d'abandon check out prospect et ne lui 6 pas tous les jours parce que et puis dans ce cas-là il faut que si tu as un vraiment ça c'est un truc, si tu as un objet qui est vraiment agressif, il faudrait que dès le début tu l'adresses tu vois. Genre bonjour je vous contacte à propos de votre commande ok ça fait le lien. Ok Ok, pour qu'il voit en fait dans l'e-mail déjà en preview un peu. Oui et puis comme ça toi tu tu le respectes un peu plus ton client parce que si tu es peu déceptif avec tes clients à long terme, ce n'est pas ouf. C'est pour ça, c'est bien parce que tu fais de la bonne délivrabilité après à faire avec en travaillant comme si on pense à un autre client. Ok, avec parcimonie donc à utiliser. Et justement, tu parlais un petit peu de, tu as dit le mot putaclic, ça amène à te poser la question un petit peu de deux trois types de copywriting sur je ne sais pas des CTA, des objets aussi, je pense, ce serait quoi un petit peu les deux trois trucs qui te viennent en tête en premier quand tu penses voilà des cités qui ont bien marché ou des objets qui ont bien marché C'est que des conseils on pourrait le faire de mille manières différentes et tu pourrais toujours le challenger. De mon point de vue, un déjà toujours se relire à haute voix quand on relie son contenu. Donc s'il n'arrive pas à le lire facilement à haute voix, il y a peu de chances que ça soit intéressant et agréable à lire. Deux, ça serait cool de pouvoir cut une bonne partie. Si quand tu te relis, tu tu ne cuttes pas une une grosse partie, c'est c'est peut-être que tu vois, c'est un un un de nos clients historiques qui disait tout le temps ça à mon équipe, je passe le bonjour à Aymeric de neuf-cent-querres qui, dès le début de la collab, il disait ouais, si vous n'êtes pas, si vous n'avez pas que trente pour cent, c'est que vous n'avez pas assez enlevé des trucs. Toi, tu as tendance à vouloir en faire des caisses, na na na. Je veux tout dire. Vas-y cut. Quand tu te relis, si tu ne cut pas, c'est que ton mail, il va être trop long et après toujours introduire ces CTA. Donc tu vois, il y a eu dans nos mails en français où on parle à nos clients, tu introduis un peu tes CTA, tu dis, hop je te propose de toi, tu si tu m'envoies un mail, tu comme un humain quoi puis quand tu le relis voilà. Et après pour les objets c'est en vrai les ça reste un sujet très important les objets parce que tu peux quand même sortir du lot si tu as des objets intéressants, Est-ce qu'il faut se poser la question, est-ce que je transmets bien mon message Est-ce que ça ça intrigue, et caetera. Il y a des boîtes qui sont trop forts en objet et faire du bench, je pense, tu peux trouver des bonnes idées. Il ne faut pas hésiter à prendre les bonnes idées si si tu en trouves. Ouais quand même, c'est vrai que c'est ce que tout le monde fait un petit peu, tu vas regarder, nous c'est pareil pour les, de Hubspot, on va souvent s'inspirer d'autres boîtes qui sont dans le sas aussi pour checker un peu ce qu'ils font. Et je te reposerais une question après en fin de podcast justement sur quelques, quelques à aller à aller choper. C'est bien comme ça, ça fait rester les gens jusqu'à la fin du podcast. J'ai appris ce week-end. Et sinon, tu disais un petit peu, tu parlais de la boutique, donc d'une marque que vous avez accompagnée pour un lancement sur une boutique et du coup ça va être le sujet un petit peu de l'omnicanal, l'omnicanalité. Comment tu travailles peut-être un peu différemment ta base client quand tu es une boîte qui aussi a un canal de vente physique, est-ce qu'il y a des différences J'imagine que j'imagine que oui. Nous, on a moins petit disclaimer, moi je suis moins expert sur ce sujet dans le sens où je dois avoir, là on doit avoir soixante clients actifs, tu en as peut-être dix qui ont une boutique et qui ne sont pas souvent des, souvent c'est une boutique en plus du e-com et après tu dois avoir cinq clients où il y a vraiment plusieurs boutiques. La première question c'est est-ce que tu as un est-ce que tu as un un point off sell qui soit le même que ton que ton que ton que ton CMS online, donc si tu as Shopify et Shopify point off sell, c'est magnifique. On va pouvoir bosser avec le Yalee par exemple. C'est cool. Voilà, peut-être que tu ne l'as pas, tu vois. Si tu ne l'as pas. C'est assez récent en fait, je crois, ça fait genre un an ou deux que ça existe P0S. Je crois que ça fait plus. Mais par contre c'était moins développé, je pense c'est un peu comme Shopify, ils vont aller choper de plus en plus des clients sur des gens qui avaient d'autres CMS. Peut-être que de plus en plus tu vas avoir, mais tu peux, je pense que la la clé, ce serait d'avoir déjà un un fichier client au moins à peu près unifié. Donc tu vois, je parlais avec un un client Loyoly cette semaine qui a, ça va peut-être te parler. Il a un site Shopify et il a des des points off sell sur un autre outil et donc malheureusement on n'a pas ces ces et donc ça c'est embêtant. Comment tu pourrais résoudre ça Une des solutions c'est de switcher son P0S, mais si tu as quinze boutiques c'est mort il va pas le faire demain tu vois. Est-ce que je peux créer des automatisations depuis le le RP pour créer des commandes sur Shopify qui sont à full field, avoir du coup deux trucs qui se tiennent. Ça ça va avoir, ça change tout. Et du coup et que je puisse les voir sur mon espace client, avoir mes points fil et caetera. Donc ça c'est, en vrai c'est trop bien si tu peux faire ça. Ouais. Et après pour les mails, évidemment ça a un impact. Après nous on le travaille moins parce qu'on a moins de clients qui font ça, mais déjà une boîte qui le travaille beaucoup, elle a des supers avis sur sa boutique. Elle lèverait de jeu ses boutiques pour ses lancements, pour ses grosses o p genre Noël et tout quand tu ne chies plus, tu peux faire plein de choses sympas. Et donc ouais, c'est c'est trop bien. Et le, le, à l'avenir j'espère qu'on en aura de plus en plus et qu'on va pouvoir de plus en plus s'amuser sur ce genre de de projet tu vois. Ouais carrément ouais. Moi je trouve ça hyper intéressant comme thématique l'omnicanalité pour justement tu vois créer en fait des des ponts entre le monde physique et le monde digital. On en parlait l'autre jour je crois avec PS, c'est vrai que tu as beaucoup de DNVB maintenant qui pour passer la next step vont aller ouvrir des points de vente physique et à l'inverse, c'est-à-dire les plus grosses boîtes aussi qui font le chemin exactement contraire, c'est-à-dire par exemple plein de boutiques physiques, maintenant elles sont pas très fortes sur le digital et du coup justement copient un petit peu ce que font les DNVB, elles s'en inspirent pour pouvoir être fortes aussi sur sur ce canal-là et du coup je trouve que ça amène beaucoup de plus en plus j'ai l'impression en tout cas à mon échelle que il y a de plus en plus ce sujet un peu de de l'omnicanalité qui est en train d'arriver et voir comment d'un point de vue expérience client, tu arrives à tu vois créer des synergies entre ton point de vente physique, ton e-shop, ton support client, tes avis, tes réseaux sociaux. Et ouais ça c'est je trouve hyper hyper passionnant avec tous les outils qu'on a, on a tellement accès à beaucoup de données qu'il y a des trucs hyper cool à faire à mon avis dans les prochaines les prochains mois. Et pour vous comme pour nous en loyalty et aussi en CRM, j'étais l'autre jour de passage à Paris, j'achète dans une boutique d'une marque qu'on ne citera pas et qui a plein de qui a plein de de points de vente et qui vend en ligne et que je connais à la base par la vente en ligne, mais je n'avais jamais acheté. Ok. Et au moment de payer, le vendeur me demande mon mail parce que c'est là que j'aurai le ticket de caisse. Il me dit, ne vous inquiétez pas, je ne vous inscrit pas à la newsletter. J'étais là, je n'avais pas envie de l'emmerder parce qu'en plus j'étais pressé. Je dis putain tu me brises le coeur genre vas-y, vends-moi la newsletter plutôt. Ah c'est trop bien. Alors que s'il avait bossé dans une, si c'était une marque type de client, on a des gros relous, on va tout faire pour te faire t'inscrire à la newsletter. Parce qu'après je vais le faire revenir, en plus je leur ai acheté un pull, je pouvais leur acheter plein d'autres trucs. Elle m'a brisé le coeur. Et donc du coup l'omnicanalité c'est trop bien parce que tu vois avec Loyoly, tu vas pouvoir en baser aussi en boutique et tu as eu tu as une excuse pour en baser qui serait qui serait C'est clair. Tu dis, imagine le vendeur te dit, voilà, est-ce que ça te dit que je te crée un compte client En vrai le le entre guillemets, le prétexte du ticket de caisse, ça, c'est quand même pépite, on ne va pas se mentir, puisque tout le monde, plus personne Tu lui donnes ton mail. Voilà, tu lui donnes ton mail. Et puis après, il dit, au fait, est-ce que ça te dit de créer un compte pour comme ça avoir dix pour cent sur ta prochaine commande Ouais frère genre je suis un truc chaud tu vois. Ou avec ton pull tu as déjà cent-cinquante points, vas-y fais-le. Ouais voilà c'est ça ouais encore mieux. Trop bien. En fait donc du coup super j'ai hâte qu'on ait de plus en plus de projets omnicanales pour pour faire du CRM. Ouais, ça va être cool. Et justement, donc en parlant du CRM et de la partie un peu rétention. Donc là, je nous emmène un peu sur notre sujet, notre sujet commun. On avait sorti donc petite petite page de pub, un contenu en commun qui est très cool sur les onze emails indispensables pour les programmes de feed. Donc du coup, n'hésitez pas à aller checker ça déjà pour commencer. Merci à Océane. Merci Océane. Et Flof qu'on embrasse, qui ont fait du super boulot. Gros travail commun. Très bien. Je vous recommande si vous avez, si vous n'avez pas ces onze types de mails qui sont live et que vous bossez avec Loyoly, je vous recommande de regarder. Donc donc ouais du coup par rapport justement à la à la strate de rétention, donc là c'est une question qui est un petit peu large, mais comment toi tu intègres un peu le mailing justement dans ta dans ta strate de rétention, dans tes tes tes programmes de feed un peu sur sur Klaviyo, est-ce que tu veux nous en dire un mot un mot rapidement De manière globale sur le CRM, outre la fidélité, le jeu c'est de aider les gens à racheter donc en identifiant à travers la donnée quelles sont les différentes phases d'achat et quels sont les délais auxquels on attend durée achat du délai auquel on est déçu parce qu'on s'attendait à durée achat, il n'a pas eu lieu et caetera. Donc ça, ça va dicter mes flow. Welcome post-achat, cross-sell, slash torturing. Donc, pour le premier truc que tu fais, c'est que tu regardes la fréquence de réachat. Tu sais un peu le point de départ pour toi pour cadencer la fréquence de contact des conso. Ouais, tu as cité sur Shopify, c'est génial. Tu télécharges l'application live timely, c'est trop bien. On peut sortir des courbes de réachat, donc on voit l'évolution de pour passer de la première à la deuxième commande, combien de pourcentage de des gens ont acheté Overtime. Et du coup, je vois que si je vends un produit qui ça ne se prête pas du repeat instantané, peut-être que pendant mes trente premiers jours, je n'ai pas un taux de réachat énorme. Bon là, ça serait cool que je que je maximise le réachat en en te donnant des tips, et caetera, comment l'utiliser, et caetera. Donc si tu fais ça, tu vas, par exemple si je vends des compléments alimentaires, ma durée dure trente jours, pendant les quinze premiers jours et c'est de faire en sorte que les gens ils utilisent vraiment la cure et qu'ils en aient des bénéfices tu vois. Bref je t'accompagne. Ensuite si tu vends des produits avec un rapide genre mes cures, Là, on va regarder les délais de réachat. Évidemment que celui qui a acheté la cure trois mois, il n'a pas le même délai de réachat que celui qui a acheté la cure un mois. Donc tu n'as pas les mêmes moments où tu triggers. Ok. Et donc là, c'est, slash, donc en gros, faire racheter le produit aux gens. Et à l'inverse si tu vends des pulls, le mec tu ne veux pas lui revendre un pull a priori, tu veux lui vendre un autre produit. Donc là tu cross celle, c'est une autre typologie mais c'est un peu dans la même phase quand tu attends les commandes. Ouais. Et puis il y a un moment où le gars qui a acheté ta cure de trois mois s'il n'a pas racheté dans 6 mois ou et tu vas le voir c'est quand la courbe elle se elle s'aplatit ou quand on a fait quatre-vingts pour cent des conversions attendues, bon là on sait qu'on a un intérêt à essayer de les retargeter en mode comme si on les avait perdus. Donc potentiellement il y a des discounts qu'on va évidemment rappeler. Genre x, tiens voilà dix pour cent si tu rachètes, valable sept jours, dans cinq jours, vous n'allez pas profiter de votre code, attention elle va expirer dans deux jours. Ok. Et donc ça, c'est sur la partie, si je n'ai pas de programme de feed. Et si j'ai un programme de feed, tout pareil, mais plus segmenté. Donc là tu peux plus t'amuser. Ta welcome series, elle est cool parce que tu vas pouvoir dire tiens regarde tu as x point externe donc on retrouve un peu les les différents mails qu'on a dans notre pdf. Quand le mec tu as envie de le cross sell, s'il a un code disponible, tu vas lui rappeler au fait tu as un code, s'il est à x point de passer un tiers fidélité, tu vas lui dire ça. S'il n'a jamais fait de parrainage, tu vas lui dire fais un parrainage. Bref tu vois. Et en fait dans de base tu as tes touch point et si tu es bon et que tu as un programme de fil et qu'il s'intègre bien, tu l'intègres dans l'outil, dans Claviyo. Et donc finalement, c'est d'autant plus engageant, quoi. Trop bien. En vrai, hyper clair. Si même moi, j'apprends des trucs, tu vois, donc je comprends mieux en fait vraiment la comment tu travailles, la cadence en fonction de la fréquence de réachat, tout simplement le le point de départ pour tout tout structurer derrière. Et si tu n'as pas désolé je suis je suis relou là-dessus, mais si tu n'as pas live timely, il faut quand même le faire. Il faut juste essayer de trouver une autre manière de sortir ces courbes. Ouais. Un outil comme Klaviyo ne te permet pas au bien de le faire, mais tu peux le faire. Ils ont notamment un un outil qui s'appelle Advanced Analytics. Pour ça, il faut les contacter. C'est trop bien et il te permettra de sortir des courbes comme ça. Donc ça, c'est lourd. Si tu ne l'as pas, il faut faire des Excel. C'est pas très grave, tu peux le faire. Ce n'est pas très compliqué non plus et c'est vraiment tu vois ça c'est week un onboarding, il faut essayer de comprendre un peu tu vois quand tu vas vouloir faire des flow post achat, c'est quoi la donnée tu vois. Ouais carrément ok voilà donc ouais live timely L'idée sur Shopify, live timely c'est trop bien. Ok et puis sinon un bon un bon vieux Excel comme on aime. Ça te parle, ça marche toujours. C'est un peu plus chiant quoi. Mais ouais, ça permet de de s'approprier au moins vraiment le le truc quoi. Donc c'est vrai que justement c'est une table quand même indispensable en fait sans laquelle tu ne peux rien faire derrière comme tu l'as dit. Avant les flow poste achats, ouais c'est essentiel. Après le bon sens, ça te permet quand même de faire des des bons choix, tu as sur les cures de un mois, trois mois et caetera. Mais ouais. Idéalement ouais tu as une une approche vraiment basée sur sur ta data. Et après et après Disclaimer, si tu as des vraiment gros volumes, là tu peux utiliser des outils de prédictive qui vont du coup te trigger notamment les flots de et en fonction des habitudes de réachat de tes clients. Ok. Ce qui ne fonctionne pas si tu as des petits volumes, mais fonctionne bien si tu as des gros volumes. Forcément. Et que notamment avec la via Advance analytics, tu vas pouvoir éduquer le l'algo pour lui expliquer en fonction de des produits, quels sont les changements sur l'idée de réachat. Effectivement si tu vends des cures, ne pas utiliser ce ce trigger parce que le trigger de base il ne prend pas en compte que le mec il a acheté trois mois ou un mois. Donc du coup c'est débile, les flow ils vont ils ne vont pas faire sens pour le client. Ok ok je comprends. Mais tu vois tu peux t'amuser à l'avenir avec l'IA à avoir potentiellement de moins en moins besoin de faire ça qui ne peut pas être meilleur que une IA qui serait vraiment intelligente et qui sait le délai de réachat normal des gens qui ont acheté une cure d'un mois tu vois. Ouais c'est clair ouais ouais c'est vrai que ça va être sur une évolution assez intéressante. Est-ce que tu est-ce que par exemple polar analytics c'est un outil qui te permet de faire faire des choses comme ça. Nous on utilise moins, je pense que Polar c'est plus côté Acquise peut-être. Au côté analyse tu vois, poste, c'est hyper complet tu vois. Ouais. Mais ça c'est plus côté ouais une fois que tu as fait les les achats, enfin une fois que tu as fait le, tu as fait ton taf de de CRM quoi, tu vas regarder ce qui se passe, comment se comportent tes cohortes et tout. Je dirais que nous à l'avenir, c'est soit Klaviyo qui progresse sur l'IA et ça va faire le truc, soit tu as des outils tu dois bosser un peu avec quantify ou des choses comme ça. Oui à quantify aussi. Qui propose ce genre d'approche ou alors à l'époque tu avais et il y en a d'autres. Ok. Mais on le fait moins nous sur nos clients puisque souvent c'était ces outils ils n'étaient pas assez développés et en plus les volumes ils s'y prêtent moins je pense. Si tu as quinze refs en vrai c'est tout quand tu fais ton analyse et je pense que tu as une bonne base. Ok intéressant de voir comment ça va ça va évoluer toute cette partie un peu un peu prédictive aussi avec tout ce qui se fait sur l'IA aujourd'hui. Très cool. Et petite question toujours pour compléter sur la sur la fidélité. Donc bien sûr, il y a ceux qui voudront vraiment creuser le sujet qui vont aller télécharger les les onze les onze emails, le contenu qu'on a produit ensemble. Est-ce que toi tu as d'autres tips un peu pour promouvoir ton programme de feed par email, soit tu as en utilisant des variables, exemple ce qu'on dit assez souvent manière voilà je pense c'est un des trucs qui te vient en tête en premier, ce n'est pas hésiter à utiliser le nombre de points dans un bandeau dans quelques emails pour dire rappeler à ton client qu'il a à temps de points de fidélité, qu'il est sur sa page VIP, Est-ce que tu as d'autres petits trucs comme ça qui te fait en tête pour augmenter l'engagement en fait sur sur un programme de feed côté CRM Est-ce que j'allais dire exactement ce que tu m'as dit. Je pense que le truc qui va avoir le plus d'impact si tu regardes dans un an sur le taux d'utilisation de ton programme, c'est à quelle fréquence tu utilises dans les newsletters. Ok. Et souvent tu as deux types de programmes de fidélité, tu as des trucs qui vont être bricolés et construits à la main sur des outils comme Klaviyo qui sont à la fois très bien, mais facilitent pas ça parce que tu as une grosse marge d'erreur pour faire ça. Ok. Et l'intérêt des outils de fidélité entre autres, mais l'intérêt majeur, ça va être la facilité de réutilisation du programme dans les n l. Oui. Puisque oui toi tu vois par exemple tu vas tu vas pas me demander de faire si j'ai trois tiers de me faire quatre n l à chaque fois. Tu vas juste la personnaliser de manière quali sans trop de risques. Tu vas pouvoir le faire autrement si tu as un programme construit à la main, mais c'est un peu plus de taf avec des show and id et des choses comme ça qui Avec des quoi pardon. Show and id des trucs pour cacher des blocs mais qui qui alourdissent la newsletter donc ouais mais si tu l'utilises là. Là je comprends. Tout le temps c'est sûr que c'est là que tu as un impact parce que tu n'as pas tout le monde qui achète tout le temps donc les flow ils vont pas les recevoir à chaque fois tu vois. En revanche si tu fais de la n l ouais. Ok ok intéressant. Et après donc ouais tu vois maintenant sur la partie un petit peu plus benchmark, je pense ça peut être cool aussi pour les marques qui nous écoutent de donner un peu, qui puisse un peu se projeter et se comparer. Bien sûr je sais que tu vas me dire que ça dépend vachement des industries et des secteurs et caetera où voilà et de la fréquence de réachat et voilà tout ça c'est bien sûr ça ça a un gros impact sur tout ça, mais je voulais quand même te poser la question, c'est quoi pour toi genre un bon taux d'ouverture, de clics, de conversion, de spam si tu as un peu un bench général Ouais, alors tu l'as dit, le seul problème, c'est que tout est relatif. Et notamment en fonction de ta segmentation, puisque si tu shootes à toute la terre, donc toute ta base versus si tu shootes à des agents engagés, tu n'auras pas les mêmes taux d'ouverture. Ça ne veut pas dire que tu as fait un, que tu es, tu les livres sensiblement mieux. Moi, j'aime bien regarder un avoir des taux d'ouverture cibles qui sont entre trente-cinq et quarante-cinq pour cent tu vois. Ok. Sur des segments de base évidemment sur ton segment tiers or tu as plus mais c'est, je veux dire c'est normal. Des taux de clic, donc CTR, cliquent sur ouverture qui sont et donc ça c'est plutôt ça qui est intéressant pour le le contenu, enfin pour le l'intérêt du contenu qui sont entre cinq et dix pour cent, ça c'est vraiment cool. Ils vont être plus élevés sur des tiers élevés ou sur des clients fidèles et ils vont tourner à trois, quatre, cinq pour cent sur des prospects. Ça c'est lourd. Sachant que les les ouvertures sont en partie et pour beaucoup simulées par Apple privacy open depuis fin deux-mille-vingt-et-un. Donc il y a des ouvertures qui sont simulées par Apple pour protéger ses utilisateurs. Une des NVB en France, elle est en moyenne entre cinquante et soixante-dix pour cent de Apple privacy open. Une boîte aux US, elle a quatre-vingts pour cent. Donc c'est pour ça que tes ouvertures, voilà. C'est d'apprendre avec des pincettes, avec le taux d'ouverture, ça ne veut pas, ce qui est vraiment être faire la diff à la fin, c'est le CTR comme tu dis quoi. Exactement et tu peux l'exporter. Donc si vous faites un un export de campagne si vous bossez sur Klaviyo, on peut voir les Apple Pravacy Open et donc d'abord une idée de ça. D'accord. Mais sur Klaviyo, tu ne peux pas dans le la vue campagne de base lui dire montre-moi en excluant Apple Pravacy Open le taux d'ouverture. Donc, mais tu pourrais le recalculer à la main dans ton rapport mensuel quoi. D'accord. Voilà. Et après, tout est différent appelé Storder rate qui va dépendre en fonction de est-ce qu'il y a une promo ou est-ce que c'est un segment particulier. Donc ce qui est intéressant, c'est de prendre ces KPI là sur différents, sur un mois admettons et sur un planning standard, essayer de les améliorer à travers des changements marginaux, tu vois. Donc c'est ça qui est qui est cool. Et après les n l, donc les newsletters, elles doivent faire dix à quinze pour cent du CA. Nous on suit, tu vois moi je bosse avec Océane de manière moins visible à regarder tous nos comptes et s'assurer qu'on qu'on tende vers ça et et ce qui fait que tu t'en éloignes, c'est ton planning. C'est dans on est tu vois tu enregistres, tu es tu es tu es à mi-mois si tu n'es pas bon, c'est que peut-être que tu as fait si tu fais ton parrainage le premier week-end du mois, peut-être que c'était pas le meilleur week-end où il fallait faire ça et peut-être que tu aurais dû le faire le troisième week-end du mois. Parce que les gens ont moins de thune en début. Parce qu'au début de mois, il y a de l'argent et c'est là où tu veux faire tes, tu veux aller faire ton CA donc tu vas faire des des peut-être que c'est là où tu vas pousser des des enfin en gros tu joues avec ton planning quoi. Ouais. Et bien c'est si tu fais pas dix à quinze pour cent en n l, c'est ton planning qui qui qui est mauvais. Donc c'est si tu veux tous les mois faire ça, voilà. Donc ça c'est vraiment le truc que je checkerai. Parce qu'après les flows en raison d'Apple Private Open, l'optimisme est est présent tu vois. Et et après sur les flows, on va avoir cinquante pour cent, c'est de l'attribution de la welcome series ou trente pour cent, donc ça il faut le regarder avec un peu plus de pincettes et surtout regarder les performances des mails deux et trois et plus ou l'abandon de panier, pareil, poste d'achat. Pré achat, abandon de panier, c'est pareil. Le premier mail, évidemment qu'il faut l'optimiser, mais évidemment qu'il a des bonnes performances. Par contre, si tu arrives à optimiser ton mail deux et que tu le fais marcher cinquante pour cent de mieux que le mail deux que tu avais avant, notamment en jouant sur les délais ou les objets, tu as un impact de ouf sur là où tu vois ta welcome series ou ton abandon check-up trente minutes, est-ce que c'est vraiment la team CRM qui a ramené cette vente ou est-ce que cette vente elle n'a pas eu lieu, aurait eu lieu dans tous les cas tu vois, c'est un peu moins. C'est la question qui restera toujours sans réponse. C'est ça. Et même ça vaut pour tous les toutes les étapes du funnel. Après nous dans la rétention, on est vraiment ceux qui doivent le moins faire les malins puisque nous on ramène moins de gens sur le site. Donc sur les newsletters, on est plus serein sur nos performances parce que tu vois que tu as driver les gens sur le site. Ouais. Sur les premiers touch point des flows, pré-achat souvent tu as beaucoup d'optimisme. D'accord ok ok. Bien noté hyper cool d'avoir un peu ce ce benchmark-là et puis ouais sur la partie un petit peu spam du coup et taux délivrabilité. J'ai l'impression que c'est un peu un sujet obscur parfois pour certaines marques qui se disent bon voilà c'est taux délivrabilité vas-y tu vois genre j'envoie des mails et puis on verra tu vois il y a bien des mecs qui vont les recevoir et peut-être voilà à toi de me dire si c'est mon impression est vrai ou pas, mais est-ce que c'est un truc peut-être auquel les marques ne font pas suffisamment attention ou qui est un peu trop méconnu. Est-ce que toi justement tu as un peu des conseils pour faire attention pour pouvoir améliorer cette délivrabilité et éviter de se de se mettre en spam. Oui, c'est hyper important puisque ça a un impact de fou sur tes performances. C'est très dur à mesurer dans le sens où tu aucun outil qui va te montrer vraiment le pourcentage de personnes qui l'a mis en spam. Donc par exemple sur Google Postmaster, tu vas pouvoir mesurer la réputation du domaine. En fait, tu vas pouvoir observer la réputation du domaine et la réputation des IP et le taux de mise en spam des utilisateurs, mais ce qui est ridiculement faible dans un comme normal. D'accord. Les clients ne les mettent pas d'eux-mêmes en spam, tu vois, ils ne sont pas moins qu'ils soient extrêmement relou. Oui. Normalement, ça n'arrive pas trop. D'accord. Et que tu es sur une industrie normale. Donc c'est très dur à mesurer donc une bonne manière de le mesurer c'est à travers les taux d'ouverture. Est-ce que j'ai des bons taux d'ouverture Et est-ce que j'ai des bons taux d'ouverture sur tous les providers Donc sur la plupart des bons CRM, Klaviyo entre autres mais surtout les autres, on peut voir le taux d'ouverture par provider. D'accord. Si j'ai un taux d'ouverture qui est très mauvais sur Hotmail, un déjà je peux contacter les services Abuses, donc il faut taper sur Google Abuse Hotmail. D'accord. Et on leur écrit, on leur dit non les gars, je ne comprends pas. Moi, je contacte que des opt-in. Pourquoi vous me mettez en spam D'accord. Tu les relances parce qu'ils ne te répondent pas. Mais après, ils te répondent et tu as un vrai impact sur ça, ça marche. Ok. Et donc on mesure ça plus on n'a pas les mêmes critères d'engagement. Donc admettons que tu aies une marque qui ait trente pour cent d'ouverture sur Hotmail et trente, trente-huit sur Gmail. On va Gmail et on va se comporter normalement, on va contacter un segment, je ne sais pas engage de soixante jours ou quatre-vingt-dix jours. Des gens qui ont interagi avec les emails dans les derniers soixante ou quatre-vingt-dix jours. Si je suis moins bon sur Hotmail, je fais et n'ai pas Hotmail sur mes quatre-vingt-dix jours et pour les Hotmail, je mets et Hotmail et là je mets trente jours. Du coup, je monte ma réputation artificiellement parce que c'est toujours le jeu de la délivrabilité, c'est de montrer de l'engagement. Ok. Je travaille ma réputation en envoyant à des gens qui interagissent avec mes mails et puis je la mesure donc à travers un par exemple Google postmaster qui est vraiment intéressant et après on peut si on a vraiment un problème de mise en spam, il y a des outils qui te permettent de de suivre est-ce qu'il y a des problèmes sur ton pool d'IP Est-ce qu'il y a malheureusement, donc il faut savoir que la plupart des outils comme Klaviyo, on travaille sur des poules d'IP partagées puisque nos clients n'ont pas des volumes suffisants pour avoir des IP dédiées. Est-ce que tu peux ok, un pool d'IP partagé pour pour juste bien comprendre en gros, c'est c'est quoi En gros, depuis cette année, tout le monde est maître de sa réputation à tout le monde signe ses emails à travers son domaine. Donc tu as un sous domaine dédié pour tes emails qui va donc signer des envois auprès du auprès de Google par exemple. D'accord. Mais là l'email, il va être envoyé à travers une adresse IP qui ne t'appartient pas et que souvent tu empruntes à ton outil comme Klaviyo qui va faire des poules d'IP qu'il va utiliser sur différents comptes. Et et puis parfois Klaviyo va te faire évoluer d'une IP à l'autre. Donc peut-être que c'est intéressant de regarder si tu as une baisse drastique, qu'est-ce qui se passe avec ton IP Est-ce que ton IP elle a une bonne réputation Et après sur les comptes qui sont plus gros, on a des, tu peux avoir une IP dédiée, mais donc là ça tu es maître de ta réputation donc il faut faire d'autant plus gaffe par contre au moins tu apprends pas de risque si toi tu te comportes bien tu es bien. Et pour ces gens-là, c'est vraiment intéressant de prendre la main sur le transactionnel parce que le transactionnel il crée de l'interaction, donc s'il crée de l'interaction, il améliore ta réputation et donc tu peux tu peux jouer avec ce genre de choses. D'accord. Une certaine mesure, c'est-à-dire que si tu es vraiment très gros, c'est peu probable que tu utilises les mêmes les mêmes poules d'IP pour le transactionnel que pour le commerce parce que tu n'as pas envie de impacter le transactionnel avec le commerce si l'équipe marketing s'emballe un peu pendant une loupe. En revanche, on pourra utiliser le transactionnel pour chauffer les IP, pour chauffer les domaines qu'on enverra ensuite au commerce. En vrai, il n'y a pas trop de pour résumer, il n'y a pas trop de risques de spam. C'est quand même si on contacte des gens qui sont opt-in voilà, si on moniteur nos open rate et qu'on travaille un peu dans ce sens vers des open rate cibles, on est bon, il n'y a pas de et qu'on contacte des gens qui sont intéressés, et caetera évidemment et une petite pratique pour notre typologie de clients évidemment si possible quand vous faites du b to b faites-le sur un autre compte quoi parce que ça par contre ça va nous impacter grave parce que souvent c'est des fermetures sont mauvais Mais Oui sauf te mettre en spam pour le coup parce que tu n'as pas les mêmes pratiques, tu fonctionnes en opt out versus sur e-com donc vraiment bien bien virer ça. Ok, ça c'est important, je pense. Non. Pour le coup, c'est ce qu'on fait aussi du coup et je me dis ouais, si tu les traites de la même façon, tu tu vas, no no bueno, je pense. Non, ça n'a rien à voir. Hyper cool en vrai, c'est hyper intéressant. Je trouve cette partie un peu obscure, c'est un peu un peu technique aussi en vrai de voilà comment chauffer un peu ton domaine et le délire des poules partagées et tout. Donc c'est quand même assez assez technique. Et je me posais la question tu vois par exemple nous on fait aussi des emails sur du b to b et tu dois un peu paramétrer tu sais tes serveurs, je ne sais plus comment ça s'appelle le. Ouais voilà. Ça aussi c'est un truc genre, est-ce que c'est enfin Klaviyo qui s'en charge. Ça souvent Klaviyo, ça Klaviyo va s'en occuper. Toi tu auras juste à faire la partie domaine donc et le démarque. Le démarque c'est rien de fou, c'est juste Ta carte d'identité, non, c'est ça C'est la, c'est la règle qui dit au post master, donc par exemple à Gmail, qu'est-ce que tu fais si tu vois arriver un mail et qu'il n'est pas signé par moi. Donc avec ton dedicated sending domaine, tu signes avec le démarque, tu dis ok s'il y a un gars qui envoie un mail avec at mois point com, mais qu'il n'y a pas le, il n'est pas signé. Est-ce que tu le laisses passer Est-ce que tu le mets en quarantaine Est-ce que tu le, tu le bloques C'est rien de fou, c'est juste que c'est de toute façon c'est obligatoire maintenant et il y a des super tutos sur internet. Ok ok très clair, hyper cool. Et justement voilà on en a beaucoup beaucoup parlé de Klaviyo et du coup moi ce qui m'intéresse un peu de comprendre c'est déjà quid un peu genre des autres outils pour envoyer des emails. Il y a Brevo qui s'appelait Sending Blue avant, donc qui archi archi connu, tous industries confondues. Et du coup ma question, ce serait en fait pourquoi toi tu préfères Klaviyo En tout cas pourquoi c'est l'outil sur lequel vous avez choisi aujourd'hui de bosser le plus Ce serait quoi un peu les alternatives, tu nous éclaires un peu peut-être pour des marques tu vois qui se demandent un peu quel outil CRM choisir pourquoi pas vrai. Moi je bosse sur Klaviyo à la base parce que je bossais dans un groupe e-com où on avait tout sur Klaviyo. Ok. J'avais fait l'analyse à l'époque, on était Shopify. De quelles étaient les alternatives Est-ce que ça valait le coup de challenger Klaviyo Parce que ça nous coûtait cher. Et la conclusion, c'était que c'était vraiment trop bien. Du coup quand on a commencé email club, on n'avait que du Claviyo. Après à un moment on a un peu ouvert et on s'est rendu compte qu'on était trop petit pour prendre d'autres outils parce que bêtement ta documentation, la formation de tes équipes et tout, donc on s'est concentré pendant longtemps sur Klaviyo. Et aujourd'hui, on travaille aussi sur d'autres outils pour moi, mais principalement sur Klaviyo, très majoritairement sur Klaviyo, parce que pour moi, c'est un super outil. Si tu fais du ecom et que tu es connecté à Shopify, tu as vraiment très peu d'intérêt à à challenger ça. C'est hyper bien intégré, tu vas pouvoir avoir des flux produits dynamiques et caetera. En fait tu as tout ce que tu voudrais faire avec ton outil. Et et même de manière générale, tu vois je là on vient de signer une app, on les met sur Klaviyo. Ouais parce qu'en fait, une fois que tu as bien compris comment fonctionne Klaviyo et comment tu le nourris de données, c'est trop bien, c'est ta maison des données et après à partir de ça et donc une des sources, c'est vous et à partir de ça, tu peux faire ce que tu veux. Donc ouais, c'est un super outil. Après, tu pourrais bosser avec d'autres outils, Brevo ou YNote. De toute façon, c'est que l'utilisation. Si l'outil, il est bien, il est bien connecté, il n'y a pas trop d'impact. Souvent, tu ne verras pas beaucoup de comptes Brevo qui sont aussi bien déployés qu'un compte Klaviyo. Et après, dans les alternatives, tu vas avoir Omnissend qui est sensiblement moins cher et qui fait aussi du SMS et qui est en général bien intégré et qui fonctionne bien. Et puis, on va avoir des cas, des des entreprises qui vont bosser avec Sendgrid qui est particulièrement pratique si tu fais, si tu joues avec les domaines, les IPA, et caetera, mais qui est beaucoup moins sympa pour faire de email automation, c'est pour ça qu'on utilise Slaviyo. D'accord. Donc voilà, moi si j'avais un ecom aujourd'hui, je recommande aux gens de prendre Klaviyo. C'est c'est un bon choix, tu vois. Ouais, ok, ok, Maxence. Et justement, tu parlais un peu des des SMS. Quid de la strate SMS, enfin des SMS plutôt dans la strate CRM. C'est un touch point parmi d'autres sur ce qu'on évoquait par exemple tout à l'heure sur les flow poste achat ou sur les flow préachat, le SMS ou WhatsApp plus récemment et un touch point parmi d'autres avec un super taux d'engagement. Et donc, mais un coût, tu as un coût marginal par rapport à un mail ou en général, ça ne coûte quasiment rien d'envoyer un mail supplémentaire. Là où un SMS ou un WhatsApp, ça va coûter entre cinq et quinze centimes suivant si c'est un SMS ou un WhatsApp. Voilà, on fait beaucoup les deux. On fait beaucoup les deux. Si tu as une grosse o p commerciale, on va intégrer du SMS ou du WhatsApp à ton calendrier aussi, donc avec un rappel genre attention aux dernières heures, et caetera. Que ça fonctionne bien, tu vois. Donc il faut il faut faire les deux et Ok. Il faut intégrer à minima dans tes flows pré-achat, ça serait cool d'intégrer un petit SMS, un petit WhatsApp et dans ta collecte et dans ton opt-in, c'est cool de travailler ça pour pouvoir nourrir plus tard si je change d'avis, avoir des opt-in. Donc dans ma pop-up, est-ce que je collecte bien le numéro de téléphone, et caetera. Ok, ok, très clair. Et justement, le next sujet dont on a parlé, c'est WhatsApp. Donc on va on va citer quelques solutions du coup qui sont sur le marché donc des solutions françaises dont j'en connais trois je crois donc tu as Simio qu'on connaît parce qu'il était à l'incubateur avec nous je crois que tu as aussi avec qui toi tu bosses. Je bosse beaucoup avec quoi que ça. Qui sont qui ont l'air d'être d'être très cool aussi et je crois que j'en ai vu un autre passé ça s'appelle cocooya si je dis pas de bêtises. Est-ce que est-ce que tu le connais ce ce dernier-là Non alors moi je n'ai pas été très exhaustif je pense qu'encore une fois comme sur Klaviyo, tous les outils peuvent te permettre d'atteindre. C'est juste l'utilisation tu vois, je pense, c'est des outils d'automatisation. Nous à la base, on bossait sur WhatsApp avec Aisensy qui est un acteur indien. Ah oui. Vraiment dans les premiers à être positionné, qui n'est vraiment pas cher et tout. Ils font un truc de de fou non sur les, ils ont des de malade et tout, c'est hyper aboutiant quand même. C'est très bien, tu vois, ça te permettait de faire exactement la même chose. Sauf qu'il y a toute une phase qu'on ne maîtrise pas du tout qui est le Nebelment. En gros, au tout début, moi, je ne travaille pas sur le business manager de mes clients. Donc il y a toute cette phase où il faut qu'on connecte et c'était super painful et on n'en était pas avec, j'ai beaucoup de clients en France et ce n'était pas un support français. En fait dans notre recherche d'un partenaire WhatsApp, on voulait qu'un partenaire où on est vraiment du support, tu vois. C'est juste ça. Parce que moi j'ai un call avec mon client le jeudi, on se dit tiens, il faut faire ça, il y a une question, mais il faut que je puisse lui répondre vite. Donc on a switché, on bosse avec Wax, ça fait très bien le job, mais j'imagine que c'est mieux, c'est pareil. Tu déclenches des automatisations à travers soit la plateforme, soit directement des webbooks, donc des des petits pouches d'information que tu peux envoyer depuis ton CRM comme Klaviyo et qui fait que tu as illimité de possibilités dans la mesure où tu as l'opt-in. Donc c'est trop bien. Et c'est quoi un peu comment tu vas un peu t'en servir différemment tu vois parce que j'imagine que tu ne vas pas envoyer les mêmes trucs que tu envoies par email ou par sms sur WhatsApp. Je crois qu'on peut aller beaucoup plus loin, tu peux réagir à des messages. C'est l'engagement, c'est trop bien. Déjà un l'engagement et deux le le contenu qui est riche. Donc l'engagement abandonne check out admettons, tu vas pouvoir avoir des boutons, le client il va cliquer, tu vas avoir des scénarios où il va recevoir des réponses qui seront personnalisées et caetera. Ok. Ça c'est ça n'a rien à voir. Et ensuite la richesse du contenu, donc nous on a plein de clients où on fait des trucs genre envoyer un message vocal, envoyer une vidéo et caetera. Ouais. Et ça tu ne pourrais pas le faire en SMS, tu ne peux pas vraiment le faire en email. Oui. Et donc tu peux faire des trucs et après tu as le taux d'ouverture et l'engagement sur WhatsApp qui est aujourd'hui qui est une anomalie, c'est incroyable. Tu as un taux d'engagement de fou. Après comment tu travailles ta stratégie d'embasement Nous la plupart de nos clients ils font des campagnes, ils disent vous voulez vous rejoindre le club WhatsApp et caetera et on va embaser de cette manière-là. D'accord. Et puis après mettre à jour le check-out sur ton site pour embaser WhatsApp, mettre à jour ta pop-up. Donc tu vois, finalement, ce n'est pas tant l'outil que tu utilises. L'outil, ce qu'il faut, c'est avoir un bon fit avec ton outil et que tu sens que tu es un bon accompagnement. Parce que par contre ça sur des solutions nouvelles entre celui qui va beaucoup l'utiliser et celui qui va à peine l'utiliser. Ce n'est pas le même ROI. Ouais, bien sûr, bien sûr. Et ouais non, hyper intéressant. Et puis peut-être que bientôt, on verra qu'il y a des possibilités aussi avec des outils de fit comme pour justement générer des opt-in sur sur WhatsApp et faire faire d'autres trucs sympas. Très bien ça. Ouais, très très bien. Ça, ça va être, ça va être très très cool. On a hâte de se lancer là dedans. Et puis écoute, cool, on a une super conversation. Je suis très content. On a parlé de plein de sujets et je pense que ça va carrément aider les marques qui se posent un peu des questions sur les benchmark, les trucs auxquels faire attention dans leurs emails. Comment choisir son bon outil de CRM, quid des SMS, des WhatsApp et caetera et aussi de la partie un peu plus technique aussi sur voilà comment je cadence en fait mes séquences, mon messaging, la fréquence de contact et tout. Donc très cool beaucoup beaucoup de valeur apportée. Et du coup j'aime bien finir par ça, c'est un peu typiquement genre si en haut tu avais un conseil, donc un truc que tu as dit tout à l'heure qui était assez cool je trouve c'est voilà quand tu envoies un email, je relis ton email à voix haute et trente pour cent. En gros, genre ça c'est un peu un truc qu'on pourrait écrire les onze commandements genre des emails. Est-ce que tu en as un peu un autre comme ça qui tient qui tient à l'esprit Dans le même genre pour faire la suite de ça et je pense que tu dois le faire aussi en b to b. Tu attends, enfin moi tu vois je rédige mes mails quand c'est des trucs importants, un peu structurés et tout et je reviens dessus le lendemain. Je suis un peu plus intelligent. Ok. Je dis à mon équipe doit faire un café tu vois et tu reviens avant de relire. Ok. Tu reprends un peu plus de recul tu vois. Ce matin j'ai envoyé un mail un peu long et juste j'ai changé trois trucs où je trouvais que c'était pas très bien écrit et je l'avais pas vu hier tu vois et ça m'a mis deux minutes donc j'ai grave optimisé mon temps. Ça je trouve ça intéressant. Ok. Et après de s'amuser quoi, de réfléchir à, c'est de l'expérience client. De chaque fois que tu me parlais, tu me parles d'expérience client. Donc, qu'est-ce que tu pourrais faire de rigolo, et caetera et suivre des marques qui font des trucs marrants pour essayer de s'en inspirer. Mais après beaucoup de de bonnes idées que peuvent avoir des gens juste parce qu'en fait, ils se font confiance et ils tentent des trucs. Ouais, on va pas avoir peur de tenter des trucs, enfin des trucs un peu qui sortent de l'ordinaire aussi. Tu as l'opportunité de parler à tes clients en direct par email, par SMS ou par WhatsApp. Ouais, qu'est-ce que je pourrais faire de de sympa quoi. Ouais, trop bien. Et du coup, tu parlais, ouais donc ça, c'est la promesse qu'on a faite au début de l'épisode. Est-ce que du coup, tu as quelques marques un peu qu'on peut suivre dans leur strate, CRM d'emailing, et caetera que que tu que tu pourrais recommander d'aller d'aller dès qu'elle s'inspirait Ouais, alors je pourrais faire un conseil et je ne suis pas affilié, mais je trouve qu'il est vraiment bien son outil et on l'utilise beaucoup chez email club, il s'appelle Panoramata. Ok. Qui est l'outil qui a été monté par Mehdi que je recommande très fortement. Et en fait vous allez taper les marques que vous suivez et vous n'aurez plus à avoir la galère de les garder dans des dossiers sur Gmail et caetera et vous avez une vue calendrier. Donc moi je suis une marque de mode, je trouve que Cézanne c'est stylé ou que Balzac c'est stylé. Je vais cliquer sur qu'est-ce qu'ils ont envoyé l'année dernière pendant le mois de septembre car je vais voir tous les trucs. C'est très très cool ça. C'est très bien. Et alors il y a plein d'outils qui permettent de faire ça sur d'autres marchés. Pourquoi Oui. Je trouve ça cool parce qu'ils adressent particulièrement bien le marché français. Ok. Et quand il manque des marques, tu leur écris, ils les rajoutent. Trop bien. Donc ça, c'est cool, ça vaut cent euros par mois. Ok. Mais ça les vaut cent fois. Ah oui, c'est trop bien. Et je ne suis pas affilié vraiment, je suis juste un utilisateur, mais je trouve ça c'est trop cool. Ça fait gagner vachement de temps j'imagine pour ton benchmark quoi. Pour suivre les marques. Putain tu signes un client qui vend un distributeur de produits de piscine. C'est particulièrement intéressant pour des gens comme nous aussi, mais aussi tu es une marque. Qu'est-ce que, qu'est-ce, voilà, qui a sur le marché, qui fait des trucs intéressants, ok, je peux aller regarder. Tiens, j'ai telle saison, est-ce qu'il y a des trucs auxquels je n'avais pas pensé, tu vois, c'est tout con. Et donc ça a un impact aux US, really good emails, c'est une des solutions, mais il y en a plein d'autres qui permettent de faire ça, voilà. Et après sur les marques qui sont qui sont particulièrement bons, alors moi je pourrais faire la pub pour mes clients parce que vous trouverez mes clients sur mon site et il y en a plein. Le truc est à jour et voilà. Par exemple, il y a genre Unbottle, il y a WhatBaters aussi qui a qui fait une idée très sympa. Unbottle très très fort sur le contenu. Depuis le début, avant de travailler avec nous aussi, Sarah, elle est très attachée à son contenu et et on travaille beaucoup avec eux sur le contenu des newsletters. Aussi les automatisations sont très poussées mais vraiment ils sont très forts sur le contenu. Watch Matters très très bon sur la segmentation, sur les automatisations et caetera. Voilà après des neuf-cents caires, des springs, c'est des boîtes qui vendent de l'abonnement. Donc souvent ils sont très forts en automatisation et donc tu as plein de choses hyper poussées. Et après des gens qui, pour citer les gens qui bossent pas avec nous, tu peux suivre dans des mecs super agressifs, tu vas avoir Cabaïa ou je crois qu'ils passent avec toi Nubiance aussi. Nubiance oui. Voilà j'adore Vladimir et il est agressif tu vois. Des choses sympas et puis Kabaya on aime beaucoup moi je m'entends bien avec Marie elle fait des choses sympas notamment ils sont bien développés, ils sont Shopify market, et caetera. Donc tu as plein de bonnes pratiques. Puis après, il y en a plein, ça dépend de ton industrie quoi. C'est vrai qu'ils font, ils font des trucs assez assez cool. J'avais reçu un mail d'Emilien justement qui te dit tu vois que tu avais abandonné ton panier, et caetera. Du coup, je lui avais répondu à ça. Extrêmement Marie en copie et du coup, j'ai réussi à avoir un meeting avec eux. Ah bien vu. C'était donc ne pas hésiter à faire ça. Il ne faut pas trop que je le je le je le dis sinon on va me me piquer, me piquer ma question. Mais ils sont, ils sont bons tu vois. Ils sont bons et ils ont toujours été bons et ils ont toujours fait. Émilien est très bon en marketing. Il a toujours fait des super bons objets. Il a toujours pris à coeur ce sujet. Ouais, très bien. Et du coup, pour finir dernière question, où est-ce qu'on peut te te retrouver, te suivre Sur LinkedIn avec plaisir, j'essaie de poster sur LinkedIn de temps en temps, mais où on partage du contenu, des des idées. J'espère que je serai plus plus visible cette année. Trop bien. Et bien écoute, on on espère aussi pouvoir pouvoir faire ça. Et puis plein de plein de beaux trucs à suivre entre e-mail club et Loyoly dans les dans les mois à venir. Merci, merci beaucoup pour l'invitation et merci pour ton accompagnement aussi parce qu'on bosse ensemble sur plein de clients. Et donc voilà, ça fait partie, je le mentionnais tout à l'heure, pour notre outil WhatsApp. Pour nous, c'est très important. Ça nous permet de tirer bien meilleure partie de l'outil. Donc merci beaucoup. Merci à toi. Trop cool. Merci. Merci d'avoir écouté cet épisode de Loyali Talks jusqu'au bout. J'espère qu'il vous a plu et que vous y avez trouvé plein d'astuces à tester pour votre marque. Si c'est le cas, abonnez-vous pour ne pas rater le prochain. Parlez-en autour de vous et laissez-nous une note cinq étoiles sur Apple Podcast, ça nous aide beaucoup. Enfin, si vous avez besoin d'augmenter votre LTV, n'hésitez pas à me contacter sur LinkedIn ou sur notre site point I o. À bientôt.

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